Résumé du livre "Le Bal des Folles" de Victoria Mas

« Le Bal Des Folles – VICTORIA MAS Chapitre 1 : Louise est une jeune fille de 17 ans qui est interné à la Salpêtrière depuis 3 ans.

Elle fait régulièrement des crises d’hystéries.

Ce jour là, le Dr Charcot la prend en exemple devant plusieurs médecins, journalistes…, il l’hypnotise pour lui refaire vivre une crise d’hystérie et selon Charcot pour aider la médecine à avancer.

Geneviève quand à elle est une aide soignante de la Salpêtrière. Elle admire énormément le Dr Charcot et elle accompagne Louise à chaque fois qu’elle doit y aller. Louise est persuadée qu’elle va devenir célèbre avec tous ces essais sur elle mais Geneviève pense qu’une femme qui est internée restera internée toute sa vie.

Lorsque Geneviève rentre chez elle le soir, elle écrit une lettre en pensant à sa sœur qui est décédé.

Dans cette lettre elle raconte tous ce qu’il s’est passé dans la journée et le déplaisir qu’elle prend à travailler à la Salpêtrière. Chapitre 2 : Eugénie est une jeune femme issu d’une famille de la grande bourgeoisie Parisienne.

Elle à une grand frère, Théophile, qui est l’image parfaite du fils idéale selon son père.

Eugénie n’est ni estimé par son père qui ne respecte que les hommes, ni par sa mère qui est l’image même d’une femme soumise au dires de son mari.

Seul sa grand-mère l’admire.

Lors d’un dîner, elle provoque son père et celui-ci lui ordonna de quitter la table.

Elle est allée préparer le lit de sa grand-mère.

Lorsque celle-ci est monté dans la chambre elle ont eu une discussion toutes les deux.

Pendant cette discussion, Eugénie vit son papi décédé dans un coin de la chambre.

Elle ne l’a dit à personne car la seul fois où elle l’avait dit, tout le monde l’avait prise pour une folle.

Eugénie est ensuite aller voir son frère qui devait aller à un rendez-vous entre homme débattre sur des sujets de la vie.

Eugénie a supplié son frère de venir avec lui et avec du chantage il a accepté.

Ils se sont donc rendu tout les deux là-bas sans prévenir leur père qu’Eugénie venait.

Eugénie écoutait sans trop porter attention aux discussions jusqu’au moment où les hommes parlèrent d’un homme qui disait avoir vu les esprits.

Tous les hommes disaient que cela était absurde et que ce n’était pas réel.

Alors Eugénie a prit part dans cette discussion en disant qu’elle pensait cela plausible, puis son frère est venu la voir pour lui dire que si elle ne voulait pas d’ennuis, il fallait mieux qu’elle parte.

Alors elle a écouté son frère et est parti de ce salon débat. Chapitre 3 : Aujourd’hui, il neige à la Salpêtrière.

Les jours de neige, les internées n’ont pas le droit de sortir, elles sont enfermées entre 4 murs car elle sont jugées comme trop fragile pour aller affronter le froid.

Louise est derrière une fenêtre en train de rêver de sortir.

Tout d’un coup elle aperçoit un jeune homme interne.

Il s’appelle Jules.

Elle est allée le rejoindre et il l’a embrassé sans son consentement.

Cela a perturbée Louise, ça lui a rappeler un très mauvais souvenir de son enfance. Lorsqu’elle avait 14 ans, ses parents sont décédés dans un incendie.

Elle a donc été prit en charge par sa tante.

Elle a grandit avec sa tante et son mari.

Un beau jour, elle avait décidée, avec ses copains d’aller se baigner dans un lac.

Ils y sont tous allés en sous-vêtements.

Son oncle les a vu et a emmener Louise violemment chez eux.

Arrivé chez eux, il l’a violé.

Lorsque sa femme est arrivé elle l’a vite mis à la porte et à aussi gifler Louise d’aguicher son marie de la sorte.

Dès le lendemain le mari est revnu vivre chez eux comme si de rien était.

Louise était traumatisé, elle vomissait, perdait connaissance.

Un soir leur voisin, surpris par le bruit qu’il y avait dans leur appartement est venu voir ce qu’il se passait.

Il a vu Louise par terre la tête dans son vomis.

Il a décidé de l’emmener à la Salpêtrière.

Depuis ce jour elle y est toujours resté et est l’internée qui a le plus de problèmes.

En effet par moment elle se met à faire des crises.

Son corps bouge dans tout les sens. Elle est suivi par le Dr Charcot.

Geneviève voyant que Louise n’était pas avec les autres filles lui demanda pourquoi.

Louise répondit que c’était parce qu’elle avait oublié quelque chose et qu’elle était partit le chercher.

