Candide

« Résumé de Candide L’histoire suit Candide, un jeune homme naïf élevé dans le château du baron de Thunder-ten-Tronckh.

Son précepteur, Pangloss, lui inculque la philosophie selon laquelle « tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles ».

Cependant, un jour, Candide est chassé du château après avoir embrassé Cunégonde, la fille du baron. Dès lors, il traverse une série de mésaventures à travers l’Europe, l’Amérique et le Moyen-Orient.

Il découvre la guerre, la misère, l’intolérance religieuse, les désastres naturels, et la cruauté humaine.

À chaque étape, il retrouve Pangloss, désormais défiguré par la syphilis, et Cunégonde, qui passe d’un statut de noble à celui d’esclave. Malgré son apprentissage de la réalité du monde, Candide garde un espoir tenace. Après avoir fait fortune et traversé de nombreux périples, il finit par s’installer avec Cunégonde et ses compagnons dans une petite ferme.

Au lieu de continuer à chercher un sens métaphysique à l’existence, il conclut qu’il faut simplement « cultiver notre jardin », exprimant ainsi l’idée qu’il est préférable d’agir concrètement plutôt que de se perdre dans des spéculations philosophiques. Analyse de Candide 1.

Une critique du philosophe Leibniz Voltaire attaque frontalement l’optimisme métaphysique prôné par Leibniz, qui soutenait que tout ce qui arrive est nécessairement pour le mieux.

Pangloss est la caricature de cette pensée : il refuse d’admettre les horreurs du monde et cherche à justifier chaque événement, même les plus tragiques, comme une nécessité divine. Voltaire, à travers les malheurs de Candide, démontre que ce raisonnement est absurde et détaché de la réalité. 2.

La satire des institutions Voltaire fustige les institutions religieuses, militaires et politiques.

La guerre est montrée comme un carnage insensé, les inquisiteurs sont cruels et hypocrites, et les rois apparaissent comme incompétents et despotiques.

Par cette dénonciation, Voltaire reprend l’esprit des Lumières, qui cherche à lutter contre l’obscurantisme et les abus de pouvoir. 3.

L’ironie omniprésente L’auteur utilise un.... »