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Afrique du sud.

Publié le 07/12/2021

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Afrique du sud. Première puissance économique de l'Afrique,
grâce à ses prodigieuses richesses minières et au développement
d'une industrie diversifiée, l'Afrique du Sud a dû faire face pendant
des décennies aux sanctions internationales que lui valait la
ségrégation raciale imposée aux populations noires, asiatiques ou
métisses par les Blancs, d'origine afrikaner ou britannique. La fin
de l'apartheid, en 1991, a soudain ouvert la voie à un régime
démocratique, qui a pour difficile mission d'effacer toutes les
traces de cette histoire douloureuse.
L'Afrique du Sud, anciennement appelée Union sud-africaine, est
devenue une République fédérale en 1961. Le régime d'apartheid,
qui visait à un développement séparé des groupes de population
sur des bases ethniques, a été aboli en 1991, et les dix
bantoustans, uniquement peuplés de Noirs, que comprenait le
territoire ont été supprimés. Neuf provinces ont été créées, au
lieu des quatre d'origine (Province du Cap, Natal, Orange,
Transvaal). Après l'adoption, en novembre 1993, d'une
Constitution intérimaire, remplaçant la Constitution de 1963, puis,
le 8 mai 1996, d'une nouvelle Constitution, la démocratie
multiraciale a été définitivement instaurée.

Géographie

Les conditions naturelles.
Le relief oppose les formes monotones des plateaux intérieurs aux paysages contrastés
de la périphérie. Les plateaux, dont l'altitude se situe pour l'essentiel entre 900 et
1 000 m, sont ceinturés par un arc de hauteurs nommé le Grand Escarpement. Celui-ci
culmine à 3 482 m dans les montagnes du Drakensberg, au Lesotho. Il domine de façon
très abrupte les plaines, collines et chaînons de la zone côtière. La latitude et l'altitude
adoucissent les températures, qui restent néanmoins plus chaudes dans la zone côtière
orientale. Mais, sauf dans la région du Cap, les pluies sont de type tropical, notamment
par leur caractère estival. Sur la côte orientale et sur les hauteurs du Drakensberg, il
tombe 1 m de pluie par an et seulement 100 mm aux abords de l'océan Atlantique. Les
neuf dixièmes du territoire souffrent de l'irrégularité des pluies et connaissent des
problèmes d'eau.
On peut distinguer trois grands domaines bioclimatiques : l'Est humide, l'Ouest aride,
et le Sud, qui bénéficie d'un climat de type méditerranéen. À l'est d'une ligne MafekingPort Elizabeth, les pluies dépassent 500 mm par an, et l'agriculture est possible sans
irrigation. Une riche prairie de graminées, le Veld, couvre les plateaux intérieurs ; elle
cède la place à la savane au nord de Pretoria et au bas Transvaal, ainsi qu'au Natal, où la
forêt tropicale a presque entièrement disparu. Le climat des régions côtières, au sud, est
également propice à l'agriculture. Tout le reste du pays, soit la moitié du territoire, reçoit
moins de 500 mm de pluie : l'irrigation y devient indispensable, mais l'élevage de
moutons peut y prospérer. On passe du Veld à la brousse à épineux, puis à une steppe
de plus en plus clairsemée au fur et à mesure que l'on approche de la côte atlantique qui
est, elle, franchement désertique.
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Les corrélats
Bonne-Espérance (cap de)
Drakensberg
Natal
Port Elizabeth
Transvaal

veld
Les livres
veld, page 5437, volume 10
Afrique du Sud - paysage de la province du Cap, au sud-ouest de la ville,
page 84, volume 1

