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commentaire composé "la gloire de mon pére" Marcel pagnol.

Publié le 17/05/2020

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« Fafe Hamid. Master 1 : Didactique du Français et Interculturalité. Commentaire composé « La gloire de mon père ». Marcel Pagnol, dramaturge et auteur de nombreux romans tels que « la gloire de mon père » écrit en 1957.

Ce roman autobiographique est le premier tome de son recueil « Souvenirs d’enfance », et dans lequel nous apprenons à connaître le jeune Pagnol à travers quelques épisodes de sa jeunesse provinciale.

Attaché à son père et admiré de sa formation.

Pagnol décrit un portrait de son père, l’instituteur républicain et laïc, avec beaucoup de prudence.

Ces instituteurs étaient initiés d’une formation accélérée sur leur métier, leur mission à venir dans un lieu spécifiques : les Ecoles Normales Primaires. Ces écoles prennent des jeunes adultes les plus brillants qui vont subir au cours de leur parcours d’études une formation très spéciale sur des cours d’anticléricalisme.

Mais ici Pagnol lors de sa présentation du programme pédagogique des écoles primaires normales reste en une sorte de distance ironique.

Cette ironie est ressentie dans des termes un peu exagérés tels que : « Instruction d’oppression », « des fables infernales ou paradisiaques ».

Entant qu’Anticléricale, Pagnol critique la monopolisation et les représentations de l’enseignement (oppression, latin mystifié, l’hypocrisie sociale des curés, le pouvoir des Papes,…) par l’Eglise catholique qui détienne un pouvoir absolu sur toutes les échelles. Mais au contraire, la République présente pour les jeunes Anticléricales le remède et la solution, car c’est grâce à son histoire et ses valeurs, face à l’Eglise catholique.

Ici Pagnol sort avec une petite conclusion ironique « Telle est la faiblesse de notre raison : elle ne sert le plus souvent qu’à justifier nos croyance » cela pour nous référer à la scène sanglante de la Sainte Inquisition. Cependant, la formation des jeunes normaliens était basée sur la connaissance de trois composantes qui menacent la République, à savoir : l’Eglise, la Monarchie et enfin l’Alcool. En guise de conclusion, Pagnol en décrivant son père sa formation et son statut d’instituteur nous décrit implicitement son appartenance à un groupe socio- culturel restreint d’un enseignant d’un programme éducatif éfficace.. »

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