6 résultats pour "épicurien"
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Le scepticisme épicurien
Le scepticisme épicurien L'influence de Montaigne pénètre en profondeur un public discret de lettrés. La génération de ses disciples — Mlle deGournay et surtout Charron dans son livre De la Sagesse (1601) — le fait connaître, non sans atténuerpassablement ses hardiesses. L'heure n'est en effet ni à la tiédeur ni à la tolérance. Les adeptes de l'esprit critiqueappliqué sans restriction reçoivent le nom de libertins, appellation qui ne va pas sans faire courir des risques à ceuxqu'elle dési...
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La philosophie épicurienne
La philosophie épicurienne La philosophie épicurienne est une philosophie fondée par Epicure. Sa doctrine s’est rependue grâce à son disciple latin, Lucrèce. A la mort d’Epicure, Lucrèce a alors répandu sa philosophie dans tout le bassin Méditerranéen et particulièrement dans le monde latin et romain. I. Epicure Epicure est un grand philosophe grec né à Samos en Grèce. Il est l’élève de Xénocrate. Vers 311 av. J.C, Epicure crée une école de philosophie à Mytilène (île de Lesbos)...
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GASSENDI, abbé Pierre Gassend dit (1592-1655)Philosophe et mathématicien, adversaire de la philosophie d'Aristote et de Descartes, il est partisan d'une morale épicurienne, fondée sur le plaisir de la sérénité.
GASSENDI, abbé Pierre Gassend dit (1592-1655) Philosophe et mathématicien, adversaire de la philosophie d’Aristote et de Descartes, il est partisan d’une morale épicurienne, fondée sur le plaisir de la sérénité.
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Epicure par Victor GoldschmidtMaître de Conférences à la Faculté des Lettres de Rennes Peu de doctrines autant que l'épicurienne ont fait l'objet d'appréciationsaussi divergentes.
Epicure
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Ninon de Lenclos par Janine Bouissounouse Anne de Lenclos, Ninon pour ses contemporains, naquit d'une dévote etd'un gentilhomme tourangeau, joueur de luth et épicurien qui légua sansdoute à sa fille le goût des arts et des idées.
Ninon de Lenclos
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Sainte- Beuve a pu dire de La Fontaine qu'il était le seul grand poète personnel de son siécle. Son oeuvre, en effet, révèle ses sentiments, ses opinions, ses goûts, tout l'homme, en un mot. Essayez de peindre son caractère d'après ses fables ?
« Le moi est haïssable, » disait Pascal et ce mot pourrait servir d'épigraphe à toute la littérature du XVIIe siècle.Cependant un poète fait exception : La Fontaine. Sainte-Beuve... On retrouve dans les fables: I. L'épicurien aimable et de bonne compagnie. La Fontaine n'a pas été l'homme des devoirs austères, mais un épicurien. Il ne nous trace pas de l'homme et de lavie un tableau très séduisant : il prend doucement les hommes comme ils sont et ne s'indigne que contre lepédantisme, l'...