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Athènes : un modèle poltique et culturel

Publié le 23/05/2020

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Capitale de la Grèce, en Attique, à environ 7 km du Pirée, qui lui sert de débouché portuaire. • L'élaboration de la démocratie athénienne • L'apogée d'Athènes au ve s. av. J.-C. • La guerre du Péloponnèse • Athènes, la Macédoine et Rome L'élaboration de la démocratie athénienne Athènes est située au centre d'une petite plaine arrosée par le Céphise et par son affluent l'Ilissos, entourée de montagnes calcaires (Hymette, Pentélique), dans une péninsule assez pauvre. Le site fut habité au plus tard à la fin du néolithique et l'Acropole fut occupée durant toute l'époque du bronze ; à l'époque mycénienne un mur cyclopéen (fin XIIIe s.) entourait l'Acropole, que complétait un mur avancé, le Pélargikon attribué au peuple légendaire des Pélasges. Athènes et l'Attique furent épargnées par les destructions qui ruinèrent la civilisation mycénienne (fin du XIIIe s.) et servirent, selon la tradition, de refuge à des Éoliens chassés de Thessalie et de Béotie, puis à des loniens du Péloponnèse. Toute cette population s'affirma ionienne. Elle se divisa politiquement en petites communautés qu'Athènes se subordonna progressivement à partir du Xe s. av. J.-C. Athènes fut gouvernée d'abord par des rois, mais on ne sait rien de certain sur les dynasties (en partie légendaires) des Théséides, des Mélanthides et des Médontides. Le pouvoir royal s'effaça progressivement au profit de l'aristocratie foncière des Eupatrides ; réduite à une magistrature temporaire, d'abord décennale puis annuelle, la royauté ne conserva guère que des fonctions religieuses à partir de 682 avant notre ère. Athènes connut alors un gouvernement pleinement aristocratique, le pouvoir suprême étant assumé par le collège des archontes qui, une fois sortis de charge, composaient l'Aréopage. Cependant, du fait de l'éveil de l'artisanat et du commerce, les Eupatrides virent se constituer en face d'eux un démos urbain de plus en plus actif, tandis que beaucoup de paysans, ruinés par les difficultés de l'agriculture, tombaient sous la dépendance des grands propriétaires qui les réduisaient au servage pour dettes. La conspiration de Cylon (632) ainsi que la violence de la réaction conduite par la famille des Alcméonides ont témoigné de l'état de fermentation sociale dans lequel se trouvait Athènes à la fin du VIIe s. La réforme de Dracon (vers 621) aboutit à la publication d'un droit privé écrit, accessible à tous, identique pour tous, qui se substituait au droit coutumier dont les chefs de génos (les familles nobles qui disposaient de grandes propriétés terriennes) pouvaient se faire les interprètes arbitraires. Solon (v.), archonte vers 594, réalisa un ensemble de réformes qui apaisèrent les tensions sociales : le servage pour dettes fut interdit, les débiteurs asservis libérés et les dettes des plus pauvres allégées ou abolies. La modification du système successoral prépara la formation d'une petite propriété terrienne, base de la vie sociale des cités grecques de l'époque classique. Par l'organisation censitaire qui classait les citoyens selon leur fortune, Solon définissait le rôle et les charges de tous les citoyens, dans la vie civile comme militaire, en un temps où le citoyen mobilisé s'équipait à ses frais. L'assemblée de la boulè, jusque-là réservée aux membres de l'aristocratie, fut réformée et joua un rôle politique nouveau. Enfin, le nouveau tribunal de l'héliée, également ouvert à tous, jugea en appel les décisions des tribunaux encore dominés par l'aristocratie. L'effervescence politique qui suivit ces réformes amena à Athènes l'avènement d'une tyrannie appuyée sur le petit peuple. À partir de 561, Pisistrate prit à trois reprises le pouvoir, qu'il devait laisser à ses deux fils, Hippias et Hipparque ; sans changer la constitution de Solon, Pisistrate réduisit l'hégémonie foncière de l'aristocratie, favorisa la libération des paysans, l'essor de l'économie et du commerce maritime ; il embellit la ville d'Athènes, où il aménagea un espace (orchestra) pour les représentations théâtrales et pour les récitations des poèmes d'Homère. 