Balzac

« Né en 1799 et mort en 1850, Honoré de Balzac est un écrivain réaliste français du 19 ème siècle.

Il a écrit beaucoup d’œuvres qui ont fait sa gloire comme : « les Chavans » (1829), « Une ténébreuse affaire » (1841) ou encore « Le père Goriot » (1834).

Nous allons faire l’étude de son œuvre « Le père Goriot » qui a été écrit en 1834.

C’est l’histoire du père Goriot qui s’est ruiné pour ses filles, de l’ascension social de Rastignac (lui qui veut faire partie de la haute société et qui compte être aidé par les femmes et l’argent pour y arriver) puis l’histoire de tous les pensionnaires. Nous allons étudier un passage du chapitre 1 où Balzac décrit le Père Goriot en répondant à la problématique suivante « : « quel est la fonction de ce portrait ? » Nous allons étudier cela en plusieurs axes : la fonction narrative, le réalisme du portrait et la dimension pathétique du personnage.

La description du père Goriot est une étape clé du roman, c’est l’un des personnages principaux, puis « Le père Goriot » est le nom du livre.

Sa description intervient après les autres, cela dure environs 19 lignes.

Il y a plusieurs procédés dans cet extrait comme une accélération du rythme ou même la juxtaposition des mots (il devint, ses mollets, sa figures), on appelle ça un phénomène mécanique. Il y a une accumulation d’élément du corps du père Goriot qui est décrite négativement, en le rabaissant en quelque sorte.

(Mollet, figure, mâchoire, yeux...) Balzac insiste sur la dégradation physique du personnage. Balzac emploi du passé simple et de l’imparfait pour la description du père Goriot.

Les indicateurs de temps comme (progressivement, durant la quatrième année de son établissement rue Neuve-Sainte-Geneviève) précise l’évolution au cours du temps du père Goriot et de comment il devient. Les phrases de Balzac sont longues, il donne beaucoup de détails.

Il utilise un point de vue externe, tout ce que Balzac apprend du père Goriot passe par ce qu’il voit ou ce qu’il entend. Page 49, le point de vue change et passe interne.

Il sait ce que pensent les gens.

(« Aux uns il fessait horreur ; aux autres, il faisait pitié.

De jeunes étudiants {…} en rient tirer) le monde avait une image de lui bien négative.

La description devient de plus en plus cruelle au cours du temps.. »