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CHATEAUBRIAND (François René de)(1768-1848) - BIOGRAPHIE.

Publié le 17/05/2020

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« 1 / 2 CHATEAUBRIAND (François René de) (1768-1848) «Je me suis rencontré entre deux siècles comme au confluent de deux fleuves :j'ai plongé dans leurs eaux troublées ...

», dira Chateau­ briand dans une de ses belles envolées.

Sa vie a en effet coïncidé avec une période mouvementée.

Né le 4 septembre 1768, à Saint-Malo, François René de Chateaubriand voyage en Amérique lorsqu'il ap­ prend, en 1791, la fuite manquée du roi et la formation de l'armée des émigrés à Coblence.

Revenu en France, où il se marie, le 21 février 1792, il va rejoindre les troupes d'invasion, mais il est blessé au siège de Thionville, tombe malade et se réfugie (1793) en Angleterre où il mène une vie difficile tout en écrivant un premier ouvrage, l'Essai sur les révolutions.

Radié de la liste des émigrés grâce à son ami Fonta­ nes, il regagne Paris au début de 1800.

La publication d'Atala (1801) et surtout du Génie du christianisme (1802) attire sur le jeune auteur l'attention de Bonaparte.

Il est alors nommé secrétaire d'ambassade à Rome, puis chargé d'affaires au Va­ lais, mais démissionne en apprenant l'exécution du duc d'Enghien.

Le prétexte qu'il donne (la santé de sa femme) ne trompe personne : Cha­ teaubriand est entré dans l'opposition.

Collaborateur du Mercure de France, il publie en 1807 une page magnifique vilipendant la tyrannie, qui irrite profondément l'Empereur.

L'écrivain s'exile alors à La Vallée-aux-Loups, sa résidence favorite.

Les Martyrs (1809) et l'Itiné­ raire de Paris à Jérusalem (1811) ajoutent à la gloire littéraire de «l'enchanteur».

Elu en 1811 à l'Académie, il compose un discours dans lequel il prône la liberté, mais que Napoléon, courroucé, ne lui permet pas de prononcer.

Il compose alors en cachette un pamphlet injuste et superbe, De Buonaparte et des Bourbons, qui paraîtra en avril 1814, après la chute de. »

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