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Raymond BOUDON

Publié le 18/05/2020

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« Raymond BOUDON Raymond BOUDON est un sociologue classique français né en 1934, il est professeur de sociologie à la Sorbonne.

Il s'affirme comme le chef de fil du courant de pensé de l'individualisme méthodologique.

Sa sociologie s'intéresse directement à l'individu,les phénomènes sociaux ne sont qu'un agrégation d'actions d'individuelles.

L'individu est un être rationnel qui fait des choix stratégiques.

Son auteur principal de référence est WEBER, il va continué ses travaux en les approfondissant car pour lui il est le fondateur de l'individualisme méthodologique.

Ce paradigme s'oppose au holisme avec comme chef de file Émile DURKHEIM.

Texte 1 : Effets pervers et ordre social (1979) Les relations entre les institutions et les comportements individuels sont difficile à analyser.

Les institutions affectent les champs d'action et les décisions individuelles mais pas les comportements.

Suite à la crise de 1968, diverses réformes furent prises dans le domaine universitaire.

La détérioration de la condition étudiante à poussé les étudiants à manifester.

Ici, on a tenté d'analyser les effets de la réforme institutionnelle.

Les contraintes ont limité l'efficacité des mesures qui devaient orienter la demande individuelle de formation et éliminer les effets externe indésirable.

Cette faible efficacité des mécanismes est due à un mélange complexe d'effet pervers qui a neutralisé les effets.

Du fait du libre accès à l’université (pour les titulaires du Baccalauréat), l’université n’a aucun moyen de contrôler les flux étudiants.

La volonté de rendes les universités autonomes est par principe vouée à l’échec. L’université n’a pas le contrôle des flux d’entrée.

Ce qui a entrainé un déficit individuel et collectifs non négligeable.

Pour Bondon, la structure quantitative et qualitative des flux est le résultat de l'agrégation des décisions scolaires individuelles.

On retrouve idée ici l'idée principale de son paradigme.

Pour réguler les flux, il faut créer des incitations supplémentaires de l'autorité centrale.

L’augmentation au niveau de l’université aura des conséquences majeures : Tout ne peut être absorbé par la structure socioprofessionnelle, sans créer de déficits individuels.

A l’époque, pour nuancer ce déficit, les hommes politiques avaient attribués la croissance économique et l’augmentation de la productivité, à l’augmentation de la demande scolaire.

Cette argumentation plus que. »

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