5 résultats pour "sfio"
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RAMADIER, Paul (1888-1961) Avocat, membre de la SFIO depuis 1904, député de l'Aveyron ; lors de la scission du parti socialiste au congrès de Paris en 1933, il quitte le parti à la suite de Renaudel.
RAMADIER, Paul (1888-1961) Avocat, membre de la SFIO depuis 1904, député de l’Aveyron ; lors de la scission du parti socialiste au congrès de Paris en 1933, il quitte le parti à la suite de Renaudel. En juillet 1940, il vote contre les pleins pouvoirs. Premier président du Conseil de la IV eRépublique en janvier 1947, il fait éclater le tripartisme en mai, le jour où il renvoie les ministres communistes de son gouvernement. Battu aux élections de 1951, il se consacre à sa fonction de président...
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FROSSARD, Oscar Ludovic (1889-1946)Homme d'Etat, il est sécrétaire général de la SFIO en 1918.
FROSSARD, Oscar Ludovic (1889-1946) Homme d'Etat, il est sécrétaire général de la SFIO en 1918. Député de 1928 à 1940 et plusieurs fois ministre, il vote les pleins pouvoirs au maréchal Pétain en 1940.
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MOLLET, Guy (1905-1975)Homme politique, il est secrétaire général de la SFIO de 1945 à 1969.
MOLLET, Guy (1905-1975) Homme politique, il est secrétaire général de la SFIO de 1945 à 1969. Plusieurs fois ministre, il doit faire face aux crises d'Algérie et de Suez. Il contribue en 1958 au retour du général de Gaulle au pouvoir.
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LE TROQUER, André (1884-1963)Homme politique, il représente la SFIO au sein du Conseil national de la Résistance.
LE TROQUER, André (1884-1963) Homme politique, il représente la SFIO au sein du Conseil national de la Résistance. Après la guerre, il est ministre de l'Intérieur, de la Défense, et également président de l'Assemblée nationale entre 1954 et 1958.
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DEAT, Marcel (1884-1955)
DEAT, Marcel (1884-1955) Membre du PSU en 1914, agrégé de philosophie, il est député sur une liste SFIO. En 1933, c’est le premier pas vers la droite : avec la tendance Renaudel, il quitte le parti. Il est réélu en 1938 dans une élection partielle, comme candidat du Rassemblement anticommuniste, et ses idées marquent le tournant de ses relations avec le nazisme, pour lequel il professe une admiration de plus en plus grande. En juillet 1940, il vote les pleins pouvoirs à Pétain. Puis il critique...