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Candide voyage dans le temps et arrive au 21ème siècle, à notre époque. Il se trouve confronté à l'un des maux de notre société. Écrire ce chapitre en n'oubliant pas la naïveté de Candide (il reste également sous l'influence d'une idéologie optimiste).

Publié le 09/12/2021

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Candide voyage dans le temps et arrive au 21ème siècle, à notre époque. Il se trouve confronté à l'un des maux de notre société. Écrire ce chapitre en n'oubliant pas la naïveté de Candide (il reste également sous l'influence d'une idéologie optimiste).. Ce document contient 0 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Littérature
• Injustice ou dysfonctionnement de la société : à vous de le choisir. Voici quelques exemples : - La pauvreté > le nombre de SDF dans les rues. - Le nombre d'enfants trop gros. - L'impolitesse. - L'exposition de la vie privée des hommes politiques. - La pollution. - Le chômage. …   Voici un début de développement pour qui critique de l'indifférence des gens devant la pauvreté :  

« Candide voyage dans le temps et arrive au XXIe siècle, à notre époque.

Il se trouve confronté à l'un des maux de notre société.

Écrire ce chapitre en n'oubliant pas la naïveté de Candide (il reste également sous l'influence d'uneidéologie optimiste) . • Injustice ou dysfonctionnement de la société : à vous de le choisir.

Voici quelques exemples :- La pauvreté > le nombre de SDF dans les rues.- Le nombre d'enfants trop gros.- L'impolitesse.- L'exposition de la vie privée des hommes politiques.- La pollution.- Le chômage.… Voici un début de développement pour qui critique de l'indifférence des gens devant la pauvreté : Candide voyagea dans le temps et arriva au XXIe siècle.

Il découvrit un petit village dans lequel il fut bien accueilli. Les villageois furent étonnés de sa présence et surtout de son accoutrement car il avait gardé ses vêtements du XVIIIesiècle.

Mais le plus étonné fut bien Candide.

Il regardait tout avec de grands yeux émerveillés.

Il découvrait pour lapremière fois de sa vie les voitures, l'électricité, les bouilloires électriques… On devait à chaque fois lui expliquer l'utilité dece qu'il voyait et lui montrer que ce n'était pas dangereux (car les nouvelles technologies l'effrayaient toujours un peu audébut).

Quelques jours après, il s'était familiarisé avec la vie moderne, prenait avec délice des bains chauds (ce qui n'étaitpas encore possible au XVIIIe siècle) et savait même se faire un café Nespresso tout seul.

Le jeune homme étaitémerveillé par cette modernité.

Il souriait tout le temps, béat et admirait chaque invention : les interrupteurs (il adoraitappuyer dessus en répétant : jour- nuit- jour- nuit), le grille-pain, le téléphone portable (il ne cessait d'appeler laboulangère et Philippe l'épicier en riant, tout étonné ‒ quoiqu'ayant compris le système‒, ému et ravi à la fois), lescharentaises du maire dans lesquelles il aimait glisser ses pieds, etc.

Il ne cessait de répéter :« Quel dommage que Pangloss ne soit pas là, car je l'ai trouvé, enfin ce « meilleur des mondes possibles » .

Dans ce monde en effet, la faim n'existe pas, car il y a les frigidaires et même un Super U (immense cellier où on trouve toutes lesnourritures possibles).

Dans ce monde, le froid n'existe pas car on a des cheminées vitrées appelées inserts et deschauffages électriques (en appuyant sur un bouton, la chaleur arrive).

Et puis, la pauvreté n'existe pas car chacun a unemaison et un jardin et une voiture ! Je vais prendre des photographies de ce Paradis pour lui montrer qu'il a raison.

Toutest en effet pour le mieux dans ce meilleur des mondes ! ».Il vivait dans ce village depuis dix jours lorsque ses voisins, Simon et Martial, lui proposèrent de « monter » à Paris afin delui montrer toutes les splendeurs de la capitale.

Ce projet réjouit Candide qui fut toutefois apeuré lorsqu'il dut rentrer dansune énorme machine soufflante et criante pour s'y rendre (il pensait qu'ils iraient à pied ou en pirogue mais Simon etMartial préféraient prendre « le train »).En sortant de la gare de Lyon, Candide buta sur un homme gros, sale, sentant extrêmement mauvais, qui avait unebouteille de vin à la main.– Mon Dieu, s'exclama Candide ! Que fait ce pauvre homme par terre ?– Laisse, Candide, ne le regarde pas, c'est un SDF (sans domicile fixe), c'est-à-dire qu'il est pauvre et n'a pas de maison.On peut aussi dire un « clodo ».

Passons vite, on ne sait jamais.– Comment, « laisse ».

Mais ce pauvre homme est dans le froid.

Il sent mauvais.

Il se ruine la santé en buvant dès lematin.

Et tu me dis « laisse ».

Mais non, je ne vais pas le laisser, on va le ramener chez toi.

Tu vas le réchauffer près deton feu comme tu as fait pour moi, et tu lui feras une purée magique ! (Il parlait de la purée Mousline qui se fait touteseule).– Ah certainement pas ! répliqua Martial avec dégoût.

Je suis de gauche, voire d'extrême gauche, je le reconnais.

Je suispour les pauvres, contre les patrons mais il ne faut pas exagérer non plus : je ne veux pas de clochard chez moi.

Je suisdésolé pour lui.

Je compatis et c'est tout (c'est de la faute du gouvernement et pas la mienne).

Allez viens.

De toute façon,il y en a plein les rues, alors si tu voulais tous les ramener, ma maison ne serait pas assez grande, il me faudrait plusieurshôtels ! Je ne suis pas Noé et ne veux pas constituer d'Arche.

Je ne suis pas non plus l'abbé Pierre.

En plus, entre nous, jene sais pas si ces gens-là sont très fréquentables.

Ils sont ivres dès le matin, parfois, ils ont d'affreux chiens et ils nesentent pas bon.– Mais, il faut donc les aider au lieu de les ignorer ! Paroles que tout cela ! … À vous de continuer en imaginant les critiques que peut faire Candide déçu et révolté devant une société où des gensont tout et d'autres rien ; où les plus riches oublient les plus pauvres…. »

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