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commentaire de texte Thomas l'imposteur

Publié le 25/04/2021

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« FRANÇAIS : Commentaire de texte n°3 Le roman Thomas l’imposteur est un roman écrit par Jean Cocteau en 1923.

Il parle d’un certain Thomas Guillaume, un imposteur mythomane se faisant passer pour neveu du général de Fontenoy.

Nous allons ici étudier un extrait du chapitre 11 en se posant la question suivante : Comment ce texte relève t-il l’opposition des situations et des personnages ? Pour répondre à cette question nous allons voir dans un premier temps que le texte est divisé en deux situations opposés et dans un second temps nous allons voir les différents profils des personnages. Premièrement, on constate que le texte est divisé en deux situations.

La première fait allusion à un milieu fantastique : Grâce à un discours descriptif le narrateur crée un champs lexical de la nature : l.1 « le ciel était rose », « les coqs chantaient », l.2 « les chevaux étaient roses », « un champs de betteraves », il relève un espace calme par le rose, énoncé plusieurs fois et paisible: l.2 « dragons en chemise, se débarbouillaient », l.3/4 « ces femmes les stupéfia », « vit longtemps leurs figures roses avec des yeux ronds et des bouches ouvertes » comme si les soldats avait le temps de pensait à la romance...

Néanmoins on peut retrouver la situation de guerre l.1/2 « le canon secouait les vitres.

» « les talus, les fumées, les caissons », « les dragons » la guerre est tout de même fortement rêvé car la simple secousse des vitres et les fumées sont évoquées.

La situation est énoncé comme une balade anodine: l.6 « de pommier en pommier, de poste en poste », « bourgade ».

On retrouve un lexique du spectacle l.7 « tente ronde », « comme un cirque » (comparaison) ce qui rend la scène irréaliste par rapport à une tente pour les blessés de la guerre.

On pourrait penser à un euphémisme non voulu.

On remarque que la situation s’inverse dans une seconde partie du texte : l.20/21, « martyrs », « agonisaient », « parfum sans nom », « gangrène », « maigreur », l.23 « semblait sortir d’un coup de grisou »(comparaison) est un lexique d’un discou rs descriptif au vocabulaire soutenu et très choquant qui relève des conditions de survit abominable, comparable à des mineurs, les blessés sont près à se laisser tuer .

Le narrateur utilise des adjectifs et des précisions nombreuses avec un rythme soutenu ponctuait de virgules : l.22/23 « gonflé, jaune, couvert de mouches », « le sang se caillait sur les uniformes », « en loque », « les gestes des moines du Gréco » (métaphore) ce qui permet de comprendre l’affreuseté de la scène dans tout ses détails et de rappeler la période de l’histoire soit 1914.

Il dit l.20 « par terre sur des bottes de pailles » qui comme il le dit précédemment l.12 « la paille, c’est le luxe des blessés » on en déduit que les blessés sont dans une situation critique d’autant plus qu’il précise l’odeur : l.21 « sans nom », « fétide », « douceâtre », « musc noir », « tournait le cœur », on a ici la référence à des corps en désintégration ce qui provoque encore plus de dégoût à la scène des blessés.

La scène est aussi comparé à des mineurs : l.23 « un coup de grisou », on comprend donc que les soldats sont très sales à cause d’obus sans doute ou d’autres sortes de bombes qui les aurait blessés.

La guerre est donc ici présentée avec un registre tragique Deuxièmement, on constate que les personnages sont souvent très différents voir opposés.

Tout d’abord la princesse Clémence de Bormes, une femme fantasme, figure du Tout-Paris est totalement opposé à Mme Valiche, une infirmière.

L.3 « La princesse agitait la main » montre qu’elle est efféminée et n’est pas faite pour soignée les blessés de la guerre car : L.1 à 3 ; « rose », « coqs chantaient »… « dragons en chemise » (métaphore), « se débarbouillaient », « figures roses », la princesse Clémence de Bormes s’imagine de la guerre comme une campagne calme ou se préparent les hommes tranquillement, elle utilise un vocabulaire basique avec des métaphores entraînant une image très adoucit de la guerre.

L.5 « les coulisses », « les acteurs et les figurants qui s’habillent » lorsque la princesse Clémence de Bormes s’imagine la scène, on retrouve dans son discourt un lexique du théâtre ou d’un film qui permette de comprendre que la princesse Clémence de Bormes est une femme très naïve et ignorante.

Lorsque l’équipe de la princesse Clémence de Bormes, Mme Valiche et Thomas Guillaume arrive à la tente du médecin-chef, on retrouve, l.11 « refusa brutalement les blessés que lui demande la princesse Bornes »,l.12 13 « Non madame ! »,. »

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