CHANTAGE

« CHANTAGE Réalisateur Scénario D'après la pièce de Direct e ur de la photograph ie Musique D'après_ des th ème s de / Produ cti on ................

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Di s tributi on Dur ée ........ .

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A lfred HITCH COCK (1929) Alfred HITCH COCK, B enn W.

LEVY , C harle s B ENNETT C harle s B ENNETT Jack COX Hubert BA TH et Henr y STAFFORD CAM PB ELL et CONN EL Y John MAXWELL pour la Briti sh Intern ation al Pkiures Parafrance 85 minute s INTE RPR ÉTAT ION Alice White ..

Franck Webber Mrs White Mr White Tracy L'artiste L'inspecteur-chef La commère .............

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La propriétaire ........

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AnnyON DR A John LONGDEN Sara ALLGOO D C harle s PATON Donald CALTH ROP Cyr il RICHA RD Herve y BRAB AN Phylli s MONKMAN Hannah JON ES Le sergent dé t ective .......

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ex - sergent détectiv e BISHOP Percy PARSONS L'escro c ............ ... ............. .......

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L 'HISTOIR E Franck, qui est détective , se di spute avec sa fiancée Alice.

Celle-ci s'enfuit et par jeu se laisse e ntraîn er dans l'appartement d'un jeune peintre qui te nt e de la violer.

A lice se débat violemme nt et poignarde l'art iste avec un cou teau à pain qui se trou vait à portée de sa mai n.

Soigneusement, elle efface un à un tou s les sig n es de sa présence.

Franck est chargé de l 'enqu ête.

Il découvre sur le lie u du crime un e pièce à conviction : un gan t oubli é pa r A lice.

Mais il le dissimule dan s sa poche.

Alice, qui est perturbée par les obje ts l ui rappe la nt les circ on sta nce s du crime, reçoit la visit e d'un maîtr e chan teur.

Ce dernier a vu Alice et la victime le soir du crim e.

Mais Franck retourne as tucie u se­ ment tous les so upçons s ur le maî tre-c hanteur qui est bi entô t accusé du crime.

Ce lui -ci s'ob­ stin e d'abord puis perd la tê te.

Pour suivi par la police jusque s ur les toits du Briti sh Mus e um , il tombe à travers une ve rriè re et se tue.

L'affaire es t cla ssée par la police.

A lice avo ue so n cri me à Franck qui lui pardo nne.

LA PETIT E HISTOIRE Nous sommes en 1929 e1 c"es1 déjà le dixième jïlm du « maî1re du su spense ».

BLACKMAIL a é1é créé au 1ou1 déblll du par/am.

Les pro­ duc1eurs qui n e sa1·aien1 pas 1rop oii al!aien1 s'orieme r les goû1s du public (111ue 1 ou par­ /am) voulur efl/ imposer le 111ue1.

Hi1 chcock conçu le film sa ns le son mai s en wi/isa/I/ la 1echnique du parian/.

A la fin du wurnage, il s'op posa à /'idée de fi/111 « pani elle111e n1 sonore » comme il en e.ris1ai1 beaucoup à ceue époque el il el// la possibi/i1é de re1o urner quelques scènes.

Ces/ ainsi qu'il e.risie deux l'ersions de BLACKMA IL.

/'une 111ueue, 2 /'awre sonore.

L'ac1rice A1111y Ondra qui ne ,,, par/ail pas anglais mima les paroles alors que ·. »