Les aspects humains.
Les Sud-Africains se partageaient, selon la classification officielle, en Noirs, Blancs, Métis
(Coloured) et Asiatiques. La forte natalité des Noirs (38 ?), très supérieure à celle des
autres groupes, et surtout à celle des Blancs (8,3 ?), a donné à ce groupe ethnique un
poids croissant dans la population.
Les Noirs sont officiellement divisés en neuf groupes ethno-linguistiques, mais leurs
langues, appartenant à la famille bantoue, sont proches les unes des autres. Les Blancs
se répartissent en deux groupes : 60 % d'Afrikaners, parlant l'afrikaans, et 40 %
d'anglophones. Les Métis sont les descendants lointains d'unions entre Blancs et
esclaves hottentotes, asiatiques ou noires venues d'autres régions ; ils parlent à 90 %
afrikaans. Les Asiatiques sont pour la plupart originaires de l'Inde ; ils sont anglophones.
Les Blancs sont disséminés sur tout le territoire ; les Noirs sont concentrés surtout à
l'est, les Métis, dans la région du Cap, et les Indiens, dans le Kwazulu-Natal.
La densité moyenne est supérieure à 35 habitants au km2, mais tout l'Ouest aride
est presque vide. La population occupe surtout le Veld et les régions côtières est et sud.
La moitié des Sud-Africains sont des ruraux : il s'agit surtout de Noirs, les autres
groupes étant urbanisés à plus de 75 %. Les Noirs n'en sont pas moins majoritaires
dans la région appelée PWV (Pretoria, Witwatersrand, Vereeniging), vaste conurbation
de plus de 10 millions d'habitants qui s'est constituée autour de Johannesburg.
La politique d'apartheid avait cantonné la population urbaine non blanche dans les
townships, banlieues éloignées des centres-villes, et cherché à concentrer les Noirs dans
les bantoustans. Les lois qui régissent cette ségrégation territoriale ont été abrogées en
1991, mais il demeure de très forts contrastes socio-économiques entre groupes
raciaux. La population blanche dispose des meilleurs équipements aussi bien scolaires
que médicaux, et ses revenus sont en moyenne sept fois plus élevés que ceux des
autres Sud-Africains.
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Les corrélats
afrikaans
Afrikaner
bantou
bantoustan
Bochimans
Damaras
Hottentots
Johannesburg
métis, métisse
Pretoria
Vereeniging
Witwatersrand
Xhosas
Zoulous
Les livres
Afrique du Sud - femme de l'ethnie des Ndébélés, page 84, volume 1

La vie économique.
L'Afrique du Sud est de loin la première puissance économique de l'Afrique noire. Un pôle
de croissance s'est constitué grâce à une prodigieuse richesse minière qui a permis le
développement du secteur des transports et de l'industrie d'abord, des activités

