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Vivos voco. Mortuos plango. Fulgura frango

Publié le 08/01/2022

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« 1 / 2 V.vos voco.

Mortuos plango.

Fulgura frango J'appelle les vivants, je pleure les morts et Je brise la foudre Cette phrase dont on ne cite actuellement que les deux premiers membres provient d'une expression inscrite par Ludwig Peiger sur une cloche fondue à Bâle en 1486 pour la cathédrale de Schaffhaus, encore visible dans le cloâtre.

Cette inscription rappelait les trois fonctions principales des cloches (en ce qui concerne Fulgura frango, il est encore courant dans les campagnes de sonner les cloches lors des orages.

pour tenter d'éloigner la grêle par les ondes sonores).

Elle est également inscrite sur les cloches de l'église Saint-Nicolas à Zerbst, en pays saxon, qui sonnaient pour annoncer l'exécution des condamnés à mort.

Notre inscription devint célèbre parce que Schiller l'utilisa dans son lied von der G/ocke (il l'avait lue dans l'Œconomische Encyclopiidie [ 19, 1780, 99] de Krllnitz), et que ce passage de Schiller fut ensuite repris par Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski dans les Frères Karamazov ( 12, 13 ).

Vivos voco servit de titre à une revue politique et littéraire, qui parut dans les années 1919-1922 sous la direction de Hermann Hesse ; une pièce de musique électronique de Jonathan Harvey s'intitule elle aussi Mortuos plango vivos voco ( 1980). 2 / 2. »

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