Carnet de lecteur français seconde

« Je vis, je meurs - Louise Labé Louise Labé née Louise Charly en 1524 à Lyon, décédée le 25 avril 1566 à Parcieux-en-Dombes, est une poétesse française. Surnommée « La Belle Cordière », elle fait partie des poètes en activité à Lyon pendant la Renaissance.

Elle était la femme de Perin, riche marchand de cordes.

Elle est souvent présentée comme l’une des principales féministes de la Renaissance.

Son père est Pierre Charly dit Pierre Labé.

Son mariage avec un très riche marchand, en 1540, va compenser son origine roturière et lui permettre de se consacrer à la poésie, devenant une grande intellectuelle de son temps. Œuvre les plus connues : .

L’Épitre dédicatoire .

Le Débat de Folie et d'Amour (1555) .

Les Élégies (1555) Ce que j’ai aimé J’ai aimé la façon dont elle exprime ses émotion amoureuseses émotions amoureuses qui peuvent être semblable aà ceux que nous éprouvons dans la réalité, tel que des sentiment contradictoiredes sentiments contradictoires : Ce que je n’ai pas aimé La fin du poème est plutôt triste. Elle dit redevenir malheureuse : « Et être au haut de mon désiré heur, Il me remet en mon premier malheur.

» versVers 14 « Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ; J’ai chaud extrême en endurant froidure » versVers 1 et 2 Et bien d’autres antithèse... citationsC itations : Lubricité et ardeur de reins n'ont rien de commun, ou bien peu avec amour. (Louise Labé) Ne veuillez point condamner ma simplesse (Louise Labé) lexique Lexique : Maint grief (v6) : Tout à un coup, au même moment, simultanément Je sèche (v8) : Ne pas trouver la solution Heur (v13) : bonheur, heureux Verdoie (8) : fleurir, prospérer Emotions ressentis : Louise LabéeLabé exprime comment elle mêmeelle-même a ressenti l’amour en parlant des différentes émotions que l’on ressent lorsque l’on est amoureux.

Pour son cas, dans les 2 quatrains on peut observer qu’elle cite donc dans sontson sonnet ces émotion en les placent placé en contradiction tel que la joie, la tristesse… grâce aà des antithèsedes antithèses « J’ai grands ennuis entremêlés de joie. Tout à un coup je ris et je larmoie, »v » v 4 et 5 Dans le début des 2 tercets on peut observer qu’elle est heureuse et qu’elle est envahi de sentiments amoureux, puis aà chaque dernier vers du tercet elle rechute et redevient malheureuse. « Ainsi Amour inconstamment me mène ; Et, quand je pense avoir plus de douleur, Sans y penser je me trouve hors de peine.

» v12, 13 et 14 Ma Dame je me meurs – Pierre De Ronsard Deuxième livre des sonnets pour Hélène - 1978 Pierre de Ronsard, né en septembre 1524 au château de la Possonnière, près du village de Couture-sur-Loir en Vendômois, et mort le 27 décembre 1585 au Prieuré Saint-Cosme de Tours, est un des poètes français les plus importants du XVI e siècle.

Il fait partitpartie des poètedes poètes de la pléiade ont pour but de soutenir le français contre ses détracteurs, enrichir son vocabulaire et son style et composer des œuvres inspirées des auteurs grecs et latins.

En 1550 ,1550, Ronsard publie les Quatre premiers livres des Odes qui le hissent au premier rang des poètes de l'époque. Œuvre les plus connues : Les Odes (1550 - 1552) Les Amours (1552 - 1578) Les Hymnes (1555 - 1556) Les Discours (1562 - 1563) Les Sonnets pour Hélène (1578) Ce que j’ai aimé Ce que je n’ai pas aimé J’ai aimé les nombreuse Je n’ai pas trop aimé référencesles nombreuses références l’accumulation durant tout le à l’antiquité tel que : sonnet des lamentations de « Devenez un Achille»Achille » v9 « Un Télèphe je suis»suis » v10 Ainsi que la façon dont les émotions sont accentuéaccentuées pour montrer sa déception amoureuse citationsC itations : Ronsard, cela donne un aspect « lourd » au poème : « Montrez-moi par pitié vos puissances parfaites, « Et d’un remède prompt daignez moi secourir»secourir » vers 11 et 12 « Celui qui se connaît est seul maître de soi.

» (Pierre de Ronsard) « Vivez si m’en croyez, n’attendez à demain.

Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie.

» (Pierre de Ronsard) lexique Lexique : Blême (v6) : très pâle Laurier (Laurier (v14) : symbole de la victoire + réussite Prompt (v12) : très rapide Télèphe (v10) : personnage de la mythologie grecque que Achille A blessé et que seul lui pouvait le guérir. Emotions ressentis : Ronsard exprime dans son poème la douleur que peut provoquer l’amour, pour son cas il est question d’un amour pas réciproque.