commerciales, financières et même agricoles ensuite. L'économie a bénéficié de l'apport
de capitaux extérieurs, de l'intervention efficace de l'État et du bas niveau des salaires
versés aux non-Blancs. Mais l'apartheid avait fini par freiner la croissance. Il avait limité
le dynamisme économique des Noirs et réduit les bantoustans à n'être que des
réservoirs de main-d'oeuvre. Par ailleurs, il avait amené les États-Unis et la CEE à
adopter, entre 1986 et 1992, des sanctions qui avaient affecté les circuits financiers et
commerciaux du pays.
L'agriculture emploie 11 % des actifs ; l'élevage des bovins et des ovins y tient une
place aussi importante que la culture des céréales, des fruits et de la canne à sucre. Sauf
en cas de sécheresse aiguë, la production parvient à nourrir la population et assure un
cinquième des ressources d'exportation. Mais un fossé sépare l'agriculture paysanne des
Noirs, dont les terres surpâturées ont des rendements dérisoires, des performances
réalisées par les vastes fermes tenues par les Blancs.
L'Afrique du Sud est une très grande puissance minière par l'ampleur et la diversité
de sa production et de ses réserves. Elle assure encore un quart de la production
mondiale d'or ; elle est aussi au premier rang pour le platine, le vanadium et le chrome.
Elle figure parmi les principaux producteurs de manganèse, d'uranium et de diamants.
Elle dispose de bons gisements de charbon, de fer et de phosphates. L'activité minière
regroupe 9 % des actifs et assure les deux tiers des recettes d'exportation ; elle est
localisée principalement au Transvaal, autour de Kimberley et sur la côte atlantique.
L'industrie sud-africaine emploie 16 % des actifs ; elle est diversifiée dans ses
produits et concentrée dans ses localisations. La PWV fournit la moitié de la production
et est plutôt spécialisée dans la sidérurgie, la chimie et les industries mécaniques
(machines et véhicules). Les grands ports accueillent des chantiers navals (Durban), des
usines automobiles (Port Elizabeth), textiles et agro-alimentaires. L'Afrique du Sud étant
dépourvue de pétrole et de gaz, et pauvre en ressources hydrauliques, c'est le charbon
qui fournit l'énergie, sous forme d'électricité thermique et d'hydrocarbure de synthèse
obtenu par le procédé Sasol.
Principal centre productif du pays, la PWV est au coeur d'un réseau de
communications terrestres par lequel passe aussi une grande partie des échanges
extérieurs des pays voisins. Par ses fonctions décisionnelles, financières, commerciales,
la PWV dirige toute l'économie sud-africaine ; les grands ports ne sont que ses relais.
Avec le siège du gouvernement à Pretoria, et la township géante de Soweto au sud de
Johannesburg, elle dispute au Cap le rôle de principal foyer politique. La dépendance des
pays voisins à l'égard de l'Afrique du Sud, en termes d'emploi, de capitaux et
d'échanges, fait en définitive de la PWV le pôle d'impulsion de toute l'Afrique australe.
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Les corrélats
Cap (Le)
Durban
Johannesburg
Kimberley
Port Elizabeth
Pretoria
S oweto
Transvaal
Vereeniging
Witwatersrand
Les livres
Cap (Le), page 857, volume 2
Pretoria, page 4113, volume 8
ressources naturelles - mine d'or en Afrique du Sud, page 4349, volume 8
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Les corrélats

Aiguilles (cap des)
Cap (province du)
East London
Orange
Pietermaritzburg
Les livres
Cap (Le), page 857, volume 2

Histoire
Le peuplement originel de l'Afrique du Sud est mal connu. À partir du Xe siècle, des
populations de chasseurs-cueilleurs, de langues khoi (Hottentots) et san (Bochimans, ou
Bushmen), s'étaient installées dans la région. En 1488, le Portugais Bartolomeu Dias
franchit le cap de Bonne-Espérance, mais la colonisation européenne ne s'amorça qu'avec
la fondation du Cap par Jan Van Riebeeck, en 1652, pour le compte de la Compagnie
hollandaise des Indes orientales. Hollandais et huguenots français débarquèrent à la fin du
XVIIe siècle. Les Hottentots se trouvèrent alors pris entre la pression européenne au sud
et, au nord, l'avancée d'envahisseurs bantous. De plus, ils furent presque anéantis par la
variole en 1713. Hollandais et Bantous s'affrontèrent au cours de la guerre des Cafres de
1779. La rivalité anglo-hollandaise devint déterminante à partir de 1814, lorsque la
Hollande vendit Le Cap à l'Angleterre.
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Les corrélats
Bochimans
Dias Bartolomeu
Hottentots
Pays-Bas - Histoire - Les Provinces-Unies de 1579 à 1795

