BERNARD BLIER

« 1 / 2 BERNARD BLIER Période 1965-1977 NOTICE BIOGRAPHIQUE Depuis déjà quelques années Bernard Blier apparaît comme un comédien de tout premier plan au sein du cinéma français.

En Italie il est également un acteur recherché.

Dans ces deux pays il tourne régulièrement tout en ne délaissant pas le théâtre (en France).

C'est alors que Bernard Blier se souvenant des déclarations que lui fit - jadis - le grand Jouvet, déclare : «Parlant des répliques Jouvet avait raison quand il disait : C'est dans le superficiel qu'elles sont profondes ( ...

) Toi tu commenceras ta carrière à cinquante ans, me répétait-il toujours.

Il ajoutait : Prends ton temps..

J'ai toujours suivi ses conseils.

J'ai passé ma vie à obser:_ver les autres, en m'amusant des travers de chacun.» (Déclarations faites au Journal du Dimanche le 18 mai 1975).

De Lizzani à Visconti, de Lautncr à Audiard, de Pierre Richard à Robin Davis en passant par son fils Bertrand, Bernard Blier plus que jamais aujourd'hui se souvient des leçons de Jouvet.

CE CHER VICTOR en est sur ce plan une preuve flagrante.

1965 1966 1967 1968 1969 1970 1971 1972 1973 '1974 1975 /976 1977 FILMOGRAPHIE QUAND PASSENT LES FAISANS (Édouard Mo/inaro) - UNE QUt'STION D'HONNEUR (Una questione d'onore, Luigi Zampa) -UN CRIME PRESQUE PARFAIT (Un de/lita quasi perfetto, Mario Camerini) -DUEL DANS LE MONDE (Due/Io ne/ mondo, Luigi Scattini) -LtS BONS VIVANTS (Gilles Grangier).

l,E GRAND RESTAURANT (Jacques Besnard) - PEAU D'ESPION (Édouard Moli­ naro) - DU MOU DANS LA GACHETTE (Louis Grospierre) - UN IDIOT A PARIS (Serge Korbert) - BREAKDOWN ou SI J'f;TAJS LSPJON (Bertrand Blier).

L'ÉTRANGtR (Lo straniero, Visconti) - LE FOU DU LABO 4 (Jacques Besnard) - COPLAN SAUVE SA PEAU (Yves Boisset) - CAROLINE CHÉRIE (Denys de la Patellière) - NOS fltJWS RÉUSSIRONl~JLS A RETROUVER LEUR AMIS MYSTÉRIEUSEMENT DISPARU EN AFRIQUE? (Ettore Scola).

FAUT PAS PRENDRE LES ENFANTS DU HO.V IJILU POUR Dl:S CANARDS SAUVAGES (Michel Audiard).

MON ONCLE BENJAMIN (Édouard Molinaro)(À) APPELEZ-MOI MATHILDE (Pierre Mondy).

ELLE BOIT PAS, ELLE FUME PAS, ELLE DRAGUE PAS, MAIS ...

ELLE CAUSE (Michel Audiard)@ LE DISTRAIT (Pierre Richard) - LE CRI DU CORMORAN LE SOIR AU-/JESSUS DES JONQUES (Michel Audiard).

LAISSE ALLER C EST UNE VALSE (Georges Lautner) - JQ.J/ean Girault) - HOMO EROTICUS (Marco Vicario) - LES DOIGTS CROISES (Catch me a Spy, Richard Clément) - LE TUEUR (Denys de la Patellière) - IL FURTO E L'ANIMA DEL COMMERCIO (Bruno Corbucci) -BOCCACIO RACONTA (Bruno Corbucci).

TOUT LE MONDE IL EST BEAU TOUT LE MONDE IL EST GENTIL (Jean Yanne) - LE GRAND BLOND AVEC UNE CHAUSSURE NOIRE (Yves Robert) - ©ELLE CAUSE PLUS.

ELLE FLINGUE (Michel Audiard) - MOI YEN A VOULOIR DES SOUS (Jean Yanne).

JE SAIS RIEN MAIS JE DIRAI TOUT (Pierre Richard) - PROCESSO PER DIRETISSIMA (Lucio de Caro) -PAR LE SA,".(; nt.S AUTRES (Marc Simenon) -'.'.'.

LA MAIN A COUPF~ (Étienne Périer) -LES U/!NO/S A PARIS (Jean Yanne).

~ CE CHER V/CTQR (Robin Davis) - IL PIATTO P/ANGE (Paolo Nuzzi) -..!1Q!:!.j_ .~ BAISERS A LUNDI (Michel Audiard) - C'EST PAS PARCE OU'ON A RIEN A 1§ DIRE QU'IL FAUT FERMER SA GUEULE (Jacques Besnard).

~ C'EST DUR POUR TOUT LE MONDE Christian Gion) - MF;§_ Ç!f.ER$.AMIS (Amici "' miei, Mario Monicelli) - LE FAUX CUL Roger Hanin) - CALMOS (Bertrand Blier).

~ NUIT D'OR (Serge Moati) -~LE CORPS DE MON ENNEMI (Henri Verneuil).@ § LE COMPROMIS (Christian 7erbib).

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