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A une passante

Publié le 18/05/2020

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« A une passante, Charles Baudelaire. Charles Baudelaire (1821-1867) poète français, son œuvre est à la source de la sensibilité moderne (1 er poète moderne) car il a fait en sorte de démontrer les liens entre le beau et le laid, le bien et le mal, le spleen et un idéal inaccessible. Dans ce sonnet « A une passante » extrait de la section tableaux parisiens des Fleurs du mal , il évoque une rencontre aussi inattendue que violente, il propose l’image d’une femme à la fois belle et mystérieuse qu’il aperçoit d’une manière éphémère. I- La violence de la rencontre : 1- Un contexte urbain : - Le titre de la section « tableau parisien » Univers urbain - Baudelaire situe cette rencontre dans un contexte agressif « La rue assourdissante » (v.1) « hurlait » (v.1) Atmosphère violente - L’expression « autour de moi » (v.1) suggère l’idée d’enfermement et le « moi » est situé entre « assourdissante » et « hurlait » - Les allitérations en R renforcent l’impression du vacarme intolérable. 2- Violence du coup de foudre : -La rencontre fait l’effet d’un véritable choc « un éclair puis la nuit » (v.9) : Antithèse entre deux univers opposés (La lumière fulgurante et brutale, et l’obscurité) - Les exclamations soulignent cette violence - Il place le terme « nuit » (v.9) à la césure avec le tiret pour mieux mettre en relief le vide qui succède cet éblouissement. - La violence apparait à travers le terme « extravagant » (v.6) « soudainement » (v.10) « tue » (v.8) qui caractérisent l’état d’esprit du poète au moment de la rencontre. II- L’image de la femme : 1- La beauté de la passante : -Il met d’abord en relief sa silhouette longiligne « longue et mince » (v.2).

Le rythme du vers croissant fait ressortir la grâce de la femme.

(3-3-6) - La noblesse de la démarche est reprise dans le 1 er vers du 2 ème quatrain « Agile et noble, avec sa jambe de statue » -La métaphore « sa jambe de statue » (v.5) la rapproche d’une œuvre d’art : beauté. »

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