Commentaire inutile beauté de Guy de Maupassant

« Analyse Guy de Maupassant est un Žcrivain et auteur franais, qui est nŽ en 1850 et mort le 6 juillet 1893, il est nŽ et ŽlevŽ en normandie et cÕest ici quÕil rencontrera Gustave Flaubert.

En 1869 il dŽcide de sÕinstaller dŽÞnitivement ˆ Paris, et commencera ˆ travailler aprs 1870 en tant que commis au ministre de la marine.

Il multipliera les conqutes fŽminines, et rencontrera Yvan van Geniev, Edmond de Goncourt, il rencontrera aussi Stephane MallarmŽ.

En c™toyant tout cet univers que Maupassant sera confortŽ dans sa vocation dՎcrivain.

Dans les dix annŽes suivantes il cumule les liaisons amoureuse, et fera de nombreux voyages.

Il perds son frre cadet mort de folie, et il sera fou ˆ son tour.

Il se fera interner a paris et mourra au suites dÕune paralysie gŽnŽrale.

Gy de Maupassant aura pour style le rŽalisme mais il est considŽrŽ comme naturaliste.

Il nÕas pas pour objectif de dissŽquer les rouages dÕune sociŽtŽ.

Guy de Maupassant ˆ su malgrŽ tout imposer son style, il est plus lŽger, plus bercŽ dans lÕanalyse psychologique, et Maupassant considre le romancier comme un illusionniste (chose quÕon retrouve dans la prŽface de Pierre et Jean).

Pourtant il aime la concision contrairement ˆ Zola.

La nouvelle est privilŽgiŽe par Maupassant.

Ses ouvrages ont une dimension satirique.

Dans sa nouvelle lÕinutile BeautŽ, il met en scne une vengeance fŽminine dans le monde des aristocrates parisiens, la comtesse de mascaret, qui se rŽvolte contre un mari jaloux qui lÕoblige ˆ vivre grossesse sur grossesse.

En quoi le discours de la comtesse est un rŽquisitoire contre le mariage forcŽ (dŽcoupage : Ligne 1 ˆ 8 - Ligne 8 ˆ 16, 16-20) Les deux personnages rentrent dÕune soirŽe, dans leur voiture (au rythme du rŽcit) Le comte se montre entreprenant, il trouve sa femme trs belle, Il viennent de sortir du thŽ‰tre, il montre son dŽsir, mais la comtesse rejette sa demande avec lÕexclamation ÓNON !Ó On remarque lÕimportance des chiffres, nous avons lՉge, le nombre dÕenfant, lՉge, le nombre dÕannŽe mariŽs, elle a passŽ la moitiŽ de son mariage enceinte, elle accuse son mari de vouloir porter dÕautre enfants.

Elle accuse dՐtre possessif, et de ne pas vouloir lui faire des enfants par amour.

Le comte apparait comme une personne autoritaire, la comtesse se rebiffe, elle dŽÞe son mari, avec une tournure emphatique : Óet moi jeÓ qui fait face au vous du comte.

Ici encore on remarque que les aristocrates doivent respecter la biensŽance et ne pas se donner en spectacle devant les domestique, le ӎcoutez-moiÓ ˆ presque une valeur dÕinsulte. Nous avons une analepse, et en mme temps que la sincŽritŽ de la comtesse est mise en avant : Óje nÕai jamais mentiÓ Elle dŽclare quÕelle nÕaime pas son Mari, on remarque la rŽcurrence de lÕadverbe jamais.

Le comte ˆ abusŽ de sa puissance : ÓVous mÕavez ŽpousŽ malgrŽ moiÓ Óvous. »