5 résultats pour "conclut"
- Analysant la complexité de la pensée de Camus sur la religion, Marcel Mélançon conclut : La position la plus honnête (...) est certainement celle qui prend la pensée de Camus là où elle s'est arrêtée : entre le OUI et le NON. On ne peut pas dire qu'il soit athée, puisqu'il a le sens du sacré, on ne peut pas non plus affirmer qu'il soit chrétien puisqu'il l'a refusé. Expliquez et critiquez cette réflexion ?
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Un auteur contemporain affirme que le but suprême du romancier est de nous faire connaître et aimer l'âme humaine dans sa grandeur comme dans sa misère, dans ses victoires comme dans ses défaites. Et il conclut : « Admiration et pitié, telle est la devise du roman ». Qu'en pensez-vous ?
Vous vous appuierez sur La Bête humaines de Zola, Noeud de vipère de Mauriac, Un roi sans divertissement de Giono.
Un auteur contemporain affirme que le but suprême du romancier est de nous faire connaître et aimer l'âme humaine dans sa grandeur comme dans sa misère, dans ses victoires comme dans ses défaites. Et il conclut : « Admiration et pitié, telle est la devise du roman ». Qu'en pensez-vous ? Vous vous appuierez sur La Bête humaines de Zola, Noeud de vipère de Mauriac, Un roi sans divertissement de Giono . But du romancier : peindre la nature humaine dans tous ses aspects => réalisme. Mais « grande...
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POURQUOI AIMONS-NOUS LA FONTAINE ? Après avoir étudié l'oeuvre de La Fontaine, un critique contemporain conclut : « Il n'y a pas de note humaine qui ne s'y fasse entendre, l'ironie, l'émotion, la pitié, le courage, le goût du plaisir et de la retraite, l'acceptation de la vie et le besoin du rêve. On voudrait faire sentir pourquoi on l'aime ; mais on n'ose forcer la voix quand on parle du plus discret des poètes. » Vous direz si vous retrouvez dans ces quelques lignes l'impression que
POURQUOI AIMONS-NOUS LA FONTAINE? Après avoir étudié l'œuvre de La Fontaine, un critique contemporain conclut : « Il n'y a pas de note humaine qui ne s'y fasse entendre, l'ironie, l'émotion, la pitié, le courage, le goût duplaisir et de la retraite, l'acceptation de la vie et le besoin du rêve. On voudrait faire sentir pourquoi on l'aime ; maison n'ose forcer la voix quand on parle du plus discret des poètes. » Vous direz si vous retrouvez dans ces quelqueslignes l'impression que vous a laissé...
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CHAMFORT conclut ainsi son Éloge de Molière (1766) : N'existerait-il pas un point de vue d'où Molière découvrirait une nouvelle carrière dramatique ? Répandre l'esprit de société fut le but qu'il se proposa. Arrêter ses funestes effets serait-il un dessein moins digne d'un sage ? Verrait-il sans porter la main sur ses crayons l'abus que nous avons fait de la société et de la philosophie, le mélange ridicule des conditions, cette jeunesse qui a perdu toute morale à quinze ans, toute se
CHAMFORT conclut ainsi son Éloge de Molière (1766) : N'existerait-il pas un point de vue d'où Molière découvriraitune nouvelle carrière dramatique ? Répandre l'esprit de société fut le but qu'il se proposa. Arrêter ses funesteseffets serait-il un dessein moins digne d'un sage ? Verrait-il sans porter la main sur ses crayons l'abus que nousavons fait de la société et de la philosophie, le mélange ridicule des conditions, cette jeunesse qui a perdu toutemorale à quinze ans, toute sensibilité à vin...
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Citant la devise de Rimbaud: Il faut être absolument moderne, un critique contemporain dénonce l'usage frelaté et commercial que, selon lui, trop d'écrivains ont fait depuis de cette idée. Il conclut ainsi: La modernité fait vendre des marchandises, des discours, des idées. Vous vous interrogerez sur ce problème, et vous direz si, à votre avis, la modernité peut être un critère en littérature ?
Introduction On peut partir d'une revendication scolaire d'aujourd'hui : lire des textes modernes] Mais la modernité ne peut pasêtre seulement une question de chronologie : être moderne, ce ne sera pas remplacer Musset par les pièces d'Authéâtre ce soir... En fait, toute littérature se veut et s'affirme moderne contre les formes vieillies, liées à latradition, à la culture, aux institutions. La thèse moderniste a) Puisque l'histoire change, il faut changer les sujets (puisque le public c...