Geneviève commença à la gronder jusqu’à ce que Thérèse prenne sa défense. Geneviève ne pouvait rien dire à Thérèse.

En effet, même si Geneviève était infirmière et Thérèse une internée, elles étaient arrivées au même moment à la Salpêtrière.

Elles se rendaient service mutuellement.

Louise remercia ensuite Thérèse d’avoir prit sa défense.

Eugénie lui avoua qu’elle n’aimait pas la voir traîner avec ce Jules, qu’il disait qu’ils allaient se marier pour lui faire plaisir et pour avoir ce qu’il voulait.

Louise fâchée répondit qu’il l’aimait et qu’elle était juste jalouse de son bonheur.

Elle partit se mettre dans son lit, fâchée. Chapitre 4 : Eugénie, était en train de lire un livre dans sa chambre le soir après que tout le monde soit partit se coucher.

Dès le lendemain du salon-débat où elle avait été avec son frère, elle avait bravé le froid de Paris pour aller acheter dans une librairie loin de chez elle le fameux livre sur les esprits.

Arrivée à la librairie, deux libraires l’accueillirent et lui demandèrent ce qu’elle recherchait.

Eugénie répondit qu’elle cherchait le livre sur les esprits.

Les deux libraires furent surpris mais était extrêmement bien veillant envers Eugénie.

Lorsque le libraire lui a remit le livre, il lui a dis une phrase qui a marqué Eugénie : « Ce livre saura vous éclairez sur beaucoup de choses, mademoiselle ».

Eugénie reprit ensuite le chemin qu’elle avait prit pour venir pour rentrer chez elle.

En peu de jours, elle avait finit de lire le livre.

Elle ne pouvait le lire seulement la nuit car elle avait peur que quelqu’un de sa famille la voit entrain de lire ce livre.

Les jours passèrent calmement, Eugénie ne se rebellait plus contre son père.

En lisant ce livre, elle avait compris qu’elle n’était pas bizarre et que d’autres gens avait vécu la même expérience qu’elle.

Elle était apaisée, joyeuse de cette lecture.

Sa grandmère trouva son comportement étrange.

Elle lui a donc demandé ce qu’il n’allait pas.

Eugénie lui a répondu que tout allait bien au contraire.

Lors de sa discussion avec sa mamie, elle vit à nouveau son papi qui lui disait que le collier de sa grand-mère n’avait pas été volé, qu’il se trouvait dans la commode de sa chambre.

La grand-mère d’Eugénie trouva son comportement une nouvelle fois étrange, mais Eugénie ne voulu pas expliquer à sa grand-mère, elle lui affirma juste que son collier était dans la commode.

Eugénie partit donc vérifier, et, avec un peu de mal, retrouva le collier.

Ce collier signifiait beaucoup car c’était celui que son grand-père avait offert à sa mamie lorsqu’il lui avait promis qu’ils se marieraient.

Mais tout le monde pensait qu’il avait été volé lors d’un vol qu’avait commit un domestique nouvellement arrivé.

Sa grand-mère était émue d’avoir retrouver son collier qui lui tenait tant à cœur.

Après s’être remise de ses émotions, elle demanda à Eugénie comment elle avait su qu’il était ici.

Eugénie répondit que cé n’était qu’un simple pré-sentiment.

Sa grand-mère ne voulut pas la croire et lui ordonna sur un ton sévère de lui dire la vérité.

Eugénie, après une longue réflexion, prit la décision de dire la vérité à sa grand-mère.

Elle lui raconta qu’elle voyait les personnes décédées quelquefois et notamment son grand-père.

Que c’était lui qui lui avait dit où était le collier.

La grand-mère surprise tomba presque dans les pommes et dite à sa petite fille qu’elle avait toujours su qu’elle avait quelque chose en plus.

Eugénie après s’être confié, ressentait comme un sentiment de regret.

Plusieurs jours passèrent, calme.

Un beau matin le papa d’Eugénie proposa à Théophile et à Eugénie de faire une sortie.

Théophile répondit oui et Eugénie était tellement surprise que son père lui propose une sortie qu’elle ne répondit pas directement.

Elle regarda sa grand-mère qui lui dit de suivre son père et son frère.

Alors Eugénie les suivit.

Ils traversèrent Paris en voiture.

Pendant le voyage, Eugénie était toute guillerette de cette sortie tandis que son frère et son père portait un visage tendu.

Eugénie ne le remarqua pas tellement elle était joyeuse.

C’est seulement lorsque la voiture s’est arrêté devant l’hôpital de la Salpêtrière qu’elle remarqua le visage de son père et de son frère.

Elle ne comprit pas, son père lui expliqua que sa grand-mère lui avait tout raconté car elle ne pouvait pas garder ce secret toute seule.

Eugénie avait beau dire qu’elle n’était pas folle que c’était vrai, son père était affirmatif, elle.... »