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Commentaires sur la guerre des GaulesJules CésarVII, 89 : la fin du siège d'AlésiaCésar hâte sa marche pour assister à la bataille.

Publié le 23/05/2020

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« 1 / 2 Commentaires sur la guerre des Gaules Jules César VII, 89 : la fin du siège d'Alésia César hâte sa marche pour assister à la bataille.

On le reconnaît à la couleur rouge de son manteau, qu'il avait accoutumé de porter au cours des batailles ; en voyant les escadrons de cavalerie et les cohortes dont il s'était fait suivre, les ennemis, qui apercevaient ce spectacle d'en haut, sur les pentes et les dévers, engagent le combat.

Un cri s'élève dans l'un et l'autre camp, il est répété sur le rempart et tous les retranchements.

Nos soldats, laissant de côté les javelots, se battent au glaive.

Tout à coup, dans le dos des ennemis, on aperçoit la cavalerie.

D'autres cohortes approchent. Les Gaulois prennent la fuite.

La cavalerie vient faire obstacle aux fuyards.

C'est un grand massacre.

Sédulius, chef et prince des Lémoviques, est tué.

L'Arverne Vergasillaunus est capturé vivant dans sa fuite.

Soixante-quatorze enseignes militaires sont rapportées à César.

D'un si grand nombre de combattants, peu regagnent le camp indemnes... Le lendemain, Vercingétorix convoque l'assemblée des Gaulois et leur dit qu'il n'a pas entrepris cette guerre pour ses intérêts personnels, mais pour défendre la liberté commune ; que, puisqu'il fallait céder à la fortune, il s'offrait à eux, soit qu'ils veuillent apaiser les Romains par sa mort, soit qu'ils préfèrent le livrer vivant.

On envoie, sur la question, des ambassadeurs à César. Il demande qu'on lui livre les armes, qu'on lui amène les chefs.

Vercingétorix se rend, les armes sont jetées aux pieds de César.

À l'exception des Éduens et des Arvernes, gardés pour le cas où, par leur truchement, il pourrait regagner ces peuples, les autres prisonniers sont donnés par tête à chaque soldat, en guise de butin. 2 / 2. »

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