DEUTÉROCANONIQUES (LIVRES)
Appartenant au deuxième canon (en grec). Livres, appelés aussi Pseu-dépigraphes,de l'Ancien et du Nouveau Testament qui furent ajoutés aux livres canoniques. Dans cette catégorie, refusée par le judaïsme mais retransmise en grec par la Septante, se trouvent les livres de Tobit, Judith, Baruch, du Siracide, de la Sagesse, les deux livres des Macchabées ainsi que des suppléments grecs à Daniel et à Esther. À ceux-là s'ajoutent dans le Nouveau Testament les épîtres aux Hébreux, de Jacques, la seconde épître de Pierre, les deuxième et troisième épîtres de Jean, l'épître de Jude et l'Apocalypse.
Liens utiles
- Commentaire lineal CONTEMPLATIONS, VICTOR HUGO (1856), LIVRES I à IV TEXTE 1: "Vieille chanson du jeune temps", I, 19
- Dans la Préface de son Dictionnaire philosophique portatif, Voltaire écrit : "les livres les plus utiles sont ceux dont les lecteurs font eux-mêmes la moitié ; ils étendent les pensées dont on leur présente le germe ; ils corrigent ce qui leur semble défectueux, et fortifient par leurs réflexions ce qui leur parait faible[1]." Que pensez-vous de cette affirmation ?
- Le journaliste P. Lepape écrivait en 1982 dans Téterelle qu'en tant que critique il était gavé de confidences autobiographiques dont il n' [avait] que faire », faisant ainsi allusion à la masse de livres de ce type lancés sur le marché depuis quelques années, et à leur qualité souvent médiocre. En évoquant de façon précise vos réactions de lecteur d'oeuvres et de fragments d'oeuvres autobiographiques, vous direz si vous partagez la sévérité du critique.
- Comment l'information et les livres circulaient-ils alors que sévissait la censure d'Etat au XVIIIème siècle ?
- Quelles sont les limites des adaptations cinématographiques des livres ?