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Analyse de la lettre 106, Liaisons dangereuses

Publié le 15/05/2020

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« Ce passage se situe dans la troisième partie juste après que le comte de Valmont ait réussi à avoir la clé de lachambre de Cécile et qu’il ait montré son intérêt envers Mme de Tourvel. Ce passage de quatre pages peut être découpé en quatre parties. La première se découpe de la ligne 1 à la ligne 8 et se nommera : Flatterie.

Mme de Merteuil va flatter les exploitsdu Vicomte de Valmont. La deuxième partie implique les lignes 9-16 : Moquerie.

La marquise se moquera des malheurs de la présidente La troisième partie est constituée des lignes 17-70 : Sarcasme.

La marquise va être sarcastique envers le comte deValmont et va aussi se moquer de lui. La quatrième partie sera formée des lignes 71- 87 : Manipulation.

La marquise va nous montrer comment elle s’yprend pour manipuler les gens et comment les gens essaie de la manipuler. La cinquième partie se découpe des lignes 88-92 : Adieu.

Mme de Merteuil fait ses adieux au vicomte. L’axe de lecture de sera le dénigrement. Dans la première partie nous pouvons nous aprecevoir que Mme de Merteuil complimente le vicomte «Tandis quedéjà fier de vos succès à venir, vous en sollicitiez la récompense, ».

« en voyant votre retenue, digne des plusbeaux temps de notre chevalerie, » Mais elle le complimente que pour mieux le dénigrer, comme le prouve les quatrederniers mots de ce passage : « Voilà une affaire manquée ! ». Dans la deuxième partie, la marquise va se moquer ouvertement de lui, riant de lui et de celle qu’il a réussi à séduire.« Que voulez-vous que fasse une pauvre femme qui se rend, et qu’on ne prend pas ? Ma foi, dans ce cas-là, il fautau moins sauver l’honneur.

» Elle lui dit clairement que c’est un sot, qu’il dépend d’elle.

Qu’il ne vit qu’avec desacquis et ne sait s’adapter a de nouvelles situations.

« Aussi, dès que les circonstances ne se prêtent plus à vosformules d’usage, et qu’il vous faut sortir de la route ordinaire, vous restez court comme un écolier.

» Elle le dénigrecomplètement, ne reconnait pas qu’elle a perdu son pari.

Elle n’a aucune compassion pour lui, elle le prend pour unenfant et ne montre en aucune façon des sentiments amicaux.

Elle a juste des sentiments professionnels, elle ne luidit aucun mot doux.

Elle le remercie tout de même pour le travail qu’il a fait au près de Cécile Dans la troisième partie, Mme de Merteuil va dénigrer Cécile : « Je me désintéresse entièrement sur son compte.J’avais eu quelque envie d’en faire au moins une intrigante subalterne & de la prendre pour jouer les seconds sousmoi : mais je n’y vois pas d’étoffe.

» Elle se désintéresse totalement des personnes, tout ce qu’elle veut c’estarriver a ses fins par n’importe qu’elle moyen quitte a détruire des vies.

Elle les dénigre tellement qu’elle ose mêmeles comparer à être juste des objets qui sont présent juste pour le plaisir charnel : « Ces sortes de femmes ne sontabsolument que des machines à plaisir.

» Elle les compare a des machines dont il ne faut pas dévoiler le mécanismecar cela voudrait dire qu’elle en perdrait le contrôle.

: « Mais n’oublions pas que de ces machines-là, tout le mondeparvient bientôt à en connaître les ressorts et les moteurs ; ainsi, que pour se servir de celle-ci sans danger, il fautse dépêcher, s’arrêter de bonne heure, et la briser ensuite.

» Dans la quatrième partie, elle nous montre une part de ses sentiments qui sont la colère, le mépris, l’humiliation.

Ellenous montre qu’elle n’a aucune pitié envers celles qui ont fait un pas de travers alors qu’elle se permet d’avoir desamants : « Vous verriez comme je méprise les femmes assez dépravées pour avoir un amant ! Il est si commoded’être rigoriste dans ses discours ! » Elle nous démontre qu’elle est vraiment prête a tout pour nuire au compte deGercourt car elle réussi à dire du bien de ce dernier pour pouvoir mieux lui nuire après : « l’idée de nuire à Gercourtm’a donné le courage d’en dire du bien.

» Dans la cinquième et dernière partie, Mme de Merteuil fait ses adieux en lui disant que sa l’arrange qu’il resteéloigner d’elle et que elle ne cédera pas à la promesse qu’elle a faite car elle l’accuse de ne pas avoir bien fait sontravail : « vous conviendrez, sans doute, que ce n’est pas ma faute.

» En conclusion, nous pouvons voir que Mme de Merteuil est très égocentrique, elle manipule les gens à la perfectionet surtout, elle dénigre les gens et les traites comme si elle était supérieure à eux.

Elle ne nous montre que dessentiments sombre, mais de temps à autre il y a un sentiment de bonté mais il est toujours la pour pouvoir mieuxnuire à la personne plus tard.

Avec les éléments de cette lettre nous pouvons nous imaginer que le vicomte céderaencore une fois en face de la marquise et qu’il fera tout pour réussir à la satisfaire.. »

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