1525 Désastre de PavieLes troupes de François Ier, qui tente de reconquérir l'Italie, sontsévèrement défaites par les Impériaux.
Publié le 23/05/2020
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Bataille perdue par François Ier contre les armées de Charles Quint. Après avoir occupé Milan, le roi de France, avec 26 000 hommes, était venu mettre le siège devant Pavie, défendue par Antonio de Leyva (fin oct. 1524). Le 24 févr., pour attirer les Français hors de leurs retranchements, les Impériaux pénétrèrent dans le parc de Mirabello, où ils furent accueillis par le feu meurtrier de l'artillerie française. Comme ils se repliaient sur ordre, François Ier crut qu'ils prenaient la fuite et se lança à leur poursuite, dans une charge désordonnée de cavalerie, en passant devant l'artillerie française, obligée de cesser son tir. Les Impériaux, accrochés à un pli de terrain, firent front à l'assaut de la cavalerie, et, profitant du vide laissé par celle-ci, ils se jetèrent sur l'aile droite, où se trouvaient les Suisses et les lansquenets. Ceux-ci résistèrent héroïquement et se firent massacrer ; les Suisses prirent la fuite ; l'arrière-garde, commandée par le duc d'Alençon, les suivit. Les Français perdirent plus de 10 000 hommes, François Ier fut fait prisonnier.
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1525 Désastre de Pavie
Les troupes de François I er , qui tente de reconquérir l’Italie, sont
sévèrement défaites par les Impériaux.
Le maréchal de La Palice trouve
la mort, tandis que le roi est fait prisonnier.
Durant sa détention, la
régence du royaume est confiée à sa mère, Louise de Savoie .
1563 Assassinat de François de Guise .
Un fanatique protestant, Poltrot de Méré , frappe à plusieurs reprises
François de Guise pendant le siège d’Orléans.
Le duc meurt des coups de
couteau qui lui ont été portés.
Son assassin est écartelé.
1848 Louis Philippe s’enfuit.
Le soulèvement de Paris est de plus en plus violent.
Les insurgés se
rapprochent des Tuileries.
Le roi choisit de fuir.
Il quitte à pied le
château pour la place de la Concorde où le duc de Nemours attend la
famille royale avec des voitures.
Le roi se réfugie à Dreux.
1848 “ Il faut aller fusiller le général Aupick ! ”
En ce soir de révolution, Charles Baudelaire , harnaché en guerrier
d’opérette, hurle comme un refrain : “ Il faut aller fusiller le général
Aupick ! ” .
Ledit général n’est autre que le mari (détesté) de sa mère..
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