00020000121E00000FDF 1217,La chute de la tyrannie, en 510, ne s'accompagna pas d'une réaction aristocratique : si Athènes, à l'aube du Ve s., se trouvait socialement et politiquement prête pour une « révolution démocratique », c'est en grande partie grâce à la sagesse de son aristocratie qui sut faire à temps les concessions nécessaires (aussi bien Pisistrate que Dracon et Solon appartenaient aux Eupatrides). Les réformes adoptées sous la direction de Clisthène, après 508, achevèrent de faire d'Athènes la cité démocratique exemplaire de l'Antiquité grecque. Il acheva d'abaisser la puissance politique de l'aristocratie au profit du peuple (démos, en grec) en brisant les cadres territoriaux et familiaux dans lesquels les grandes familles conservaient encore beaucoup d'autorité. L'Attique, c'est-à-dire le territoire de la cité d'Athènes, fut divisé en 100 petites circonscriptions, les dèmes, eux-mêmes regroupés en dix tribus, mais sans contiguïté géographique ; une même tribu réunissait des dèmes campagnards, urbains ou côtiers, ce qui avait pour conséquence de fragmenter les grandes propriétés de l'aristocratie entre plusieurs circonscriptions et, de ce fait, son autorité sociopolitique. La boulè fut constituée par 500 citoyens que l'on tirait au sort chaque année sur des listes établies par les dèmes ; l'assemblée du peuple (ecclésia), que composait la réunion de tous les citoyens, détenait l'autorité politique. En 501, la création du collège des 10 stratèges (élus chaque année à raison d'un par tribu) acheva l'ensemble de ces réformes. Responsables de l'organisation militaire, chefs militaires en cas de conflit et maîtres de la diplomatie, ces chefs élus avaient une autorité réelle qui allait bien au-delà de ces fonctions ; Périclès, qui fut le chef de la cité d'Athènes pendant près de quinze ans, n'eut jamais d'autre titre. Les limites de la démocratie athénienne ont été celles-là mêmes de la cité antique dont l'économie reposait sur le travail d'une masse d'esclaves. Pour une population probable de 400 000 personnes au milieu du Ve s. av. J.-C., Athènes n'a jamais compté plus de 50 000 citoyens actifs, les droits civiques demeurant limités aux hommes adultes, Athéniens de naissance et libres. Et le plus grand risque couru par ce régime démocratique a été l'entraînement démagogique des foules qui s'est très tôt manifesté par un usage dévoyé de la procédure d'ostracisme (v.) qu'avait probablement instituée Clisthène. L'apogée d'Athènes au ve s. av. J.-C. La prépondérance d'Athènes dans la Grèce du Ve s. fut due d'ailleurs beaucoup plus à des raisons militaires et économiques qu'au prestige de son régime politique : si Athènes, avec sa population importante, a été obligée de compenser par l'expansion maritime son manque grave de ressources agricoles, elle occupa, en revanche, sur le plan industriel et commercial, une position de premier plan dans le monde hellénique. Athènes fut une des premières cités en Grèce à se heurter à la puissance perse. Dès 498, elle intervenait aux côtés des Grecs d'Ionie révoltés. Lors de l'expédition ordonnée par Darius, les Athéniens, commandés par Miltiade, furent vainqueurs à la bataille de Marathon (490). Puis, sous l'impulsion du chef du parti démocratique, Thémistocle, Athènes construisit une flotte qui lui assura en quelques années la suprématie navale. Xerxès put s'emparer d'Athènes (480), mais les navires athéniens constituaient la moitié de la flotte hellénique qui infligea au Grand Roi le désastre naval de Salamine (480), complété l'année suivante par une autre victoire navale à Mycale, face à l'île de Samos (479). La participation décisive d'Athènes aux guerres médiques la conduisit à revendiquer le statut de « sauveur de la Grèce » et de libérateur des cités grecques des îles et de la côte d'Asie Mineure, que les Perses avaient soumises : ainsi, vers 477, fut créée la ligue de Délos, qui rassemblait dans une alliance militaire défensive la plupart d'entre elles ; dans cette confédération, Athènes s'assura tout de suite la prépondérance, exerça le commandement militaire et, de ce fait, disposa des finances communes. Bientôt le Conseil des alliés, qui théoriquement devait assurer la direction de la ligue, n'eut plus qu'une existence symbolique : en 454, le trésor de la ligue était transféré à Athènes, qui se trouva à la tête d'environ 150 cités dont la contribution annuelle servit à la construction et à l'entretien d'une flotte puissante dont Athènes disposait selon les besoins de sa politique. Les satellites tentés de se rebeller contre ce joug furent durement frappés, tels Naxos (470/69), Thasos (465/63) et plus tard Samos (439).  