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Aristide MAILLOL:MAISON EN ROUSSILLON.

Publié le 17/05/2020

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« Aristide MAILLOL MAISON EN ROUSSILLON Cette toile fait-elle penser à Harpignies ou bien à Corot lors du premier séjour qu'il fit en Italie? Elle prouve en tout cas que Maillol fut un bon peintre avant de s'orienter vers la tapisserie ...

puis de devenir un immense sculpteur.

Séjournant à Leucate, dons l'Aude, chez sa sœur aînée Marie, qu'il aime beau coup, Maillol arpente la compagne à la recherche de l'ins piration.

Son beau-frère , De s py , est chef de gare , et c'est lui qui aid era le peintre à trou v er des clients dons les première s années diffi ciles.

L'HOMME Maillol arrive à Paris en 1881.

Admis dons les ateliers de Gérôme et de Cabanel, il se lie avec les nabis et surtout avec Maurice Denis.

Il s'oriente ensuite vers la tapisserie et fonde même un atelier à Banyuls, allant cher­ cher dons la montagne les plantes pour teindre les laines.

Ouond une grave maladie des yeux l'oblig e à mettre fin à cette activité, il se tourne vers la sculpture , découvrant à quarante ons sa véritable vocation.

LE CONTEXTE C'est précisément lors d'un séjour chez sa sœur Marie que Maillol s'initia à la sculpture en ciselant une chèvre à partir d'un morceau de bois.

Enthousiasmé , son beau-frère lui pro­ cura des outils appropriés et lui offrit une ron­ din de poirier mort.

« Maillol tira de ce bois A la fin de sa vie, Maillol revint à la peinture, s'obstinant toujours sur les mêmes figures, des baigneuses nues.

Aristide MAILLOL 1861-1944 • Maison en Roussillon • Huile sur toile 54 cm x 73 cm • Signé en bas, à droite, «ARISTIDE MAILLOL)) • Peint en 1889 • Localisation: Paris, musée d'Orsay • Expositions : Marseille, 1956; Paris, 1961; Hambourg, 1961-1962; Angers, 1967; Baden-Baden, 1978; Barcelone, 1979; Saint- Tropez, 1994 une jeune femme jouant de la mandoline que sa sœu~ conserva longtemps chez elle », raconte Edouard Vilarem.

« L'inspiration était en moi, et je devins sculpteur», dira Maillol.

L'ŒUVRE Ce tableau est un hymne ou soleil, ou soleil écrasant du Midi: un terrain nu, sons un arbre à l'horizon, un après-midi torride, un ciel de plomb, comme vitrifié par la chaleur, avec la mer aussi lisse qu'un miroir en arrière-plon, le silence de la campagne désertée par toute présence humaine, et une lumière dorée qui semble se diffuser dans tous les insterstices de la toile.

«Pour me reposer du soleil, écrit Maillol à Antoine Bourdelle , je fais des baraques où l'on compte toutes les pierres sur le bord de la mer.

Ce serait très beau de faire dans le sens simple des Grecs.

Je fais le côté de l'ombre.

C'est très difficile, mais cela repose tout de même du grand éclat du soleil il ne faut pas tant se décarcasser.» LA COTE Les huiles sur toile de cet artiste qu i fut plutôt un sculpteur vont de 275 000 FF (50000 dollars) à 600000 FF (110000 dollars), tandis que les fusains se négocient entre 25000 FF ( 4500 dollars) et 93000 FF (20000 dollars).. »

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