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VITRAC (Roger)

Publié le 18/05/2020

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« VITRA C (Roger), écrivain français (Pin­ sac, Lot, 1899- Paris 1952).

Son enfance se déroule en province ; elle est pertur­ bée par les conflits fa rniliaux et la Grande Guerre, ce qui marquera profon­ dément sa création.

Après ses études au collège Chaptal, à Paris, il est élève officier dans un peloton qui pat·tage son temps entre la faculté et la caserne.

Il y rencontre M.

Arland, R.

Crevel et fonde avec eux la revue A venture.

Il pat·ticipe aux dernières manifestations Dada, se range du côté de Breton pour l'organisa­ tion du > , collabore à Littérature et préface avec Eluard le premier nu1néro de la Révolution surréa­ liste.

_Ses poèmes (Humoristiques, 1927; Cruautés de la nuit, 19 2 7 ; la Lanterne noire, postht11ne), rassemblés dans Dés­ Lyre (1964), témoignent d'un Slll·r·éa­ lisme absolu où les jeux verbaux, le hasard et l'hurnour entrecroisent les rêves, de même qu'un récit en prose, Connaissance de la mort ( 1926) en explore les limites.

Vitrac est cependant exclu du sui·t·éalisme avec Artaud, en 1926, pour .

Avec ce dernier, il fonde le Théâtre Alfred-J a1·1·y, qui monte deux de ses pièces : les Mystères de l'amour et Victor.

Son œuvre dra 1natique comprend trois cycles : le >, .

.

, .

.

qw aurait regroupe ses prermers essais pré su rt·éalistes (le Peintre, Entrée libre, 1922 ; les Mystères de l'amour, 1924), équivalents du >, introduisant l'univers du rêve sur la scène, en tant que tel et non p011r sa fonction prémonitoire; la trilogie auto­ biographique (Victor ou les Enfants au pouvoir, 1928 ; le Coup de Trafalgar, 1930 ; le Sabre de mon père, 1950), qui dénonce l'univers petit-bourgeois vu par un enfant épris d�absolu; ), titre devant rassem­ bler ses autres pièces (le Camelot, 1936 ; les Demoiselles du large, 1938 ; le Loup- garou, 1940) où une image neuve du destin détez·tnine 1' action de person­ nages-fantoches.

Représentant le plus caractéristique du Stlt'I'éalisme au théâ­ tre, sa drar11aturgie annonce bien des réalisations des années cinquante.. »

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