Arias, les Caractères de la Bruyère (commentaire)

« Arias, les Caractères de la Bruyère Parcours : Pensée et imagination Intro= (Amorce) Au XVIIe s, le classicisme est un mouvement littéraire et culturel s’oppose au mouvement baroque.

Il a pour objectif de plaire (placere), émouvoir (movere), instruire (docere).

Elle transmet une morale, explicite ou implicite, et rechercher le naturel.

On le relie à la monarchie absolue de droit divin de Louis XIV, qui parait étouffante à certains artistes qui vont donc par le bai de leurs arts parfois la dénoncer et les défauts humains.

Molière, Racine appartiennent à ce mouvement. (Présentation auteur/œuvre) La Bruyère nait en 1645, c’est un moralise français. Lorsqu’il l’écrit il s’inspire d’une œuvre d’un auteur grec, qui a vécu entre le IV et le III s avant JC, Théophraste qui avait écrit un recueil de portrait.

Cependant, La bruyère se penche davantage sur les défauts.

Il s’attache à peindre des défauts et se livre à une satire sociale.

Il va faire œuvre politique (s’occuper des affaires de la cité), il aborde le thème de la pauvreté du peuple et la dénonce. Le portrait est extrait de la 5ème section des caractères, intitulé de la société et de la conversation.

Le sens de la proposition « de » signifie à propos.

Dans celle-ci il aborde le thème de la société policé et des convenances (règles à respecter, savoir vivre).

À la cour on a la règle du savoir parler.

La conversation c’est le fait d’être avec quelqu’un, c’est un vrai échange.

Or ici, la Bruyère va peindre le type même d’un causeur perverti par l’orgueil.

Il va convier une assemblée de convive courtois par son comportement.

Il contrevient aux bonnes manières. Comment la Bruyère mène-il une satire des courtisans à travers un récit plaisant ? 4 mouvements : - 1er « quelque chose », présentation générale d’Arias comme un pédant (veut montrer son savoir - 2ème, « éclater », Arias dans un repas mondain - 3ème « circonstances », interruption par un convive d’Arias qui lui réponse insolemment - 4ème, coup de théâtre qui fait taire Arias 1er mouvement= - « Arias a tout lu, a tout vu » point de vue d’Arias, connait tout - « Il veut le persuader ainsi », point de vu ironique la Bruyère - « , », Parataxe, phrases juxtaposées mais sans connecteur logique, permet d’avoir un lecteur actif qui cherche à créer le lien entre les phrases - Occupe l’espace de parole, phrase longue, - « Il aime mieux mentir que de se taire ou de paraitre ignorer quelque chose », l’avie de la Bruyère sur le personnage, difficile d’admettre ses tords - Parole de La Bruyère : discours indirect. »