Boers, Britanniques et Zoulous : le choc des hégémonies.
En 1834, les Britanniques abolirent l'esclavage. Des milliers de fermiers hollandais
(Boers), privés d'une main-d'oeuvre corvéable, entamèrent le Grand Trek (migration) et
fondèrent le Natal. Ils substituèrent à l'esclavage le système de « l'apprentissage « des
enfants noirs capturés au cours de raids. En 1843, l'Angleterre annexa le Natal. Les
Boers poursuivirent le Trek et créèrent les Républiques d'Orange et du Transvaal. Les
perspectives économiques étaient prometteuses et une main-d'oeuvre indienne fut
recrutée dans les années 1860 pour travailler dans les plantations de canne à sucre. La
découverte de gisements de diamants à Kimberley (1854) et d'or dans le
Witwatersrand (1886) décupla les enjeux de la région. L'expansionnisme britannique finit
par provoquer la guerre des Boers en 1899.
L'Empire zoulou, constitué au nord par Shaka au début du XIXe siècle, ne résista pas
longtemps. Ses régiments ( impi) étaient ravitaillés en armes par les Arabes. Mais les
Boers les décimèrent dès 1838 à la bataille de Blood River (12 000 morts parmi les
Zoulous) et, à la fin du XIXe siècle, les révoltes du Natal n'eurent pas de lendemain.
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Les corrélats
Boers
Joubert Petrus Jacobus
Orange (État libre d')
Rhodes Cecil John
Shaka
Trek (le Grand)
Zoulous
Les livres

Afrique du Sud - l'état-major de l'armée des Boers, page 87, volume 1

La longue suprématie blanche.
L'histoire du pays au XXe siècle se confond avec celle de l'apartheid. En 1909 fut
proclamée l'Union sud-africaine, dominion réunissant Le Cap, Natal, Orange et
Transvaal. Sa Constitution insistait sur le maintien du « mode de vie sud-africain « fondé
sur la discrimination raciale. Une législation ségrégationniste fut mise en place. Dans les
mines, les emplois les mieux payés et le droit de grève furent réservés aux Blancs. En
1913, une loi (le Native Land Act) priva les Africains de tout droit de propriété en dehors
de 8,9 millions d'hectares peu fertiles (13 % des terres). En 1924, on leur barra l'accès
aux emplois spécialisés. En 1927, toute relation sexuelle entre Blancs et Noirs fut
prohibée. Africains et Indiens s'organisèrent, les premiers créant l'African National
Congress (ANC, 1912), les seconds l'Indian National Congress (sous l'influence du
mah?tm ? G?ndh?, 1914). Mais ils continuèrent d'être représentés au Parlement par
quelques députés blancs.
En 1948, la victoire du Parti national aux élections législatives institutionnalisa
l'apartheid. On interdit les mariages mixtes entre les Blancs et les gens de couleur. La
population fut classée selon des critères raciaux qui déterminaient les lieux de résidence
(1950). On assimila au communisme toute doctrine visant à changer par la violence
l'ordre établi. Un enseignement de seconde zone en langue africaine et des universités
séparées furent instaurés. La représentation politique noire fut supprimée et l'on créa
des bantoustans, enclaves « indépendantes « aux compétences très limitées, dirigées
par des chefs traditionnels téléguidés par Pretoria. L'annexion de la Namibie en 1949
aggrava les relations entre l'Union sud-africaine et le Commonwealth britannique.
Indépendant en 1961, le pays, appelé désormais République d'Afrique du Sud, quitta le
Commonwealth et durcit l'apartheid, interdisant l'ANC, incarcérant ses leaders (Mandela,
Sizulu, etc.), interdisant les partis multiraciaux en 1968. En 1970, tout Africain fut
rattaché à un bantoustan et devint travailleur étranger en territoire blanc.
Isolée diplomatiquement, l'Afrique du Sud dut en outre faire face, à partir de 1976,
au soulèvement des townships, peuplées de Noirs. Au temps de l'épreuve de force
succéda celui de la prise de conscience par une fraction du pouvoir blanc qu'il fallait
reconnaître les droits politiques de la majorité noire. Élu président en 1989, Frederik De
Klerk fit libérer le leader Nelson Mandela en 1990, puis finalement abroger les lois
régissant l'apartheid en 1991. Le président De Klerk et Nelson Mandela, garants de la
transition démocratique du pays -et couronnés conjointement en 1993 par le prix Nobel
de la paix -, se devaient encore de juguler la forte opposition des extrémismes blanc et
noir. Des élections générales purent se tenir en avril 1994 ; consacrant le triomphe de
l'ANC avec plus de 60 % des voix, et en même temps le début d'une ère nouvelle, elles
ont permis à Nelson Mandela d'accéder à la présidence. Il prit alors la tête d'un
gouvernement de consensus national dont le parti de Frederik De Klerk devait toutefois
se retirer en 1996, au lendemain du vote de la nouvelle Constitution.
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ANC (African National Congress of South Africa)
apartheid
bantoustan
Botha Louis
Botha Pieter Willem
De Klerk Frederik Willem
Gandhi (Mohandas Karamchand Gandhi, dit le mahatma - « la Grande Âme « )
Hertzog James
Malan Daniel François
Mandela Nelson
Namibie
Namibie - Histoire
Olympiques (jeux) - Les Jeux de l'ère moderne