L'impérialisme athénien, qui s'opposait directement à la conception grecque de la liberté de la cité, fut une des grandes causes de la guerre du Péloponnèse et de l'effondrement final d'Athènes à la fin de ce conflit. Mais seul l'afflux de richesses résultant de cet impérialisme permit l'apogée brillant de la démocratie athénienne au temps de Périclès et l'essor monumental de la ville : en fait, celui-ci eut un rôle prépondérant pendant trente-deux ans, de 461 à sa mort, en 429. Mais quand ses fonctions de stratège furent renouvelées d'année en année à partir de 443, il devint « une sorte de Premier ministre permanent » (P. Cloché). En instituant les misthoi en 457, c'est-à-dire des indemnités qui permettaient à tous les citoyens, mêmes pauvres, d'exercer des charges publiques, il élargit la participation politique. Mais il ferma le corps des citoyens : la loi de 451/50 décida que nul ne pouvait jouir désormais des droits politiques s'il n'était né de père et de mère athéniens, ce qui eut pour résultat de réduire le nombre des citoyens et surtout d'en empêcher le renouvellement. Après la mort de Périclès, les institutions évoluèrent dans le sens d'un renforcement des pouvoirs de l'ecclésia et de l'héliée, favorisant la venue au pouvoir de démagogues tels que l'ambitieux Alcibiade ou le belliqueux Cléon. La guerre du Péloponnèse Vers 435, Athènes demeurait forte : si son influence avait diminué en Grèce centrale après la conclusion de la paix de trente ans avec Sparte, elle tenait fermement son empire composé des cités « alliées » mais devenues en fait des sujettes. Ses armateurs dominaient les mers, exportant le vin, l'huile, les vases et tous les produits des ateliers de l'Attique. En particulier, ses relations commerciales avec les pays riverains de la mer Noire lui permettaient d'importer les céréales que son agriculture ne pouvait produire en quantité suffisante. Pour garantir ce ravitaillement, elle avait pris le contrôle de la Thrace, des Dardanelles et du Bosphore. C'est l'opposition maritime et commerciale entre Athènes et Corinthe qui provoqua la guerre du Péloponnèse (431/04) devenue inévitable. Athènes entrait dans ce conflit en pouvant compter sur les ressources de son empire, mais non sur l'appui de la majorité des cités grecques du continent. Son ennemie principale, Sparte, en dépit de son régime autoritaire et militariste, paraissait plus soucieuse du respect de l'autonomie des cités, mais menacée par l'impérialisme athénien. Comme le dit Thucydide, « la sympathie générale inclinait du côté des Lacédémoniens, d'autant plus qu'ils proclamaient leur intention de libérer la Grèce ». Dans la première phase du conflit (431/21), Athènes réussit à maintenir l'essentiel de l'empire. Mais la désastreuse expédition de Sicile (415/13), entreprise à l'instigation d'Alcibiade, la ruina et la décima. À Athènes même, le parti oligarchique, qui rendait la démocratie responsable de tous les malheurs, effectua un coup d'État (gouvernement des Quatre-Cents, 411), mais se vit balayé par l'opposition populaire. Un temps, la situation sembla se redresser, grâce aux victoires d'Alcibiade (Cyzique, 410), mais celui-ci se vit retirer le commandement militaire en 406. La même année, la dernière victoire navale athénienne, aux îles Arginuses, fut suivie de la condamnation à mort des stratèges vainqueurs. Athènes, décapitée, perdit sa dernière flotte à l'Ægos Potamos (405) et dut capituler en avr. 404 après un siège meurtrier. Le Spartiate Lysandre occupa la ville, fit détruire les Longs Murs (les remparts qui englobaient Athènes et Le Pirée), confisqua la flotte et imposa à Athènes le gouvernement oligarchique des Trente Tyrans (404/03), qui établirent un régime de terreur en s'appuyant sur une garnison lacédémonienne. La démocratie fut rétablie par Thrasybule (janv. 403). Athènes, ruinée et moralement bouleversée, se replia sur un traditionalisme étroit : Socrate, accusé d'impiété et de corruption de la jeunesse, fut condamné à mort (399).  