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BIOLOGIQUE

Publié le 18/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : BIOLOGIQUE Ce document contient 1312 mots soit 3 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en SVT.

« Les bonnes raisons de manger bio  Pour la santé  :  Meilleur ou pas meilleur pour la sant é ? Certaines  études assurent que oui, d'autres les   contredisent... D'un c ôté des aliments naturels, de l'autre des aliments auxquels on a   ajout é, d ès leur croissance, des produits de synth èse dont on ne conna ît pas encore tous   les effets... C'est s ûr, on retrouve parfois des r ésidus de pesticides, y compris en bio,   parce que quand l'air est pollu é... Mais il y en a de toutes fa çons moins que dans les   produits arros és d'engrais et insecticides chimiques... En l'absence de certitude et de conviction   personnelle, le principe de pr écaution m érite d' être appliqu é. Il reste que le logo AB vous garantit des produits sans OGM, sans conservateurs ni additifs de synth èse.

  Vous  êtes s ûrs de ne pas avaler  à votre insu des substances synth étiques dont on pourrait plus tard   d émontrer des effets n égatifs.  Il faut aussi penser  à la sant é des agriculteurs. De plus en plus d' études m édicales d émontrent que   l'utilisation de pesticides  à haute dose dans les exploitations met leur sant é et celle de leurs enfants en   danger.  Voir les derni ères  études   :  http://www.developpementdurablelejournal.fr/spip.php?article1441   Pour les saveurs : Les aliments biologiques sont souvent plus savoureux, les plantes ont eu le temps de pousser dans une terre qui n'est pas forcée, et sont issues de variétés sélectionnées pour leur goût, leur rusticité. Les processus de fabrication sont respectueux des qualités nutritives des aliments, qui sont le plus proches possible de leur état naturel, le moins raffinés, désodorisés, édulcorés possible.

Ils ont souvent un goût plus marqué que les produits conventionnels. Pour les hommes : En bio, les agriculteurs touchent un revenu décent en exerçant une activité valorisante, bien mieux en tout cas que leurs collègues du conventionnel qui sont pris dans un engrenage de subventions, de quotas et d'endettement tout à fait illogiques. Cela étant, l'agriculture bio n'est pas la panacée, la vie est dure pour ces paysans-là aussi.

Rappelons que la bio n'est pas subventionnée ! Pourtant, non seulement elle ne nécessite pas de dépollution en aval, mais elle crée des emplois : le désherbage manuel, par exemple, ça demande quelques paires de bras, contrairement aux herbicides de synthèse...

Plus de main-d'oeuvre, moins de rendements, plus de temps passé, pas de subventions...

Tous ces surcoûts se répercutent sur les prix.

Pour l'environnement : Quand on achète un produit bio, on sait que sa production n'a pas déversé de résidus néfastes dans la nature, ni n'a détruit irrémédiablement d'espèces...

Si de plus c'est un produit local et de saison, on sait que son transport et sa culture ont été économes en énergie, ce qui permet de ne pas aggraver l'effet de serre.

La bio se soucie de la biodiversité, et lutte contre l'uniformité.

Bien souvent, elle utilise des variétés oubliées, choisies pour leurs qualités gustatives ou nutritionnelles.

Topinambours, choux-raves, blés anciens, petites pommes d'antan... Pour la s écurit é : L'agriculture biologique est très surveillée.

Des laboratoires indépendants effectuent des contrôles annuels dans les exploitations, croisent des données, vérifient les comptes, analysent les produits, pour débusquer les rares fraudeurs.

Et quand il y en a, on les trouve, ce qui est finalement rassurant !!! Au bout du compte... Il faut comparer ce qui est comparable.

Quand on achète un produit bio, on sait que sa qualité a été contrôlée, que sa production s'est faite en protégeant l'environnement, qu'il a peut-être même contribué à créer des emplois, que ceux qui l'ont travaillé l'ont fait avant tout avec plaisir et amour de leur métier... Tout cela a un coût, payé par les producteurs, et répercuté sur le prix de vente.

Derrière un produit conventionnel, on oublie qu'on paye en plus avec nos impôts les subventions d'agriculteurs dévalorisés, les dépollutions. »

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