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Aliena nobis, nostra plus alüs placent / Les biens d'autrui nous plaisent davantage que les nôtres, et les nôtres plaisent davantage aux autres

Publié le 01/01/2022

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Aliena nabis, nostra plus aliis placent Les biens d'autrui nous plaisent davantage que les nôtaes, et les nôtres plaisent davantage aux autres Cette sentence de Publilius Syrus (A 28) revient à l'identique chez Sénèque (De ira, 3, 31, 1) et elle fut citée par plusieurs auteurs chré­ tiens tels Salvien (De gubernatione Dei, 1, 10 [PL 53, 44b ]) et Julianus Pomerius (De vita contemplativa, PL 59, 45 la): il s'agit d'une fù1111u­ lation générique, semblable à une exclamation de Pline l'Ancien ( 12, 38, 78), que l'on trouve plus souvent exprimée par d'expressives images agricoles.

Citons ainsi un passage d'Ovide (Ars amatoria, 1.

349 sq.

: Fertilior seges est alienis semper in agris.

/ vicinumque pecus grandius uber habet, (Walther 21506; cf.

aussi 1063), et Quodque domi non est et habet ,·icinus amatur, > (26129), qui dérive de l'expression de Juvénal (6, 152 sq.), réutilisée aussi par Jean de Salisbury, Policratique, Pl 199, 396c ; 767c, et par Georges Galopin, Notae in verhum abhreviatum, Pl 205, 4 7 5d ( mais avec la variante ematur,. »

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