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SHERLOCK JUNIOR

Publié le 06/12/2021

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SHERLOCK JUNIOR

Réalisation   Buster KEATON (1924)

Scénario Jean HAVEZ,

Joseph MITCHELL, Clyde BRUCKMAN

Directeurs de la photographie   Elgin LESSLEY,

Byron HOUCK

Production Joseph SCHENCK

Durée 50 minutes

INTERPRÉTATION

Le projectionniste et Sherlock Junior   Buster KEATON

La jeune fille   Kathryn Mc GUIRE

Le père de la jeune fille Joe KAETON

Le rival, « Sheik local «   Ward CRANE

L'adjoint Erwin CONNELLY

et Jane CONNELLY,

Ford WEST, John PATRICK,

Horace MORGAN,

George DAVIS, Ruth HOLLEY

L'HISTOIRE

 

Une jeune projectionniste néglige volon-tiers son travail pour se plonger dans la lecture de son manuel favori : « Comment devenir Détective «. Au cours d'une visite chez sa patite amie, il est injustement accusé d'un vol de montre. En réalité c'est son rival qui est coupable, et qui a adroitement orienté les soupçons vers l'apprenti policier. Le pro¬jectionniste retourne à ses appareils.


« SHERLOCK JUNIOR Réalisation Scénario Dir ecte ur s de la photographie Produ ctio n Dur ée .......

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Buster KEATON (1924) Jean HAVEZ, Joseph MITCHELL, Clyde BRUCKMAN Elgin LESSLEY, Byron HOUCK Joseph SCHENCK 50 minutes INTERPRÉTATION Le proje ctio nni ste et Sherlock Juni or La jeun e fi lie Le père de la jeun e fille Le rival , « Sheik loca l » L'adjoint .........

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Buster KEA TON Kathryn Mc GUIRE Joe KAETON Ward CRANE Erwin CONNELL Y et Jane CONNELL Y, Ford WEST, John PATRICK, Horace MORGAN, George DA VIS, Ruth HOLLEY L'HISTOIRE Une jeune projectionniste n ég lige volo n­ tie rs so n trava il pour se plo nge r da ns la lec ture d e son manu el favor i « Co mment d eve nir D éte ct ive ».

Au co urs d'un e v isite ch ez sa p atit e a mie, il es t inju ste m ent accusé d'un vo l de montr e.

En réalit é c'es t so n riva l qui est co up able , e t qui a adro item e nt orie nt é les so up ço ns ve rs l'appr e nti po licie r.

L e pro­ jectionniste retourne à ses app are ils.

Alors que les spec tateur s ass istent au x péri­ p é ties mélodramatiques de « Cœ ur s e t Perle s », le jeune h o mm e s'e nd o rt et r êve.

Son double quitte l a cab ine, s'approc he de l'écran et entr e da ns l'ima ge.

L'action du film prése nte un e analogie avec les mom ent s qu ' il vie nt de vivre.

Le projec tio nni ste est devenu Sherlock Juni or, le plu s gra nd d étec- tive d4 monde .

Il échappe aux pièges mor­ tels : un e bo isso n empoisonnée, une partie de bill ard avec une boule ex plosive, une ha lle­ barde méc anique ...

Apr ès une po ur suite folle, alo rs qu'il es t ass is s ur le guidon d'une moto sa ns conducteur, il r e jo int les ba ndit s qui o nt enlevé sa fiancée.

Il la délivre et s'enfui t avec elle d ans une voiture qui t ermine sa co urse dans la rivi ère ...

Le projec tionni ste se réve ille.

Sa bien­ a imée est venu lui dire qu e so n innocence a é té reco nnu e.

Pour déclarer son am our , le proj ec tionni ste copie les ges tes de s per son- ~ nages de « Cœ ur s et Perle s».

M ais qu and ~ arri ve l'épil ogue du bonh e ur conjugal saturé 3 d e marm ots, il se gra tt e la t ê te et sembl e ~ vouloir se rav ise r..

.

:;: (.) ~ LA PETITE HISTOIRE § i.i: En 1924.

B11ster Keato n possédait son propre studio.

Toute l'équ ipe éta it payée pour une durée de 52 sema ines et devait réaliser deux films au cours de ceue période, /'un au printemps.

/'awre en awomne.

Après la pro­ jectio n des rushes.

on pouvait recommencer dès le l endemai n les plans jugés insuffisants.

Keaton exigea it la perfection, aussi bien dans la s1ructur e de ses gags que dans leur enchain e­ ment.

« Un film corniqu e, se plaisait-il à déclarer , s'assemb le avec la m ême précision q ue les rouages d'un e momre ».

Pour l es scèn es acrobatiques, K eaton ch ois issail la technique du plan long.

// s'int erdi sa i1 ainsi towe trich e rie :g par effe1s de mo ma ge ou par wilisation de ·g doublures.

On voya it Kea /o n , assis sur l e z guid on d'une moto sans co ndu cte ur .

f ranch ir "' un pan! en co nstru cti on.

"' U ne grande trouée interd is ait fout passage.

N mais deux camions se cro isai em en com re- .~ bas .

A la frac1ion de seco nde pr ès.

la surfa ce :§ de le ur s to its comblait l'én o rm e précipice ;; et l e véhicul e fou passa it ...

D e m ême, la panie ~ de billard al'ec la boule ex plo si ve a éié réa- ~ lisé s an s 1rucage.

Ke a1on s'es / em raîn é el a § répé 1é les coups jusqu'au plan pOlfait.

@. »

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