Compte rendu de la dissertation sur La Bruyére

« Compte rendu de la dissertation sur La Bruyère sous forme de prise de notes : (Introduction : ) Le XVII° siècle, appelé aussi siècle du classicisme, s’est principalement soucié de traiter de l’homme, de son rapport à l’autre et à la société, établissant notamment des types selon les traits de caractère, la place occupée au sein d’une échelle hiérarchique induite par la monarchie absolue.

L’étude de l’homme se révèle dès lors dans les pièces de théâtre à l’instar de celles de Molière mais aussi Corneille et Racine, dans les fables avec La Fontaine, dans les maximes telles que celles de La Rochefoucauld, et sous d’autres formes notamment avec Les Caractères de LB.

Or, selon le jugement de Xavier Malton, auteur d’une étude sur LB, « la comédie sociale que dévoilent et dénoncent Les Caractères contraint chacun à se mettre en scène.

» On comprend dès lors que « la comédie sociale » mise en exergue par l’œuvre contraint les personnages à jouer un rôle, à porter un masque à l’instar des personnages de théâtre.

Les Caractères peignent par conséquent le monde comme scène de théâtre sur laquelle chacun doit tenir son rôle.

Nous nous demanderons dès lors en quoi cette analyse de Xavier Malton est fondée en considérant les formes et les significations de la mise en scène de soi pour aborder ensuite la conception philosophique transmise par que LB à l’aide de différents moyens et procédés.

• Formes et significations de la mise en scène de soi : • Les différentes formes mises en exergue : Annonce a.

Afin de traiter des formes et significations de la mise en scène de soi, considérons tout d’abord ses formes.

En effet, Les Caractères font apparaître différentes formes que sont la vantardise (« Arrias » en traiter), l’hypocrisie, la flatterie et pour les deux on peut se référer à la peinture de Versailles dans le livre « De la cour » remarque 74 : + justifier le choix et conclure par cette analyse : toutes les formes qui dissocient la vérité et les apparences.

Ce que l’on voit n’est pas ce que l’on est : couple classique de l’être et du paraître.

On retrouve ces différentes formes dans un extrait du Neveu de Rameau de Diderot avec le LUI qui crée la pantomime des postures sociales de ce qu’il nomme le « valet », « le gueux » mais aussi dans le fameux sonnet 150 des Regrets de DB dans lequel le poète peint de manière satirique les courtisans, « Ces vieux singes de cour ».

Transition pour introduire le b.

On peut dès lors envisager les motivations induites par ces types de conduite.

• Les motivations induites par ces types de conduite : Les motivations sont le besoin de se faire admirer ou estimer et, plus encore la recherche de l’intérêt dans un monde où tout dépend de la faveur du roi ou des grands.

Dans Les Caractères , de ce fait, LB présente Paris coe le royaume des parvenus et c’est en ce sens, en effet qu’il recourt à la métaphore du théâtre ( theatrum mundi) à partir du moment où il faut paraître et non être transformant l’hoe en un hypocrite au sens aussi étymologique de comédien.

Tout est comédie donc et jeux coe le suggère dans « De la ville » la remarque 22 avec l’exemple des mœurs des Romains comme contrepoint à valeur exemplaire.

Mais c’est pk aussi au livre VIII , « De la Cour », LB dépeint le r ègne de l’hypocrisie, des faux semblants donc transmet une vision négative. »