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Commentaire sur Entre Mythe Et Politique de Jean Pierre Vernant

Publié le 15/05/2020

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« Jean-Pierre Vernant, né en janvier 1914 à Provins et mort à Sèvres en janvier 2007 , est un historien etanthropologue français, spécialiste de la Grèce antique et plus spécialement des mythes grec.

Il a été professeur auCollège de France et l'un des héros de la Résistance.

Ayant un passé très difficile , il n'a jamais connus son père, etperdus sa mère à l'age de huit ans.

Il entrepris des études de philosophie et reçus l'agrégation en 1937.Il adhèrentaux jeunesses communistes, il fit de la Résistance lors de la seconde guerre mondiale, il quitte en 1969 le particommunistes français.

Il est influencé par louis Gernet il se tourne vers l'anthropologie de la Grèce antique quand ilentre au CNRS, en 1948.

Dix ans plus tard, il devient directeur d'études à l'EPHE (VIe section ).

Spécialiste de laGrèce antique, il s'est souvent exprimé sur ce qu'il y a de commun mais aussi de différent entre les Grecs etl'Occident moderne, notamment en ce qui concerne la pratique de la Démocratie.

Il était professeur honoraire auCollège de France.Le 23 octobre 2006, Jean-Pierre Vernant a souhaité donner sa dernière conférence, sur l'Odyssée, au lycée LeCorbusier, à Aubervielliers, dans le cadre des «Lundis du Collège de France».La parution d’un livre – Entre mythe etpolitique – a rendu Jean-Pierre Vernant familier auprès d’un large public, débordant le cercle étroit des spécialistes,– hellénistes, anthropologues ou historiens.

Le large accueil qu’il a rencontré ne provient pas tant, comme il a étérépété, de ce qu’il embrasserait pratiquement la plupart des sujets qu’en une vie de chercheur Vernant a soumis àson enquête.

Entre mythe et politique de Jean-Pierre Vernant écrit en 1996.

Ce livre ne se place pas sur un terrainscientifique, non plus qu’il ne présuppose aucun savoir spécialisé, il nous convie à revivre une naissance, il parle denotre propre histoire, où il n’est pasde bonheur sans malheur, de naissance sans mort, d’abondance sans peine, de savoir sans ignorance, d’homme sansfemme.Mais il parle en même temps des conditions de notre naissance à la philosophie, qui se confondent avec celles de laphilosophie même, rompant avec cette tradition, d’une mémoire transmise par récit collectif qui forme comme uneencyclopédie du savoir d’un groupe, et le ciment de son unité sociale ; le récit de ces conditions nous faitcomprendre comment se sont engagés une orientation, un processus dont nous savons maintenant qu’ils aboutirontà quelque chose d’innovant propre aux mythes et aux religions du livre.

Comment l'auteur réalise-t-il l'intégration desmythes philosophique à la philosophie actuel sur l'amitié ? Dans un premier temps nous étudierons la stratégieargumentative employée par l'auteur et dans un second temps nous ferons l'éloge de l'amitié. Dans cet essais Entre mythe et politique Jean-Pierre Vernant qui a une structure d'argumentation direct avec unepartie autobiographique , il essaye d'attiré les gens a crée des liens sociaux et des communauté pour que les gensfonde un liens très fusionnelle entre eux , il veut que les gens soit plus tolérant envers autrui.

Dans un premiertemps nous étudierons la stratégie argumentative employée et dans un second temps nous verrons que l'auteur faisl'éloge de l'amitié.Dans un premier temps nous étudierons une situation dénonciation étudiée.on remarque dans le 1er paragraphe dutexte que l'auteur parle beaucoup le pronom personnel «Je»(l.7) «j'éprouve un sentiment d'appartenance analogue àcelui que je peux avoir en retrouvant un arrière cousin» (l.4) «j'ai souvent dit que , dans la résistance aussi , il yavait quelque chose de ce type»(l.5) «Quand je ne rencontre quelqu'un que je ne connais pas et dont je sais qu'il aété un résistant actif» cela nous informe que nous ne sommes pas concerné , qu'il parle de son vécus qui nouslaisse pensé à un encrage autobiographique.

Il emploie aussi régulièrement c'est le pronom nous (l.30) «L'amitié aaussi ceci de particuliers qu'elle nous change» avec ce «nous» on se sent englobé dans le texte on se sentconcerné par ce que raconte l'auteur, mais le pronom qui revient énormément de fois dans ce texte c'est le pronom«on» (l.19) «si on y pense tout seul, on ne sait même pas s'il est vrai» (l.25) «on a quand même le sentiments dechoisir ces amis» (l.26) «on ne l'est a pas choisis, on les a reçus» ce pronom donne une universalité a ces propos, ilgénéralise beaucoup.

Il vas visé directement et nous impliqué dans son texte (l.13) «les racines communes, les liensfamiliaux viennent tout d'un coup renforcer votre identité et on se reconstruit soi-même en retrouvant des membresde la famille à laquelle on appartient» grâce au pronom «votre» il va nous impliqué dans le texte.

Dans cette partiel'auteur nous fait comprendre par les pronoms personnel qui sont dédié en grande partie au lecteur afin de lui fairecomprendre ce que nous ressentons ou ce que l'ont peut ressentir quand on est impliqué au sentiment de l'amitié, ilmets en place un liens ou là le lecteur lui même et non les autres son impliqué, ou le lecteur se sent directementvisé , mais aussi il se place un liens avec l'auteur et le texte , il ne se néglige pas.

Il fait bien la différence entre lafamille et l'amitié.

Dans un second temps, l'auteur a fait de son essais un circuit argumentatif rigoureux , ou il vaspartir d'un exemple général afin d'arrivé sur quelque chose de beaucoup plus prècis ,(l14 à 20) «les sentiments qu'onéprouve à l'égard de soi et à l'égard des autres sont liés à ce qu'on a ressenti autrefois[...]Si on y pense tout seul,on ne sait même pas s'il est vrai, à partir du moment ou il est intégré au folklore familial, il devient une partie devotre histoire».

il fait un raisonnement déductif et une analogie entre l'amitié et la famille , il y a des liens fort de lafamille.

Il vas aussi raisonné inductivement en partant d'un exemple concret à son argument(l.31 à 32) «Pour revenirà la résistance c'est une expérience qui a changé ceux qui l'ont vécue.

Avant guerre , j'avais mes groupes d'amis quipensaient comme moi.».

Il nous fait part d'un autre raisonnement, un raisonnement concessif (l.23 à 25) «Certes, ily a toujours dans le choix un élément qui ne dépend pas de soi, mais des hasards de la vie ou de pressions detoutes sortes ; malgré tout, on a quand même le sentiment de choisir ses amis» il démarre par un blâme de l'amitiépour arrivé sur quelque de plus important ou il définis aussi la famille avec l'amitié L'auteur nous fait part de son sentiments mais aussi pour convaincre les gens sur une amitié qui dit que un choix nedépend pas de soi mais on a le sentiment de choisir ses amis et que l'on ne choisis pas n'importe qui comme amis.Mais n'oublions pas que l'auteur nous fait par aussi d'un point de vue social et personnel sur l'éloge de l'amitié. Dans un premier temps, L'auteur nous fait part d'un point de vue social grâce au champ lexical des liens sociaux etde le communauté (l.21) «d'un autre côté, la solidarité familiale évoque aussi l'idée de clan, et le clan suppose. »

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