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A une passante

Publié le 22/05/2020

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« Introduction : Le sonnet « A une passante » est extrait de la section des « Tableaux Parisiens » des Fleurs du Mal de Baudelaire paru en 1861.

« A une passante » est la narration d'une rencontre amoureuse, d'un « coup de foudre » entre le poète et une majestueuse inconnue dans les rues parisiennes. Le poème reprend l'opposition beaudelairienne entre spleen et idéal, qui est, avant tout, le principal thème de la première partie de ce recueil. D'abord nous étudierons la façon dont la passante rencontrée incarne l'idéal de la beauté féminine selon Baudelaire, puis nous développerons comment elle laisse le poète fasciné de cette apparition fugitive. I) Une passante qui incarne l'idéal de la beauté beaudelairienne A.

Rue/décor/arrière plan bruyant et moderne B.

Apparition de la passante II) Un poète fasciné par une apparition fugitive A.

Fascination du poète B.

L'apparition fugitive Conclusion : Le sonnet « A une passante » de Baudelaire reprend l'opposition entre spleen et idéal.

En effet, après avoir été attiré par la beauté foudroyante d'une inconnu, le poète a pu définir son idéal de beauté.

Cependant, Baudelaire, fasciné, tente avec désespoir de retrouver cette incarnation de la beauté féminine, qui se terminera par une fatalité. Le sonnet « A une passante » est extrait de la section des « Tableaux Parisiens » des Fleurs du Mal de Baudelaire paru en 1861.

« A une passante » est la narration d'une rencontre amoureuse, d'un « coup de foudre » entre le poète et une majestueuse inconnue dans les rues parisiennes. Le poème reprend l'opposition beaudelairienne entre spleen et idéal, qui est, avant tout, le principal thème de la première partie de ce recueil. D'abord nous étudierons la façon dont la passante rencontrée dans une rue de la capital incarne l'idéal de la beauté féminine selon Baudelaire, puis nous développerons comment elle laisse le poète fasciné par cette apparition fugitif. Une jeune inconnue incarne l'idéal de la beauté baudelairienne dans les rues parisiennes. Le premier vers « La rue assourdissante autour de moi hurlait.

» inclut, dès le départ, ce sonnet dans le décor de ce thème : « Tableaux parisiens ».

La capitale française est décrite comme étant bruyante, agitée et oppressante.

De plus, grâce à une personnification (« la rue hurlait ») ainsi qu'à l'adjectif « assourdissante », la rue est décrite comme un tohu-bohu urbain. Pourtant, l'apparition d'une passante va faire oublier ce vacarme non seulement au poète mais aussi au lecteur. Le poète établi une description de cette silhouette majestueuse, « Longue, mince, en grand deuil », puis admire le geste de la main (« d'une main fastueuse »), la tenue (« le feston et l'ourlet »), la jambe (« sa jambe de statue »). Cette femme est gracieuse par sa démarche, le vers 4 en démontre : « soulevant, balançant, le feston et l'ourlet ». Face à cette inconnue, Baudelaire reste fasciné. Le poète est captivé par cette apparition qui incarne son idéal. En effet, son trouble se perçoit au vers 6 et 7 qui traduit une forte émotion : « moi, je buvais, crispé comme un extravagant, dans son œil, ciel livide, où germe l'ouragan.

». L'adjectif « crispé » nous laisse imaginer que le poète reste paralysé devant cette femme, de plus,. »

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