Catégorie : Echange
- le chikungunya
- « Au bois dormant » Paul Valéry
- Accents latin
- Dans son discours du prix Nobel, le poète Saint-John Perse remarquait : La poésie n'est pas souvent à l'honneur. C'est que la dissociation semble s'accroître entre l'oeuvre poétique et l'activité d'une société soumise aux servitudes matérielles.» En vous appuyant sur les textes des poètes que vous connaissez, vous direz si vous ressentez ce divorce entre la poésie et le monde contemporain.
- Jean-Paul Sartre écrit : «J'enrage de n'être pas poète, d'être si lourdement rivé à la prose. Je voudrais pouvoir créer de ces objets étincelants et absurdes, les poèmes, pareils à un navire dans une bouteille et qui sont comme l'éternité d'un instant.» (Carnets de la drôle de guerre)
- En parlant d'une oeuvre, certains disent qu'ils en font leur Bible, laissant entendre par là qu'ils la mettent au-dessus de tout, et même qu'ils l'admirent à l'exclusion de toutes les autres. L'expérience que vous avez de la lecture vous conduit-elle à approuver une telle attitude? Jusqu'à quel point vous paraît-il profitable de privilégier une oeuvre ou un auteur?
- La littérature et les autres arts ont toujours traité avec une particulière faveur le thème du monstre : être fabuleux, créature de cauchemar, personnage infernal, homme ou femme au comportement insolite et terrifiant. Sans dresser un répertoire de ces créations, et donc en évitant toute énumération fastidieuse, vous essaierez d'expliquer, à partir d'exemples précis que vous analyserez soigneusement, l'espèce de fascination qu'exerce ce thème sur la personnalité du lecteur ou du specta
- Victor Hugo – Le Rhin, Lettres à un Ami EXTRAIT DE LA LETTRE XXVIII, « LE CHATEAU D'HEIDELBERG »
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- «La littérature est parfaitement inutile : sa seule utilité est qu'elle aide à vivre.» Claude Roy, Défense de la littérature (Chap. XII, «L'utile inutile»). En vous fondant sur votre expérience de lecteur, vous vous interrogerez sur la portée de cette affirmation.
- Baudelaire définit en ces termes le trait principal de la démarche du créateur (artiste ou écrivain) : «Le génie, c'est l'enfance retrouvée à volonté.» Estimez-vous que, pour l'écrivain, la création littéraire, et pour le lecteur, des contacts personnels avec l'oeuvre, les aident à retrouver l'enfance ou, au contraire, à s'en éloigner ?
- Lamartine définit la poésie comme « la langue complète, la langue par excellence, qui saisit l'homme par son humanité tout entière, idée pour l'esprit, sentiment pour l'âme, image pour l'imagination, et musique pour l'oreille ». Cette définition rejoint-elle votre conception personnelle de à poésie ? Vous fonderez votre analyse sur des exemples précis.
- Exposé sur Le chat Botté ou Le Maître Chat De Charles Perrault
- Tout passe. — L'art robuste Seul a l'éternité; Le buste Survit à la cité.» En prenant appui sur des exemples précis, empruntés aux formes d'art que vous connaissez, vous expliquerez ces vers de Théophile Gautier, et vous vous interrogerez sur les rapports de l'art avec le temps, par exemple sur les problèmes de mode, de modernité, d'actualité.
- Opposant la notion d'imaginaire au réel, Yves Berger affirme : «C'est toujours contre le réel que l'écrivain travaille, et de façon à l'oublier.» En prenant appui sur des oeuvres précises que vous connaissez bien, vous direz comment vous comprenez ce jugement et si vous l'approuvez.
- Exemple de commentaire littéraire de la fable de Jean de la Fontaine : le Chat la Belette et le petit Lapin
- Un romancier à qui l'on demandait pourquoi il n'écrivait pas de la poésie, répondit : « Parce que je déteste parler de moi-même.» Une distinction entre poésie et roman que cette déclaration semble établir vous paraît-elle justifiée? Vous appuierez votre argumentation sur des exemples tirés de vos lectures personnelles.
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- Un écrivain contemporain écrit : «Notre Société [...] a peu à peu insinué dans le cerveau de nos élèves l'idée que la littérature ne tendait qu'à poser des problèmes actuels, comme les "Dossiers de l'écran", ne servirait qu'à transmettre des informations profitables comme la défense du consommateur. Un bon livre, en somme, serait un livre utile, centré sur une question du jour. Un bon livre serait un bon dossier, un bon bilan.» (Le Monde de l'Éducation, octobre 1981)
- L'Écume Des Jours De Boris Vian, Commentaire Linéaire, Dernier Chapitre, Dialogue Entre Le Chat Et La Souris
- LA CHARGE
- LE PAMPHLET