Databac

Commentaire composé de la lettre IV des Liaisons Dangereuses

Publié le 22/05/2022

Extrait du document

liaisons dangereuses

« Rédaction du commentaire composé de la lettre IV des Liaisons Dangereuses Ce texte est extrait d'une œuvre intitulée « Les liaisons dangereuses » apparue en 1782 dont l'auteur est Pierre Ambroise Choderlos de Laclos (1741-1803).

Il appartient au mouvement littéraire des Lumières.

Le texte se trouve vers le début du roman épistolaire qui comporte 175 lettres (ici nous sommes à la quatrième ), il s'agit ainsi de l'incipit.

On est ainsi a la scène d’exposition.

Cette lettre est la réponse de Valmont a la lettre II, envoyée par la marquise de Merteuil.

La marquise veut que Cécile ( une bonne sœur qui va se marier avec son ancien amant, Gercourt ) ne soit plus vierge lors de son mariage et pour cela elle appelle son cher ami, Valmont mais, lui veut séduire une femme mariée, Mme de Tourvel qui est digne de son statut de libertin.

Ainsi, dans le premier paragraphe Valmont flatte la marquise mais petit à petit il exprime son refus (dans le deuxième paragraphe).

Une lettre brillante et séduisante transformée en une lettre provocante et cruelle.

Nous verrons dans un premier temps l'effet brilliant et séduisant de la lettre et que-cequ’il l'a rend ainsi.

Dans un second temps, on verra son effet provocateur et cruel et ses différentes analyses. Dans cette lettre brillante et séduisante, nous verrons la flatterie de Valmont envers la marquise de Merteuil ensuite son style brillant et élégant et enfin de la tonalité épique qui impressionne le lecteur. On observe que cette lettre est très flatteuse envers la marquise car Valmont la complimente beaucoup comme l'indiquent les mots « charmante », « chérir » et « aimable » (ligne 1 et 2).

Ces mots appartiennent au champ lexical de la séduction.

Ceci montre que Valmont la complimente et la séduit.

Dans les lignes 10 et 11 on retrouve un déterminant possessif « ma »et un adjectif mélioratif « belle » qui montre la flatterie et l'affection.

Il place aussi la marquise au dessus de lui notamment dans les lignes 11 à 14 « vous me suivez au moins d'un pas égal […] vous avez fait plus de prosélyte que moi », c'est une supériorité de la marquise au dessus de Valmont.

Les verbes « je regrette » et « me rappelle » (lignes 2 à 5) démontre un champ lexical du souvenir et ainsi, Valmont est nostalgique de leur liaison ce qui est très flatteur pour la marquise car, Valmont de s'attache pas beaucoup aux femmes, ou très peu.

Le complément circonstanciel « de nouveau » et le verbe « désir » (ligne 6) fait apparaître le champ lexical du regret.

Cela ré-exprime la nostalgie de Valmont.

Valmont flatté donc très bien la marquise.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles