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corpus

Publié le 23/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : corpus Ce document contient 880 mots soit 2 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Fiche de lecture.

« Français : Question sur corpus   A-     Molière, Le Tartuffe (1669), acte 1 scène 4 B-     Marivaux, L'ile des esclaves (1725), scène 1 C-      Beaumarchais, Le Mariage de Figaro (1784), acte 1 scène 2      Notre corpus est composé de trois extraits de pièces de théâtre de la fin du 17e siècle et du 18e siècle.

Ces trois extraits abordent le thème de la relation entre le maitre et le valet et mettent en avant le pouvoir et la place du valet de comédie.

Ainsi nous étudierons la mesure dans laquelle le valet se révèle être le véritable maitre du jeu dans ces trois scènes.      Tout d'abord, l'intention ironique du valet conduit à voir en lui un personnage qui mène le jeu  et qui se joue de son maître.

Il utilise comme procédé d'ironie l'antiphrase.

En effet, dans le texte A, Dorine se moque ouvertement de son maitre à travers l'ironie.  L'antithèse dans les vers 238-240 entre l'adverbe «  dévotement » et les termes désignant l'appétit («  soupa », « mangea deux perdrix ») signale l'hypocrisie du faux dévot en attribuant un caractère religieux a une activité qui ne l'est pas.

La dernière réplique de Dorine  fait un bilan de la scène qui  donne une version des faits totalement opposée à ce qui s'est déroulé.

En utilisant ainsi la figure de l'antiphrase, elle dénonce l'indifférence d'Orgon.  Dans le texte B, Arlequin se moque de son maitre à travers l'usage de son antiphrase : «  je vous plains de tout mon coeur » (l.30) qui ironise sur la douleur de son maitre.

Il y a aussi ironie dans la mesure où la servante traite d'un sujet familier de manière noble, héroïque tel que « Il reprit courage comme il faut, /Et contre tous les mots fortifiant son âme…grands coups de vin » (vers 253-256).

Dans le texte B, Arlequin est le maitre du jeu car il manie l'ironie.

Nous percevons aussi de l'ironie dans. »

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