12 résultats pour "blessures"
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En janvier 1976, lors de la parution de son roman, La Valse aux adieux, l'écrivain tchèque Milan Kundera déclarait : « Dans la vie, l'homme est continuellement coupé de son propre passé et de celui de l'humanité. Le roman permet de soigner cette blessure. » L'opinion de Kundera sur la fonction de l'oeuvre romanesque rejoint-elle votre expérience personnelle de lecteur ?
En janvier 1976, lors de la parution de son roman, La Valse aux adieux, l'écrivain tchèque Milan Kundera déclarait : « Dans la vie,l'homme est continuellement coupé de son propre passé et de celui de l'humanité. Le roman permet de soigner cette blessure. »L'opinion de Kundera sur la fonction de l'oeuvre romanesque rejoint-elle votre expérience personnelle de lecteur ? Remarques préliminaires. Le sujet invite le candidat à réfléchir sur une fonction très précise du roman : « soigner [la] blessure...
- La blessure
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En janvier 1976, lors de la parution de son roman La Vazlse aux Adieux, l'écrivain tchèque Milan Kundera déclarait: Dans la vie, l'homme est continuellement coupé de son propre passé et de celui de l'humanité. Le roman permet de soigner cette blessure. L'opinion de Kundera sur la fonction de l'oeuvre romanesque rejoint-elle votre expérience de lecteur ?
PLAN ADOPTÉ DANS LE DEVOIR I. Le roman permet de retrouver le temps perdu et de redonner à l'homme la conscience d'une unitéL'homme en quête de son passéÀ la recherche du temps perdu : roman et autobiographieÀ la recherche du temps perdu : roman et histoireIL L'écriture romanesque et la recomposition du passéProcédés de composition : linéarité, totalisation, extensionLa fiction d'une continuité de la vieLe passé ressuscité à travers des destins individuelsContamination du passé et du présentIII....
- Commentez ce qu'à propos d'une pièce de Racine, Antoine Vitez, metteur en scène, déclarait : « Il ne s'agit après tout que d'une conversation sous les lustres. Mais pleine de dangers : on se fait des blessures par les mots qu'on dit ».
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BONCHAMP, Charles, marquis de (1759-1793)Chef vendéen, il se distingue pour avoir obtenu des insurgés la grâce de 4 000 prisonniers républicains, avant de succomber à ses blessures, lors de la bataille de Cholet.
BONCHAMP, Charles, marquis de (1759-1793) Chef vendéen, il se distingue pour avoir obtenu des insurgés la grâce de 4 000 prisonniers républicains, avant de succomber à ses blessures, lors de la bataille de Cholet.
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GENEVOIS, Maurice (1890-1980)Sorti major de l'Ecole normale supérieure en 1911, il traverse l'épreuve meurtrissante de la guerre, des tranchées, de Verdun, des blessures physiques et spirituelles.
GENEVOIS, Maurice (1890-1980) Sorti major de l’Ecole normale supérieure en 1911, il traverse l’épreuve meurtrissante de la guerre, des tranchées, de Verdun, des blessures physiques et spirituelles. Ses souvenirs bruts alimentent un bouleversant récit en cinq volumes réunis sous le titre Ceux de 14. Son œuvre postérieure célèbre sa Loire natale et son émerveillement pour la nature ( Marcheloup ,La Forêt perdue ), les animaux (série des Bestiaires ), l’Afrique ( Fatou Cissé ). Prix Goncourt 1925...
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GUISEFrançois Ier de Lorraine, deuxième duc de (1519-18 février 1563)Homme de guerreC'est à une blessure reçue lors du siège de Boulogne en 1545, qu'il doit d'être surnommé le Balafré.
GUISE François Ier de Lorraine, deuxième duc de (1519-18 février 1563) Homme de guerre C’est à une blessure reçue lors du siège de Boulogne en 1545, qu’il doit d’être surnommé le Balafré. Lorsqu’il monte sur le trône, Henri II, dont il est l’ami depuis des années, le comble de faveurs. Parmi celles-ci, il lui permet d’épouser, en 1549, la petite-fille du roi Louis XII, Anne d’Este. Il le fait, en 1551, grand chambellan et, en 1552, lui donne le titre de Joinville. La manière dont Guise tient têt...
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GUISEFrançois Ier de Lorraine, deuxième duc de(1519-18 février 1563)Homme de guerreC'est à une blessure reçue lors du siège de Boulogne en 1545, qu'ildoit d'être surnommé le Balafré.
GUISE François Ier de Lorraine, deuxième duc de (1519-18 février 1563) Homme de guerre C’est à une blessure reçue lors du siège de Boulogne en 1545, qu’il doit d’être surnommé le Balafré. Lorsqu’il monte sur le trône, Henri II, dont il est l’ami depuis des années, le comble de faveurs. Parmi celles-ci, il lui permet d’épouser, en 1549, la petite-fille du roi Louis XII, Anne d’Este. Il le fait, en 1551, grand chambellan et, en 1552, lui donne le titre de Joinville. La manière dont Guise tient têt...
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GUISE, François Ier de Lorraine, 2e duc de(17 février 1519-24 février 1563)Homme de guerreC'est à une blessure reçue lors du siège de Boulogne en 1545, qu'il doitd'être surnommé le Balafré.
GUISE, François I er de Lorraine, 2 e duc de (17 février 1519-24 février 1563) Homme de guerre C’est à une blessure reçue lors du siège de Boulogne en 1545, qu’il doit d’être surnommé le Balafré. Lorsqu’il monte sur le trône, Henri II , dont il est l’ami depuis des années, le comble de faveurs. Parmi celles-ci, il lui permet d’épouser, en 1549, la petite-fille du roi Louis XII , Anne d’Este. Il le fait, en 1551, grand chambellan et, en 1552, lui donne le titre de Joinville. La manière dont Gu...
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GUISE, François Ier de Lorraine, 2e duc de (17 février 1519-24 février 1563) Homme de guerre C'est à une blessure reçue lors du siège de Boulogne en 1545, qu'il doit d'être surnommé le Balafré.
GUISE, François I er de Lorraine, 2 e duc de (17 février 1519-24 février 1563) Homme de guerre C’est à une blessure reçue lors du siège de Boulogne en 1545, qu’il doit d’être surnommé le Balafré. Lorsqu’il monte sur le trône, Henri II , dont il est l’ami depuis des années, le comble de faveurs. Parmi celles-ci, il lui permet d’épouser, en 1549, la petite-fille du roi Louis XII , Anne d’Este. Il le fait, en 1551, grand chambellan et, en 1552, lui donne le titre de Joinville. La manière dont Gu...
- Dans son essai critique Sur Racine, Roland Barthes qualifie Bérénice de « tragédie de l'aphasie » ; Jean Starobinski, quant à lui, souligne « que dans le théâtre français classique, et singulièrement chez Racine, les gestes tendent à disparaître au profit du langage, il faut ajouter au profit du regard. Les scènes chez Racine sont des « entrevues ». Les personnes du drame se parlent et s'entre-regardent mais les regards échangés ont valeur d'étreinte et de blessure... Ils troublent les
- Freud - les 3 blessures