Boiga cynodon:Une couleuvre pouvant se montrer dangereuse pour l'homme.
Publié le 17/05/2020
Extrait du document
«
1 / 2 Boiga cynodon
Une couleuvre pouvant se montrer dangereuse pour l'homme
Le Boiga cynodon a le corps fortement comprimé latéralement.
La tête est bien distincte du cou avec des yeux
moyens aux pupilles elliptiques verti
cales.
Le dos et les flancs, jusqu'au bord externe des ventrales inclusive ment, sont brun clair, souvent jaunâ
tres ou rougeâtres, plus sombres dans
la partie postérieure, marqués de bar res transversales noires ou brun som
bre, parfois plus larges sur la ligne ver
tébrale en entourant alors une zone
claire; au bas des flancs, une série de
taches sombres arrondies alternent
avec les précédentes.
Les marques
transversales sont généralement plus
nettes
sur le quart antérieur du corps
et parfois indistinctes
dans la partie
postérieure.
Le dessus de la tête est un
peu plus foncé que le dos.
Le menton
Ovipare 1
et la gorge sont blancs; le ventre est jaunâtre dans sa partie antérieure, puis de plus en plus tacheté de gris et de brun, parfois entièrement sombre dans toute sa partie postérieure.
Ce boiga se trouve dans la péninsule Indochinoise, en Indonésie et aux Phi
lippines.
Dans la partie septentrionale de son aire de répartition, il vit en plai
ne,
dans les forêts claires et en bordure des rizières.
Il est arboricole et essen
tiellement nocturne.
Sa nourriture se
compose principalement et peut-être exclusivement d'oiseaux.
Le boiga
étouffe ses proies dans ses anneaux
avant de les avaler.
Les indigènes con
sidèrent cette couleuvre opistoglyphe
comme très dangereuse.
Un cas sérieux
d'envenimation a d'ailleurs été signalé
chez l'homme.
Longueur totale adulte: jusqu" à 2.65 m
Embranchement:
1 Classe: Vertébrés Reptiles 1 Ordre: 1 Sous-ordre: 1 Famille: 1 Genre et espèce: Squamates Ophidiens ~ l Colubridés Boiga cynodon
2 / 2.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- « Il n'y a qu'un classe dangereuse, c'est celle des intellectuels, c'est-à-dire des gens qui possèdent un instrument pour lequel il n'y a pas emploi. » Après avoir expliqué en quoi l'homme de lettres et l'écrivain peuvent être « dangereux » pour la société, vous direz si selon vous le danger qu'ils représentent est toujours nuisible ou peut être nécessaire ?
- Quelles réflexions vous inspirent ses affirmations de Beaumarchais sur la tâche de l'auteur dramatique : « Les vices, les abus, voilà ce qui ne change point mais se déguise en mille formes sous le masque des moeurs dominants : leur arracher ce masque et les montrer à découvert, telle est la noble tâche de l'homme qui se voue au théâtre [...] » ?
- Thierry Maulnier écrit dans son Racine (p. 70, Gallimard, édit.) : « Montrer sur la scène des monstres ou des meurtres, montrer du sang, montrer de brillants costumes ou des foules ou des batailles, tout cela est bon pour des primitifs, des romantiques ou des enfants. La grandeur et la gloire de l'homme sont d'avoir cessé de montrer parce qu'il a appris à dire. L'art le plus affiné et le plus complexe est nécessairement l'art où le langage - honneur des hommes, dit le poète - a la plac
- Montrer qu'en dépit de leur apparente diversité tous les grands ouvrages de Rousseau se rapportent à une thèse unique : « Tout est bien sortant des mains de l'auteur des choses, tout dégénère entre les mains de l'homme. » ?
- Commentez ce jugement de Taine (Nouveaux essais de Critique et d'Histoire, 1865, Hachette, édit.) : « Du roman à la critique et de la critique au roman, la distance aujourd'hui n'est pas grande.... Si le roman s'emploie à nous montrer ce que nous sommes, la critique s'emploie à nous montrer ce que nous avons été. L'un et l'autre sont maintenant une grande enquête sur l'homme, sur toutes les variétés, toutes les situations, toutes les floraisons, toutes les dégénérescences de la nature