BRETAGNE56 - MorbihanBelle-Lie, citadelle.
Publié le 17/05/2020
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Belle-Île
56 - Morbihan
Belle- ne, citadelle A quatorze kilomètres de Quiberon, la plus vaste des îles bretonnes fut de tout temps une forteresse et souvent attaquée par les flottes anglaises et hollandaises.
Elle fut ven due en 1650 au riche surintendant Fouquet qui fit de la çitadelle du Palais, construite en 1549 sur ordre d'Henri II, sa place forte.
Fortifiée par Vauban, elle fut un pénitencier jusqu'en 1936, et est aujourd'hui propriété privée.
Sous sa protection, Le Palais, la pe tite "capita1e" de l'île, sur la côte est, pos sède une atmosphère presque exotique avec ses maisons blanches aux balcons fleuris.
La côte Sauvage La côte est, protégée, possède des criques favorables à la baignade.
A l'opposé, la côte Sauvage, avec la rude majesté de ses falaises exposées au vent et à la pluie, est frangée d'écueils et forée de grottes où la mer s'engouffre dans un vacarme assourdissant.
La pointe du Talus, qui compose l'un des grands sites de cette côte, inspira à Alexandre Dumas le cadre de la retraite de Porthos.
Monet immortalisa par la peinture, en 1886, les aiguilles du Port-Coton, ainsi appelé parce que la mer qui y bouillonne ressemble à un paquet de ouate.
Tout au nord, à la pointe des Poulains, la tragé dienne Sarah Bernhardt acquit en 1893 un fortin désaffecté, près du fort qui porte aujourd'hui son nom.
La côte Sauvage est aussi un sanctuaire orni thologique, notamment de cormorans qui,
dans les cavités rocheuses de la grotte bapti sée de l'Apothicaire, avaient disposé leurs nids comme des bocaux sur les rayons d'une pharmacie.
Le refuge des artistes Flaubert, Proust, Colette et Willy, Prévert, Arletty et bien d'autres trouvèrent quelque
temps à Belle-Ile un refuge et le repos.
Outre Monet, les peintres Courbet, Matisse et Derain vinrent y chercher l'inspiration.
Car Belle-Ile possède un des climats les plus doux de France et, sur la lande, fleurissent de nombreuses espèces méditerranéennes et subtropicales : figuier, palmier, laurier arbo ré, myrte, camélia, mimosa ...
La légende de Jean et Jeanne Distants de deux cents mètres, les deux menhirs Jean et Jeanne seraient deux fiancés qui avaient voulu se ren contrer avant le mariage.
Ils furent punis par Satan qui les pétrifia.
Celui qui s'aviserait de surveiller, les nuits de pleine lune, le.
mouvement de l'un d'eux, serait instantanément écrasé par le menhir.
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