ADDENDA
Publié le 16/06/2020
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« Le jaïnisme ou jinisme Infiniment moins connu que l'hindouisme ou le bouddhisme, le jaïnisme ou jinisme représente avec le bouddhisme un des deux «points de vue» hétérodoxes, aux yeux de l'orthodoxie brahmanique, du fait même de son rejet de la Révélation védique. On peut tout de même signaler qu'un des points centraux de la doctrine jaïn, le strict respect de la non-violence (ahimsâ) à l'égard de tout ce qui vit, est assez bien connu. De façon ethnographique, par l'image de . l'adepte jaïn, muni d'un balai lui permettant d'écarter de son chemin les insectes qu'il pourrait écraser par inadvertance, la bouche barrée d'une mousseline de gaze l'empêchant d'avaler par distraction quelque moucheron. Ensuite, par l'usage politique qu'en fit Gandhi comme principe moral sine qua non de toutes ses campagnes de désobéissance civile. En passant, relevons que si Gandhi a trouvé dans l'hindouisme de la Bhagavad-Gîta, dans le tolstoïsme chrétien de la non-résistance au mal, dans l'ahimsâ du jaïnisme, les sources principales de son « attachement à la vérité» (satyâgraha) et de son «militantisme» réformateur, rien de bouddhique ne semble jamais l'avoir intéressé. Bouddhisme et jaïnisme naquirent à la même époque (VI-Ve siècle avant notre ère), leur contrée d'origine est la même, plusieurs traits leur sont communs, mais ...»
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ADDENDA
Le jaïnisme ou jinisme
Infiniment moins connu que l'hindouisme ou le
bouddhisme, le jaïnisme ou jinisme représente avec le
bouddhisme un des deux « points de vue» hétéro
doxes, aux yeux de l'orthodoxie brahmanique, du fait
même de son rejet de la Révélation védique.
On peut tout de même signaler qu'un des points
centraux de la doctrine jaïn, le strict respect de la non
violence (ahimsâ) à l'égard de tout ce qui vit, est assez
bien connu.
De façon ethnographique, par l'image de .
l'adepte jaïn, muni d'un balai lui permettant d'écarter
de son chemin les insectes qu'il pourrait écraser par
inadvertance, la bouche barrée d'une mousseline de
gaze l'empêchant d'avaler par distraction quelque
moucheron.
Ensuite, par l'usage politique qu'en fit
Gandhi comme principe moral sine qua non de toutes
ses campagnes de désobéissance civile.
En passant, relevons que si Gandhi a trouvé dans
l'hindouisme de la Bhagavad-Gîta, dans le tolstoïsme
chrétien de la non-résistance au mal, dans l'ahimsâ du
jaïnisme, les sources principales de son « attachement
à la vérité» (satyâgraha) et de son «militantisme»
réformateur, rien de bouddhique ne semble jamais
l'avoir intéressé.
Bouddhisme et jaïnisme naquirent à la même époque
(VI-V e
siècle avant notre ère), leur contrée d'origine
est la même, plusieurs traits leur sont communs, mais.
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