Travail de recherche: Notation stylisée

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Dans un effort afin de promouvoir et pour offrir davantage d’exposition à ce mouvement, John Cage ainsi qu’Allison Knowles publient en 1969 une archive d’extraits de partitions par 269 compositeurs intitulée Notations, y incluant entre autres des partitions de The Beatles, Leonard Bernstein, Paul Bowles, Charles Ives (from whose archive Cage picked a blank piece of song paper), Yoko Ono, Nam June Paik, Steve Reich, Igor Stravinsky, Toru Takemitsu et luimême. Ce recueil a utilisé les opérations aléatoires du « Livre des Transformations » , en chinois « Yi King », considéré comme un des ouvrages les plus importants de la littérature universelle, afin de déterminer le nombre de mots accompagnant la partition de chaque compositeur, de 0 à 64 ainsi que la police et la taille de celle-ci. Cage a dit avoir eu l’intention de démontrer « les plusieurs directions dans lesquelles la notation va présentement ». Vers la fin du XXe siècle, John Stump donnera une nouvelle dimension à la notation musicale en écrivant des partitions complètement ironiques et ridicules. Sa composition la plus célèbre, Faerie’s Aire and Death Waltz (Air des fées et valse de la mort), parodie ininterprétable et satirique, a été diffusée sur Internet et est rapidement devenue virale. La partition est injouable et inclut des instructions totalement absurdes telles que "libérer les pingouins", "comme un dirigeable" et "duo de gong".