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Chapeaux, barbes et papillotes, perruques et foulardsEn dehors du Talit et des Téfilin qui sont obligatoires et sensiblement lesmêmes pour l'ensemble des juifs, les coutumes vestimentaires peuventvarier en fonction du pays d'accueil.

Publié le 23/05/2020

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« Chapeaux, barbes et papillotes, perruques et foulards En dehors du Talit et des Téfilin qui sont obligatoires et sensiblement les mêmes pour l’ensemble des juifs, les coutumes vestimentaires peuvent varier en fonction du pays d’accueil. Certains juifs originaires d’Europe de l’Est, les Hassidim, ont gardé les habitudes vestimentaires du XVIIIe siècle, avec les manteaux noirs, les chaussettes montantes, les chapeaux à large bord de fourrure nommés Shtraïmel. D’autres, venant des mêmes régions mais disciples d’autres maîtres, s’habillent de vestes et pantalons noirs tous les jours de l’année, de chemises blanches et de chapeaux type borsalino hérités de la mode du début du siècle.

Certains vêtements ne sont portés qu’occasionnellement. Ainsi, par exemple, les habits blancs de Yom Kippour, la longue robe qui couvre le ministre officiant et qui rappelle les habits du grand prêtre à l’époque du temple. L’origine du port de la barbe, des papillotes ou Péot (en hébreu) ou Peys (en yiddish), vient d’une interdiction biblique d’utiliser des objets coupants et tranchants pour les porter sur le visage.

Symboliquement, cela signifie ne pas porter atteinte au visage de l’homme, ne pas faire violence à l’humanité de l’homme. Pour les femmes, on insiste essentiellement sur l’attitude pudique (Tseniout), avec les habits bien sûr, mais surtout avec le couvre-chef. Ce dernier peut être simplement un foulard comme chez les femmes originaires d’Afrique du Nord, une perruque (Shaïtel) chez les femmes originaires d’Europe de l’Est, ou bien encore un béret ou un petit chapeau chez les jeunes femmes plus modernes.. »

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