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Canoé. - Kayak

Publié le 15/05/2020

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« Plein Air Canoé.

-Kayak Généralités Canoé ou kayak? Comme la montagne, les rivières sporti­ ves exercent un attrait considérable sur les jeunes épris à la fois d'aventure et de beauté naturelle.

Comme l'alpinisme , la des­ cente de rivières rapides est un sport de classe qui ne passionnera toujours que les meilleurs, l'élite sportive.

Elle exige moins de force que de finesse, moins de brutalité que d'intelligence.

Cependant, grâce à un entraînement appro­ prié, tout garçon ayant le goftt du risque et de la lutte peut prétendre affronter un jour des torrents suffisamment mouvementés pour lui fournir de saines émotions.

La première question que se pose le pos­ tulant est le choix du bateau : canoë (fran­ cisé en canoé) ou kayak ? Il y a quelques années, des polémiques passionnées opposèrent partisans de l'un et de l'autre.

Aujourd'hui que chaque bateau a fait ses preuves et que tous deux se sont ré­ vélés également efficaces, les discussions se sont tues et il n'est pas rare de rencontrer des passionnés de nautisme se servant indif­ féremment d'un canoé ou d'un kayaik.

Tous deux ont leurs lettres de noblesse : souvenons-nous des canoés indiens et des kayalks esquimaux.

Le kayaik est plus léger, presque toujours démontable, plus facile à réparer et moins onéreux que le canoé.

Le canoé canadien est plus résistant, moins fragile que le lkayak C'est un bateau de belle tenue, de belle allure; il en impose davantage que le kayaik.

En vitesse pure, sensiblement moins rapide, il se révèle peut­ être, en rivière rapide, plus fin manœu­ vrier, à condition d'être bien conduit, et il est plus difficile de devenir bon canoéiste que bon kayalkiste.

Conseils généraux.

1 • Savoir parfaitement nager et n'emme­ ner avec soi que de bons nageurs .

2• Pour toute cro1s1ere en eau un ·peu agitée, ou en mer, ou avec saut de barrage, passes de rapides, etc..

.

chacun doit porter obligatoirement un gilet ou une brassière de sauvetage .

Cotation des difficultés.

Comme pour la montagne une échelle de difficultés rel''lnnue par tous les usagers a été établie, }Jermettant des comparaisons : Degré I (très facile) : petites vagues ré­ gulières, passes faciles, bancs de sable, tra­ vaux d'art tels que piles de ponts ou endi­ guements.

Degré II (facile) : vagues assez régulières, rapides de moyenne difficulté avec passes franches, larges .

Degré III (moyen) : nombreuses vagues profondes et irrégulières, remous, rochers, rapides avec passes franches étroites.

Degré IV (difficile) : longs rapides, fortes vagues irrégulières, rochers dangereux, tour­ billons, passages souvent difficiles à recon­ naître.

Degré V (très difficile) : longs rapides interrompus parsemés de gros rochers, tour­ billons et courants violents, reconnaissance très difficile, mais nécessaire.

Degré VI (extrêmement difficile, voire im­ possible et très dangereux) : aggravation de toutes les difficultés énoncées, jusqu'à la li­ mite des possibilités.

Ces cotes, établies en tenant compte du facteur difficulté et danger, n'ont de valeur qu'en eau moyenne.

Certains parcours peu­ vent, en hautes eaux, passer à une cote supé­ rieure ou même devenir impossibles et of­ frir en eaux plus basses plus de facilité SI l'on ne tient pas compte des nombreux échouages que comporte la navigation effec­ tuée dans ces conditions.

Passe-lits.

Petits canaux de dérivation, pentes incli­ nées en ciment, simples escaliers éviteraient. »

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