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Clément Ader

Publié le 02/12/2021

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En 1890, l'ingénieur français Clément Ader (1841-1925) décolle à bord de l'Éole (nom du dieu du vent chez les Grecs). On ne peut pas encore parler de vol. L'engin parcourt l'incroyable distance de 50 mètres. Ader, encouragé par cet «exploit» améliore bientôt son record en effectuant un vol de 300 mètres à bord d'un appareil qu'il avait baptisé l'Avion et dont le nom remplacera celui utilisé alors, c'est-à-dire l'aéroplane. Les ailes de son appareil, dont les hélices fonctionnaient grâce à des machines à vapeur, ressemblaient à celles d'une chauve-souris. L'avion ne comportait pas encore de commande et il était donc impossible de le diriger.De tous temps, l'homme a eu envie de se déplacer dans le ciel. Déjà, l'Antiquité témoigne de ce désir avec Icare, personnage inventé par les Grecs et qui s'élève dans les airs jusqu'à ce que le soleil lui brûle les ailes. Au XVIe siècle, le peintre Léonard de Vinci (1452-1519) avait déjà dessiné des machines volantes. De nombreux savants ont cru longtemps qu'on ne pouvait voler qu'avec des engins plus légers que l'air. L'histoire de l'aviation a prouvé qu'il s'agissait d'une erreur. Mais l'Anglais George Cayley (1773-1857) soutenait déjà, en 1809, dans son livre sur la navigation aérienne que le poids des engins volants pouvait être supérieur à celui de l'air, à condition d'exercer une force capable de franchir la résistance de cet air. William S. Henson poursuivit des recherches dans ce sens. Avec son associé John Stringfellow, il construisit la «voiture aérienne à vapeur» (1849) qui était capable de descendre en vol plané. A l'inverse, elle ne pouvait pas prendre d'altitude. Alfonse Pénaud (1850-1880) suivit cette même idée et, en 1871, son «Planophore» fit quelques bonds dans le jardin des Tuileries, à Paris, au grand étonnement des promeneurs.Un autre ingénieur, Louis Mouillard (1834-1897) apportasa contribution à l'aéronautique en découvrant l'intérêtdes ailes rigides. Enfin, l'Anglais Hiram Stevens Maxim

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