Athènes, la Macédoine et Rome En Grèce, c'est Sparte qui dominait, mais Athènes profita de la guerre de Corinthe (395/86) pour commencer à se relever, grâce à l'or des Perses : Conon rebâtit les Longs Murs et la flotte reprit sa place dans l'Égée. Athènes aida Thèbes à se libérer des Spartiates (379) et elle parvint à recréer une nouvelle Confédération maritime (377) dont les dispositions traduisaient le souci de ne pas tomber dans les erreurs qui avaient été fatales à la ligue de Délos : plus de tribut imposé, plus d'hégémonie athénienne sur les alliés, mais une collaboration sincère et effective entre Athènes et le conseil représentatif des alliés. Une victoire navale sur les Spartiates à Naxos (376) rendit à Athènes l'hégémonie en mer Égée et attira dans sa confédération de nouveaux membres (en tout une soixantaine). Inquiète des progrès de la ligue Béotienne dirigée par Épaminondas, Athènes préféra faire la paix avec Sparte, sur la base du statu quo (371), puis s'entendit avec Sparte contre Thèbes (369). Cependant, Athènes était vite revenue à des méthodes autoritaires dans ses relations avec ses alliés de la Confédération maritime : en 357, elle se trouva en face d'une révolte de plusieurs cités « alliées » (dont Chio, Rhodes et Byzance, soutenues par Mausole de Carie), qu'elle ne put maîtriser et qui l'affaiblit durablement. Ce déclin athénien profita à Philippe II de Macédoine, contre lequel Démosthène essaya de mobiliser ses concitoyens : gênés par le soulèvement de l'Eubée, les Athéniens ne purent apporter un secours efficace aux cités grecques du nord de la mer Égée que prenaient les Macédoniens. Après la chute d'Olynthe, Athènes n'eut plus qu'à signer avec Philippe la paix de Philocrate (346), qui abandonnait aux Macédoniens la Thrace et la Phocide. Cependant, sous l'impulsion de Démosthène, les Athéniens se préparèrent à un affrontement décisif. Ayant formé une ligue comprenant, entre autres, Byzance, l'Eubée, Mégare, Corinthe et l'Achaïe, les Athéniens firent alliance avec Thèbes (339) mais furent écrasés à Chéronée (338) par l'armée macédonienne. Athènes s'inclina mais elle fut traitée généreusement par Philippe. Elle participa cependant au soulèvement de 335, puis, dès la mort d'Alexandre, déclencha contre les Macédoniens la guerre lamiaque (323/22). Vaincue une fois de plus, elle se vit imposer une garnison macédonienne au Pirée, tandis que Démosthène s'empoisonnait. Après la prise d'Athènes par Cassandre (317), un gouvernement oligarchique s'établit sous l'autorité de Démétrios de Phalère (317/07), mais les Athéniens ne se satisfaisaient pas de la domination macédonienne : rêvant toujours à l'indépendance perdue, ils apportèrent leur appui aux Romains contre la Macédoine, puis, après que la Grèce eut été réduite en province romaine, au roi du Pont, Mithridate, contre les Romains (88 av. J.-C.) ; le seul résultat de cette tentative fut que Sylla vint mettre le siège devant la ville, dont il obtint la reddition par la famine, et Athènes eut ses fortifications rasées (86). Privée de la possibilité de jouer un rôle politique, Athènes demeura un centre intellectuel extrêmement brillant, artistique, littéraire et philosophique, où venaient se former les jeunes intellectuels romains. À partir du IIIe s. av. J.-C., elle connut un développement monumental extraordinaire grâce à la générosité des rois et des empereurs. Athènes fut prise par les Goths en 267, en 396 par les Alains, et elle perdit peu à peu son rayonnement au profit de Constantinople. Les croisés s'en emparèrent en 1205 lors de la 4e croisade, et elle devint le siège d'un duché latin à partir de 1456. Elle demeura possession de l'Empire ottoman jusqu'à l'indépendance grecque obtenue en 1829.

