cauchemar

« Ma peur c'est mon cauchemar ! A chaque fois que ça se passer c'était durant la nuit, je ne pouvais jamais le décrire quand on me demander ce que c'était .

C'est un cauchemar.

Aujourd'hui je ne le fait plus mais je le vois encore quand je ferme les yeux, avant de m'endormir.

Je ne sais pas pourquoi il est toujours là et surtout comment se fait-il qu'il a exister.

Je voyais des têtes c'est vrai ça paraît bizarre mais c'est ça.Vous vous demandez sans doute comment étaient ces têtes, elles changeaient tous le temps, à chaque fois que je l'ai regarder, elles grandissaient, rapetissaient, grossissaient, mincissaient, je me demande toujours pourquoi elles me faisaient pleurer.

Quand cela ce passé j'allais dans le lit de mes parents, ce cauchemar continuait pendant quelques minutes et il s'arrêtait.

Quand je me rendais dans leur lit, la lumière du couloir était allumée, c'était comme une libération.

La lumière m'enlevait ce cauchemar de la tête pendant les quelques mètres qui séparer ma chambre de celle de mes parents.

Soulagement, je pouvais enfin m'endormir tranquillement, c'était peut-être grâce au fait que je suis à côté de mes parents.

Avant je pensais que mon lit était ensorcelé.

Mais maintenant je pense plutôt que c'est parce que je pleurais trop pour rien, j'étais un vrai râleur.

Mais ce ne sont que des suppositions.

Dans ce cauchemar les têtes rigolaient ou plutôt se moquaient, si elles existaient vraiment on aurait sans doute pas peur.

Mais à mon avis c'était parce que j'étais petit que j'avais peur.

Ah oui, j'allais oublié il y avait des briques et en particulier une qui se baladait, elle tourne sur elle-même, grandissait,rapetissait.

Ses bords pouvait s'arrondir ou devenir très pointus.

Elle pouvait aussi devenir molle et dur à la fois.

Quand je la touchais elle était comme inexistante,transparente et quand j’éloignais ma main cette brique revenait.

Il y avait aussi ce regard, il était froid, sec.

Je pense que c'était le chef des têtes, car quand ce regard apparaissait elles arrêtaient de se moquer et restaient silencieuses.

Ce regard me fixait, il me regardait de travers.

Ce regard me pourchasser à chaque fois que je déviais du regard.

Il ne me lâchait jamais.. »