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Christoph Martin Wieland1733-1813Fils d'un pasteur souabe, étudiant en droit et

Publié le 23/05/2020

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♦ «Ne tenant à aucune opinion particulière, Wieland était assez agile pour courir après toutes à la fois. Il était semblable à un roseau, que le vent de la mode faisait aller et venir mais qui n’en restait pas moins toujours ferme sur ses frêles racines. Toute l’Allemagne de la bonne société doit son style à Wieland. Elle a reçu de lui beaucoup de dons, dont le moindre n’est pas la faculté de s’exprimer convenablement. » Gœthe. ♦ « Wieland a écrit l’allemand mieux que n’importe qui, et, dans la perfection et l’imperfection, il y a gardé sa maîtrise..., mais ses idées ne nous donnent plus à réfléchir. Nous supportons ses moralités joyeuses tout aussi peu que ses joyeuses immoralités : toutes deux sont inséparables. Les hommes qui y prenaient plaisir étaient certainement, au fond, des hommes meilleurs que nous — mais ils étaient aussi passablement plus lourds, ce oui fait qu’ils eurent besoin d’un pareil écrivain. » Nietzsche. ♦ « C’est précisément parce que nous sommes « lourds » et rarement joyeux qu’il doit nous être cher, comme un des rares moments lumineux de notre histoire. Il atteste à lui seul que nous autres Allemands ne sommes pas, a priori et pour l’éternité, destinés à nous perdre dans le transcendant et le fantastique ou à nous enfermer dans le tragique, mais qu'au contraire, il existe en nous, comme en tout peuple, la possibilité de nous accomplir dans la sociabilité et la sérénité. » Friedrich Sengle.

« Christoph Martin Wieland 1733-1813 Fils d'un pasteur souabe, étudiant en droit et en philosophie, il traverse vers la vingtième année une crise de religiosité maladive (influence de Bodmer et de Klopstock), passe ensuite à l'épicurisme militant ( Nadine ), puis se consacre en bon père de famille à ses nombreux enfants et à une œ uvre abondante où les influences antique, espagnole, orientale, anglaise et française se fondent.

Son roman Don Sylvio von Rosalva est une imitation de Don Quichotte .

Son Agathon transpose dans la Grèce antique sa propre évolution intellectuelle.

A partir de 1772, Wieland vit à la cour de Weimar, en relations amicales avec Goethe, et plus tard Herder et Schiller : c'est là qu'il compose Die Abderiten , roman comique et satirique, et Oberon , déjà tout imprégné de romantisme.. »

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