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SAMMY DAVIS Jr

Publié le 16/05/2020

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« 1 / 2 SAMMY DAVIS Jr Il est né le 8 décembre 1925 à Harlem (New York) dans une famille du show-business.

Alors qu'il n'a pas 3 ans il monte sur les planches en compagnie de son père Sammy Davis Sr.

Cet enfant de la balle, lorsqu'il rejoint l'armée en 1943 a déjà derrière lui une étonnante carrière d'acteur de télévision mais il n'est apparu que très rarement au cinéma (son seul rôle " par­ lant» date de 1929 : il n'a que 4 ans!).

De cette époque, il se souvient non sans humour que « son père lui avait mis un cigare dans la bouche et l'avait fait passer pour danseur nain ! »C'est grâce à Mickey Rooney que le " Will Mastin Trio » qu'il forme avec son père et son oncle Will, devient bientôt l'un des numéros les plus recherchés des cabarets de Broadway et de Los Angeles.

Dans ces shows, le jeune prodige chante, danse, imite, raconte des histoires, mais joue aussi avec talent du piano et de la trom­ pette.

Tout semble réussir au trio lorsque, reve­ nant de Las Vegas vers Hollywood, il est victime d'un terrible accident de voiture à San Bernardino (Californie) où on le croit mort.

Miraculé, il perd toutefois son œil gauche au cours d'une opération en novembre 1954 et se convertit au Judaïsme.

Alors qu'on pense sa carrière terminée, le cinéma fait appel à lui.

De plus, devenu intime de Frank Sinatra, il fait désormais partie du fameux" clan »de l'acteur et apparaîtra dans la plupart de ses films à succès signés par les plus grands noms du cinéma américains (Sturges, Milestone, Aldrich); "Mr Wonderful » (M.

Merveilleux) est désormais le surnom que lui offre une presse enthousiaste et un public de fidèles.

A 40 ans et après une dizaine de films, il écrira son autobio­ graphie " Yes I can » ( 1965) d'où est tirée la phrase qui le résume le mieux : " Je suis noir, juif et borgne et de plus, j'ai épousé une femme blanche.

Que peut-il désormais m'arriver?» De l'acteur, il faudra conserver le souvenir de nom­ breux rôles secondaires (dont ceux tournés au sein du clan Sinatra) mais surtout les brèves mais bénéfiques apparitions dans deux films­ phares du film musical, PORGY AND BESS et SWEET CHARITY.

Malheureusement trop souvent utilisé comme « Guest Star» (vedette invitée), Sammy Davis Jr n'a cependant pas trouvé au cinéma un réalisateur comme Arthur Penn qui lui donna à Broadway, avec« Golden Boys'" la pleine mesure de son savoir-faire.

Jerry Lewis, dont on connaît la verve et l'œil critique sur ses congénères, a sans doute - à sa façon - le mieux résumé l'acteur : « J'adore Sammy depuis vingt ans, mais je ne l'ai jamais considéré sous l'angle de la taille.

C'est son talent qui est géant.

» FILMOGRAPHIE 1929 1956 1958 1960 1962 1963 1964 RUFUS JONES PRESIDENT (Rufus Jones President, Alan Cros/and).

V/VA LAS VEGAS (Meet me in Las Vegas, Roy Rowland) - BENNY GOOD­ MAN (The Benny Goodman Story, Valentine Davies).

PORGY & BESS (Porgy and Bess, Otto Preminger).

L'INCONNU DE LAS VEGAS (Ocean's eleven, Lewis Miles/one) - PEPE (Pepe, George Sidney).

3 SERGENTS (Sergeants Three.

John Sturges)@ -CONVICTS FOUR (Mi/­ lard Kaufman).

L'OPÉRA DE QUATRE SOUS (Wolf­ gang Staudte) - LA REVANCHE DU SICILIEN (Johnny Cool, William Asher)@ LES 7 VOLEURS DE CHICAGO ·(Robin' and the seven hoods, Gordon Douglas).

1965 1966 1968 1969 1970 1971 1973 1975 1978 1980 1983 NIGHTMARE IN THE SUN (Marc Lawrence).

A MAN CALLED ADAM (Leo Penn).

SEL.

POIVREETDYNAMITE(Saltand pepper, Richard Donner) © SWEET CHARITY (Bob Fosse) - ONE MORE TIME (Jerry Lewis).

ELVIS SHOW (Elvis: That's the way it 1s-:-Denis Sanders).

LES DIAMANTS SONT ÉTERNELS (Diamonds are forever, Guy Hamilton).

SA VE THE CHILDREN (Stan Lathan).

CONE WITH THE WEST (Bernard ~ Girard).

~ SAMMY STOPS THE WORLD (Mel "' Shapiro).

·~ L'ÉQUIPÉE DU CANNONBALL (Can- -' a; nonball run.

Hal Needham) © ~ CANNON BALL 2 (The Cannonball run g> Il, Hal Needham).

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