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Beat generationA la " génération perdue " celle de la Première Guerre mondialedéfinie ainsi par l'écrivain Gertrude Stein -- " A rose, is a rose, is a roseis a rose, etc.

Publié le 22/05/2020

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« Beat generation A la “ génération perdue ” celle de la Première Guerre mondiale définie ainsi par l'écrivain Gertrude Stein — “ A rose, is a rose, is a rose is a rose, etc.

” succède une deuxième “ génération perdue ”, celle de la Seconde Guerre mondiale, appelée en américain la “ Beat generation ”. Elle se définit par le beat , rythme décousu inspiré du jazz.

Ce mouvement littéraire incarné par Kerouac, Ginsberg, William Burroughs, Cassady, Corso, sera à l'origine des mouvements contestataires américains des années 60.

Mouvement de la révolte, de la recherche individuelle, la Beat generation cherche en vain des échappatoires : voyages, drogue, alcool, mysticisme face à un rêve américain enterré et qui appartient résolument au passé. Cette recherche a des allures de fuite en avant avec comme symbole, la route n°6 qui traverse l'Amérique d'Est en Ouest et que choisit de prendre Kerouac dans Sur la route , livre culte du beat .

Son projet tourne court : l'Amérique n'est plus un rêve qui conduit droit vers l'avenir et les grands espaces.

Il continuera son voyage en stop, par d'autres chemins, accompagné de voyous roulant à 200 km à l'heure entre euphorie et coups de blues.

Pas de salut possible, même lorsque l'on quitte la frénésie new-yorkaise pour San Francisco, dans Big Sur (Kerouak).

Ginsberg, porte-parole de la contestation des années 60, crie sa révolte et sa haine de l'Amérique.

Son premier roman : Hurlement (1956). Les écrivains de la beat sont d'insatiables vagabonds, leurs périples les conduisent dans une quête mystique jusqu'en Inde, entre fumette et zen.

Autres expériences de drogue, celles de William Burroughs : écrits anarchisants, collages, montages, il s'inspire de l'Orient.

La quête de la beat : la recherche de la liberté individuelle et de la paix intérieure.. »

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