Durant tout le sonnet, il va nous transmettre ces émotions en les accentuant grâce à des figures de styles notamment 3 hyperboles dans le premier quatrainsle premier quatrain : « Je me meurs abandonné d’espoir »v » v1 « La plaie est jusqu’à l’os tant la douleur extrême »v » v2 « Forçant la patience.

»v» v3 Il exprime également sont désespoir dans le second quatrain grâce à une énumération : « Je ne puis ni toucher, goûter, n’ouïr ni voir : » Œuvres parallèles : Sonnets pour Hélène (1578) A philis- Pierre de Marbeuf Recueil de vers-1628 Pierre de Marbeuf (1596-1645) est un poète baroque français du XVIIe siècle.

Né à Sahurs, il fait ses études au collège de La Flèche et vit à Paris de 1619 à 1623.

Il étudie le droit.

Auteur de sonnets baroques et du « Recueil de vers » (1628), il met en œuvre les thèmes de la nature, de la vie et de l’amour.

Il sera aussi maître des eaux et forêts, ce qui peut expliquer la présence régulière de la nature dans son œuvre.

Connu tardivement, c’est un poète utilisant énormément le registre comique et pathétique. Il sera également apprécier pour son côtercoter satirique Œuvre les plus connues : L’anatomie de l’oeil.(œil.

(1617) Je disais l’autre jour …(1628) Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage.

« A Phillis »( » (1628) Discrétion (1628) Ce que j’ai aimé J’ai aimé la façon dont Pierre de MarboeufMarbeuf joue avec les mots (rimes,rimes, alliterationsallitérations, assonances…).Mais aussi l’analogie de la mer avec des rimes croiser qui rappelerappellent le mouvement des vagues. Ce que je n’ai pas aimé Les allitérations, les assonance ainsi que le parallélisme des phrasedes phrases rendent le poème compliquer à lire. citations : Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux, Ton amour qui me brûle est si fort douloureux, Que j'eusse éteint son feu de la mer de mes larmes. (Pierre De Marbeuf) La mère de l'amour eut la mer pour berceau, Le feu sort de l'amour, sa mère sort de l'eau, Mais l'eau contre ce feu ne peut fournir des armes. (Pierre De Marbeuf) lexique Lexique : S’abîmer (v3) : sombrer, naufrager Hasard (v8) : risque Brasier (v13) : très grand feu Emotions ressentis : Pierre de Ronsard nous explique dans son sonnet en quoi l’amour est un sentiment douloureux en nous dévoilent ses sentiments et ses émotions intime. Tout d’abord tout le poème est basé sur l’analogie de la mer et de l’eau.

Il nous décrit l’amour comme une chose amer, ce qui est aussi le cas pour l’eau de mer : « Et la mer est amère, et l'amour est amer » v2 Il nous décrit aussi sontson amour très fort pour la personne visé de ce poème en utilisant une hyperbole ainsi que plusieurs métaphoreplusieurs métaphores entre le feu, les flames… et l’amour : « Ton amour qui me brûle est si fort douloureux » v» v13 Douleur d’amour – William Bouguereau William Bouguereau est un peintre français né le 30/11/1825 à La Rochelle où il est mort le 19/08/1905.

Il est un des représentants majeurs de la peinture académique française de la fin du XIX ᵉ.

En 1846, il entre à l'École des beaux-arts de Paris.

Le peintre a très réussi, à la fois financièrement et artistiquement.

Bouguereau était l’un des plus célèbres artistes français de son temps en France mais aussi dans d'autres pays.

Ses œuvres réalistes avaient des thèmes classiques et historique.

Les modèles grecs étaient l'inspiration pour ses tableaux mythologique et allégorique. Œuvre les plus connues : Dante et Virgile Compassion La bohémienne (1850) (1897) (1890) Ce que j’ai aimé J’ai beaucoup aimé le réalisme de ce tableau dû aux ombrages, la lumière ainsi que tous les détails.

Je trouve que la verdure ainsi que le milieu naturel du tableau apaisent. citationsC itations : Ce que je n’ai pas aimé Même si ce tableau est très apaisant il reste tout de même mélancolique.

On peut lire sur le visage de la femme la tristesse ainsi que sur les émotions du petit ange. « Pour moi, une œuvre d'art doit être une interprétation élevée de la nature.

La recherche de l'idéal a été le but de ma vie.

En paysage ou en marine, j'aime avant tout le motif poétique.

» (Louise Labé) Emotions ressentis : Nous pouvons voir une femme, penché sur un tombeau, avec.... »