« A - Athènes : un modèle poltique et culturel 1) Le fonctionnement de la démocratie  principes essentiels ==> séparation des pouvoirs ( Ecclesia = assemblée de tous les citoyens avec pouvoir législatif : discute et vote les lois / Stratèges ( 10 ) = pouvoir militaire avec ex.

de Périclès, élu + de 15 fois stratège entre - 444 et - 429 / Héliée = tribunal avec pouvoir judiciaire ) + égalité entre les citoyens ( isonomie / loi - isotimie / justice et temps de parole - iségorie / honneurs - mérite ) + participation au pouvoir ( démocratie directe par le vote / élection ( ex.

stratège ) ou par tirage au sort ( ex. tribunal ). Pour protéger la démocratie, Périclès a mis en place une mesure préventive et protectrice : l'ostracisme [ qui permet d'exiler d'Athènes et de l'Attique pour 10 ans un citoyen considéré comme dangereux pour la démocratie mais qui garde sa liberté et sa fortune ].

Volonté d'éviter à Athènes tout pouvoir personnel...

être citoyen à Athènes ==> conditions ? la naissance : on naît citoyen mais on ne peut devenir citoyen athénien.

Donc une citoyenneté fermée, limitée et réservée à une minorité ( 40.000 citoyens sur 400.000 hbts de la polis soit 1/10 ) + éducation artistique et militaire ( 2 ans ) + serment de fidélité à la démocratie .

Quels droits et devoirs? : des droits personnels ( terre - mariage ) et politiques ( vote / magistrat / justice ) avec 2 devoirs :  protection d'Athènes : un citoyen - soldat avec cavaliers - hoplites - rameurs ( selon la richesse )  honorer Athéna ( déesse protectrice et éponyme ) 2) Le modèle culturel athénien  la religion ==> place essentielle avec la fête des Panathénées ( de tous les Athéniens en l'honneur d'Athéna ) qui est une fête religieuse et politique ( citoyens + femmes + métèques ) qui traverse tous les quartiers d'Athènes ( Céramique / Agora / Acropole ) - voir la frise des Panthénées sur le Parthénon )  l'art ==> architecture et sculpture avec Phidias ( temple du Parthénon entre - 447 / - 432 + statue d'Athéna en or et en ivoire ) + l' Académie ( philosophie avec Platon et Aristote, astronomie, mathématiques, histoire...

)  le théâtre à Athènes ==> double rôle : lieu de spectacle / divertissement + lieu politique ( citoyens + femmes + métèques ) : le miroir d'Athènes avec une démocratie en débat.

On retrouve 2 genres : la comédie ( avec Aristophane ) et la tragédie ( avec Sophocle - élu stratège ) B- Les limites du modèle Athénien: un modèle idéal? - Limites internes (dans Athène meme): - démocratie masculine: - citoyenneté fermée - Femmes exclues de la citoyenneté. »

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