blaspheme mill

« Le droit de blasphème chez Mill : justification politico-religieuse de la critique de la religion -thème : religion  -morale : chacun devrait être libre de vivre comme il l’entend, sans qu’une société ou une religion lui impose des règles sous prétexte que Dieu pourrait être offensé. -politique : il n’existe personne sur terre qui puisse prétendre rendre la justice pour dieu.

Ainsi aucune loi sur le blasphème n’a d’intérêt à exister. - explication monde : dieu ne peut pas agir sur terre, on n’est donc pas obligé de se plier à ses volontés. -concepts : 1) liberté individuelle 2) contrainte religieuse 3) offense (blasphème) / préjudice 4) morale imposée 5) persuasion 6) consentement général -Auteur : -Mill -Idées principales : La liberté individuelle doit primer sur les règles religieuses → Chacun devrait être libre de suivre ou non une coutume religieuse sans qu’elle soit imposée par la loi. Les lois religieuses peuvent être une forme d’oppression → Imposer des règles comme l’interdiction de travailler (jours fériés) ou de se divertir un jour précis (exemple du sabbat) limite injustement la liberté des individus. La religion est souvent utilisée pour justifier des interdictions arbitraires → Certaines restrictions (comme l’interdiction des loisirs le dimanche) ne reposent sur aucune nécessité réelle, mais uniquement sur des croyances. L’intolérance religieuse pousse à la persécution → Ceux qui refusent de suivre les règles religieuses sont souvent marginalisés ou persécutés. L’idée d’un Dieu offensé sert à justifier le contrôle social → Faire croire que Dieu est blessé par certains comportements permet aux institutions religieuses d’exercer un pouvoir sur la société.

En réalité, dieux, en tant qu’être suprême ne s’offense pas de comportement individuel. Plan I.

La religion comme fondement de l’ordre politique et moral A.

Une influence historique des dogmes religieux sur les lois Les sociétés se fondent sur des lois inspirées de la religion (ex.

interdiction du blasphème, lois sur les jours saints). Exemple dans le texte : l’imposition du repos du sabbat, qui.... »