Stéréotypes: Comment les personnages parviennent-ils à s’affirmer malgré les attentes de la société ?

« INTRODUCTION : Depuis XIXe siècle et encore aujourd’hui, les inégalités entre les hommes et les femmes demeurent une préoccupation majeure. Ces individus depuis leur jeune âge leur sont attribués des « stéréotypes » qui leur collent une sorte d’étiquette se pliant aux normes et valeurs de la société. C es stéréotypes figent un homme ou une femme dans des rôles, des fonctions et des valeurs qui, parfois ne leurs conviennent pas ou ne leur correspondent pas.

Cela devient alors problématique, dans leur vie de tous les jours et dans leur ressentis.

Alors, pour pouvoir éviter de se plier aux attentes de la société, certains se battent pour pouvoir affirmer ce qu’ils sont et ce qu’ils souhaitent devenir, ce qu’ils souhaitent montrer. De plus , chaque individu qui se démarquent de ces attentes à la société, s’affirment pour ce qu’ils sont de différentes manières et de là s’ auto-construisent.

À travers l’ œuvre intégrale de Charlotte Bronte « Jane Eyre » de 1847 ainsi qu’un extrait du chapitre 17 intitulé « Jane’s exceptations »,ainsi que le poème d’Emily Bronte « The Old stoic » de 1841, l’ œuvre de Wonder woman en 1942 et celle de Melvin Burgess « Nor for lads » dans Billie Elliot de 2001, nous répondrons à la problématique suivante : Comment les personnages parviennent-ils à s’affirmer malgré les attentes de la société ? Tout d’abord, nous verrons comment ces personnages sont-ils placer pour s’exprimer dans leur « espace » puis,nous étudierons de quels manières font-ils face et comment agissent-ils face à leur obstacle. La place de la femme et souvent remise en question et sont jugées comme inférieur dans la société. Leur liberté sont très restreintes, et désirent abondamment se sentir égales et libres aux hommes. Par exemple, dans l’extrait de Jane Eyre chapitre XII, Malgré le fait que Jane doit suivre les règles de son pensionnat, pour pouvoir se soulager, de ces règles elle se laissa emporté par son esprit, par des « visions lumineuses » l.4 qui l’ envahissait. Une imagination qui lui traverser des moments de « vie, feu, sentiments » qui pouvait lui arrivait, mais qui s’absentait au retour de son existence réelle. On retrouve aussi cette idée, dans « The old stoic » d’ Emily Bronte où la gloire n’est que momentanée et « s’enfuit avec le jour ».

Il faut savoir que les femmes de cette époque victorienne « sont silencieuse contre leur sort » . Peut-être qu’en étant une stoique audacieuse et ayant une agitation naturel montrent une détermination à se désenchaîner et briser cette stagnation dans laquelle elles vivent, être en possession de leur corps et âme et ne dépendre aux attentes masculines.

Tout simplement vouloir être libre. Être libre ne résume pas seulement qu’à se démarquer d’une société mais d’être en total possession de son corps et de son esprit.

C’est ce que Emily bronte veut montrer quand étant audacieuse à demander aux ciel et à l’enfer, d’avoir comme but l’accord de sa propre liberté et supporter la douleur avec force. Cela rentre en contradiction avec l’extrait de Jane Eyre qui à l.

la souffrance des femmes une contrainte trop rigide sur terre dominées par le pouvoir des hommes. En effet, cela devient difficile quand on est condamnés à apprendre plus que ce que la coutumes à juger bon d’attribuer pour leur sexe.

Par exemple dans Billie Elliot , les hommes font des sports qui demande de la force comme la boxe, la lutte etc et pour les filles la danse, le ballet.

Ce qui est de même des coutumes de l ‘époque de Janemas Eyre où les femmes devaient faire du pudding, tricoter tandis que celui des hommes travaillaient dans des champs. Des stéréotypes qui montre grandiosement la remise en cause de la place de la femme. Mais cette vision n’est pas que pour les femmes il en vaut de même pour les hommes. Par exemple, l’extrait de Billie Elliot de Melvin Burgess, ce jeune garçon issu d’une famille forte en gente masculine a une attirance particulière pour le Ballet qui fortement catégorisante pour les filles, doit affronter son premier grand obstacle qui est son père et qui le qualifie de « bâtard ».

Dans cet extrait l’atmosphère est très tendue.

On a à faire à une confrontation plutôt qu’à une conversation.

L’auteur met l’accent sur les visions différents qu’ont les deux hommes sur le Ballet.

Ayant peur de ce qu’il pouvait se passer, Elliot regarda sa grand-mère comme « l.12 » mais devait à tout prix tenir tête à son père pour défendre ce qu’il aimait faire.

Il contredisait son père sur le fait qu’il ne disait pas exactement les choses.

Elliot obstine à faire comprendre à son père que « danser ne veut pas dire que je me tourne vers quelqu’un d’autre » et qu’il ne comprenait pas pourquoi n’est pas fait pour les garçon. Tout comme Elliot dans l’ œuvre intégrale de Charlotte bronte, il est absolument inimaginable qu'une jeune femme puisse réaliser sa vie et décider de contrôler son propre destin.

Jane Eyre a refusé d'être une victime ou d'accepter une vie destinée à une humble descendance sociale.

Elle utilisera son temps au pensionnat pour améliorer son intelligence et travailler dur pour se créer un avenir meilleur.

Afin de forcer sa propre destinée à subvenir à ses besoins financièrement, Jane Eyre agira comme gouvernante sous l'autorité de M.

Rochester.Dans une maison bourgeoise, où M.

Rochester l'aimera à la folie.

Cependant, elle a finalement percé le secret du propriétaire de cet endroit, qui a fait enfermer sa femme des accès de folie, et elle a courageusement décidé de le quitter.

Une fois de plus, l'héroïne est libérée de la pression sociale et de la douleur, et ne supporte plus le sort d'une femme. Tout comme Wonder Woman , une figure féminine qui inspire indépendance, force, courage et liberté et qui ne se plient à aucunes attentes de la société. En conclusion, malgré que les stéréotypes restent encore aujourd’hui un dur combat, certains arrivent malgré les durs obstacles à surmonter leur peur, et ne se découragent pas.

Se hausser aux attentes des normes et valeurs de la société, on arrive parfois à savoir qui nous sommes et qu’est-ce que nous aimons comme Billie Elliot, à rester forte et battante comme Jane Eyre et Wonder Woman et enfin savoir ce que nous voulons et rester digne de soi comme le vieux stoique.. »