ségrégation
Transkei
Union sud-africaine
Les livres
démocratie - manifestation de soutien à Nelson Mandela en 1990, en Afrique
du Sud, page 1424, volume 3
ségrégation, page 4715, volume 9
Afrique - Nelson Mandela, leader historique de la lutte contre l'apartheid en
Afrique du Sud, page 73, volume 1
Afrique du Sud - Soweto vit, l'apart-haine tue, page 87, volume 1
Afrique du Sud - la Bourse des valeurs de Johannesburg, symbole de la
richesse minière, page 87, volume 1
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Hertzog James

Littérature
Les populations aborigènes qui survivent en Afrique du Sud, Bochimans et NamasHottentots, n'ont qu'une littérature orale. La littérature écrite comprend, outre des textes
en langues bantoues, la littérature afrikaans et la littérature de langue anglaise, qui se divise
elle-même en littérature noire et littérature blanche.
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Bochimans

La littérature afrikaans.
Au début du XXe siècle, la poésie lyrique donna ses premières lettres de noblesse à la
langue afrikaans. D'inspiration mystique (Jan Celliers, 1865-1940 ; Totius, 1877-1953),
ou plus réaliste (Louis Leitpoldt, 1880-1947), elle chante la nature, la nostalgie, les
horreurs de la guerre. Les Dertigers (écrivains des années trente), puis les Sestigers
(années soixante) introduisirent davantage dans leurs livres l'élément social et politique
et la compassion pour les souffrances dues à la violente discrimination raciale
(André Brink, né en 1935 ; Breyten Breytenbach, né en 1939).
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Les corrélats
afrikaans
Brink André Philippus

La littérature de langue anglaise.
Elle compte des écrivains noirs qui se veulent engagés et porte-parole de leur peuple :
Plaatje surtout et Vilakazi avec Zulu Horizons (écrit en zoulou en 1945 et traduit en
anglais en 1962). De 1945 à nos jours s'est manifestée ce qu'on a appelé la littérature
des bidonvilles, vrai cri de souffrance. Down Second Avenue (1959), d'Ezekiel Mphahlele,
et Mine Boy (1946), de Peter Abrahams, en sont l'expression même.
Parmi les écrivains blancs, on peut citer Olive Schreier, qui prend le parti de tous les
exploités, ainsi que Sarah Gertrude Millin, Nadine Gordimer (prix Nobel en 1991) et Alan
Paton.
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Campbell (Ignatius Roy Dunnachie, dit Roy)
Gordimer Nadine
Lessing Doris
Paton Alan Stewart
Zoulous
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Afrique
Les médias
Afrique du Sud - tableau en bref
Afrique du Sud - carte physique
Afrique du Sud - tableau en chiffres
Afrique - carte politique
Lesotho - carte physique
Les indications bibliographiques
Y. Baticle, l'Espace sud-africain, Masson, Paris, 1990.
P. Coquerel, Afrique du Sud, l'histoire séparée, Gallimard, Paris, 1992.
R. Darbon (sous la direction de), Ethnicité et nation en Afrique du Sud, Karthala,
Paris, 1995.
J. Rigault et E. Sandor, le Démantèlement de l'apartheid, L'Harmattan, Paris,
1992.

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