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Commentaire de texte sur Bernard de Fontenelle : La dent d'or

Publié le 16/05/2020

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« Cohen David ד״סב Commentaire de texte sur Bernard de Fontenelle Dans le texte proposé, nous pouvons relever le ton ironique utilisé par Bernard de Fontenelle pour soulever un problème important. En effet, l’auteur relate l’histoire de l’enfant à la dent d’or avec une certaine ironie.

Bernard de Fontenelle s’attarde sur les études des savants comme à la ligne 13, où Horstius est décrit tel un « professeur en médecine dans l’université de Helmstad ».

De plus, il rajoute que ce savant explique que la dent d’or est en partie naturelle, et « en partie miraculeuse » (l.15).

Ceci est un paradoxe pour un scientifique puisqu’il explique cette histoire par un miracle de Dieu.

Il rajoute même que cette dent a été envoyée par Dieu pour « consoler les chrétiens affligés par les Turcs » (l.17).

L’auteur pose même une question rhétorique en demandant « quel rapport » (l.18) y’a-t-il entre la dent d’or, les chrétiens et les Turcs.

L’auteur donne à la suite une liste de tous les savants qui se sont intéressés à la dent pour dénoncer la bêtise générale qui a eu lieu autour de cette histoire.

Libavius est annoncé comme « un autre grand homme » (l.24) ce qui dénonce le mouvement de groupe par le mot « autre » et que ce mouvement est absurde par l’ironie de l’expression « grand homme ».

Il y a ajoute même que cette histoire « ne manquât pas d’historien » à la ligne 20.

De plus, de Fontenelle nous relate la « belle et docte réplique » (l.23-24) faite par Rullandus à Ingolesteterus qui avait écrit contre son « sentiment » (l.22).

Le mot « sentiment » dénonce bien l’aspect personnel du commentaire fait par Rullandus sur la dent, ce qui est totalement opposé à la science qui est universelle.

En effet, à la ligne 25 l’auteur dit que Libavius y « ajoute son sentiment particulier » ce qui confirme ce qui est dit plus haut.

De plus, la « réplique » (l.24) annonce que Rullandus avait déjà écrit sur ce thème et qu’il écrit de nouveau sur cette dent, ce qui montre qu’il s’enfonce dans son absurdité.

Bernard de Fontenelle annonce tous ces livres fait sur cette dent comme de « beaux ouvrages » (l.27) qui vont tous dans le sens que cette dent d’or est réelle.

Enfin, l’auteur nous annonce qu’une fois que l’orfèvre a été consulté, on apprend que cette dent était tout simplement recouverte d’une « feuille d’or » (l.29).

Bernard de Fontenelle traite donc l’histoire des savants avec ironie pour montrer la bêtise humaine. Par ce ton ironique, l’auteur dénonce un problème important qui est le fait que les savants cherchent absolument une raison à un problème alors qu’il est basé sur le faux.

En effet, ce phénomène qui est tout à fait « naturel » (l.32) est réel sur « toutes sortes de matières » (l.33).

L’auteur, en nous disant cela, nous indique. »

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